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MessageSujet: 28 Minutes Later [Event - Team D] 28 Minutes Later [Event - Team D] EmptyJeu 28 Oct - 5:31

À la tombée de la nuit, une silhouette étrange se tenait au bout de la ville, frappant contre une porte. Son poing s’abattait avec force contre le bois dur, à un rythme régulier tandis que la chose poussait de longs et affreux gémissements. Sa tête ressemblait à une citrouille… Les passants le regardaient sans rien faire, se disant que ce ne devait être qu’une ivrogne qui a perdu son chemin après une soirée d’Halloween bien arrosée. Mais en voyant que l’homme persistait à cogner toujours au même endroit, avec un rythme régulier en poussant ces plaintes effroyables… quelqu’un eut finalement la bonne idée d’appeler les forces de l’ordre. Deux policiers arrivèrent rapidement et allèrent interpeler l’homme étrange, les passants retournant à leurs occupations… seulement, quelques minutes plus tard, il y avait trois hommes avec des citrouilles sur la tête qui poursuivaient les passants. En vingt-cinq minutes, il y avait déjà cinquante-trois zombies-citrouilles – parce que oui, c’étaient des zombies- qui déambulaient dans les rues, cognaient aux portes derrière lesquelles les habitants tentaient de se réfugier. Les gémissements des fruits orangés sur pattes résonnaient à travers la ville et tous se dirigeaient vers un point commun : Shibusen. Leurs bouches ridicules grandes ouvertes, leurs bras, raides, levés devant eux, leur démarche maladroite et lente… tout pour que l’on se croit dans un film d’horreur de série B. À la vingt-huitième minute après le commencement de l’attaque, la plus grande majorité des zombies avaient convergés vers le plazza central de la ville où, devant la horde, se tenaient quatre silhouettes bien décidées à protéger la ville de ces gros fruits stupides. Se battre dans une ville… plutôt difficile si on compte le désavantage numérique, le fait que tout cela se déroule en pleine nuit, qu’une épaisse brume a pris d’assaut les rues, que l’espace est restreint par endroit et, pour que tout soit encore plus cliché, que tout se passe le soir de l’Halloween! Que se passe-t-il? Comment nos Héros vont-ils vaincre cette menace? Vont-ils vaincre cette menace tout court? Est-ce que Shibusen a organisé un Bal pour cette soirée? Qui a dévoré les derniers petits fours? Toutes les réponses à ces questions avec les réponses des joueurs!
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MessageSujet: Re: 28 Minutes Later [Event - Team D] 28 Minutes Later [Event - Team D] EmptyVen 29 Oct - 13:46

Ah Halloween ! Les bonbons, les citrouilles, les décorations, les farces…une des fête…on ne peut pas dire que c’est une des fête préféré de Ren vu qu’elle venait d’apprendre son existence que depuis hier. La jeune fille c’était même pressé de trouver un déguisement même si au fond, elle n’avait trouvé que de quoi changer sa couleur de cheveux blanc en un beau noir corbeau, d’une pince pour les cheveux en forme de chauve-souris et un peu de crayon noir pour ressortir ses beau yeux violet. Cela est t’il assez effrayant ? Qui sait ? Elle le saura bien assez tôt car la jeune fille allée à Shibusen et oui car la célèbre école avec organiser un bal d’Halloween et qui dit bal d’halloween dit déguisement. Enfin bref Ren venez de quitter la forêt et allé était maintenant entrain de marché dans les rues sombre de Death City. Les enfants couraient de maison en maison pour demander des friandises, Ren observa ses enfants ils avaient l’air content, elle sourit et continua son chemin elle ne devait pas être en retard après tout elle devait rejoindre Al devant l’entré de Shibusen car ils avaient décidé la veille d’y aller ensemble et elle devait l’avouer l’esprit d’halloween commencer à plaire à Ren. La jeune fille apprécier de voir tout ces gens déguiser et puis au moins personne ne disaient des réflexions sur c’est habille.

En passant devant une boulangerie elle pensa qu’elle devrait essayer de voir si son « costume » était bien ou pas et puis au pire ce n’était pas très grave. La jeune Sento entra dans cette boulangerie et attendit un petit moment, l’attente ne fut pas très longue car tout d’un coup le boulanger arrive en courant un couteau à la main en criant « Aaaaaahhhhh !!!!!!!! » Ren hurla, elle avait frôlé la crise cardiaque elle parti sans même attendre que le boulanger dise qu’elle que chose. Si on veut sa mort bah c’était passer à pas grand chose, la peur aurait était plus grande et cette fois c’était sur la jeune fille tomberait comme ça par terre inerte et sans vie. Mais passons, Ren marcha pétrifier ce boulanger l’avait terrifié et le mot était encore bien faible, enfin bref La jeune fille s’approcher de plus en plus au centre de la ville l’air devenais de plus en plus froid et une épaisse brume commençais à apparaitre cela ne rassura pas notre petite Sento. La jeune fille marcha d’un pas prudent cette brume ne plaisez pas à Ren et elle avait peut être raison une brume aussi épaisse apparaitre comme ça d’un coup mais bon Death City surprenais encore la jeune fille parfois. Ren regarda autour d’elle et elle trouva bizarre que plus aucun enfants courait aux portes et encore plus bizarre ils n’y avaient personne, pas un chat et pourtant le centre de Death City était toujours animer à cette heure c en parlant d’heure il devait bien être 19h30 ou alors plus tard…Ren n’avais pas de montre sur elle et puis elle s’en ficher un peu du moment qu’elle trouver son chemin dans cet épaisse brume. La jeune fille marché doucement et prudament, elle ne savait pas pourquoi mais elle senti que quelqu’un l’observa ou du moi on préparé à lui faire peur ou une chose dans le genre, Elle avança quand elle vit plusieurs silhouettes.

Ils devaient être quoi une bonne vingtaine tous les bras raide levé devant eux, ils marchaient bizarrement du moins il était vraiment bizarre et le plus bizarre c’est qu’il s’approcher de la jeune fille qui naturellement reculer. Si ces gens était la pour lui faire peur bah c’était gagner Ren commencer vraiment à flipper, elle ne savait pas qu’elle mouche les avait piqué mais ces gens la avait des citrouilles en guise de tête vraiment étrange n’est ce pas ? Et de plus de ça il n’avait pas l’air d’être commode Ren venez de le comprendre. Elle était bientôt encerclé de c’est zombie-citrouille le nombre était plus grand que ce qu’elle penser ils n’étaient pas une vingtaine mais une cinquantaine ! La jeune fille regarda autour d’elle aucune issue possible un mur derrière elle et devant des zombies ce n’était pas sa chance on dirait.

-Une impasse…la poisse qu’est ce que je vais faire ?

Ren pensa très vite si elle ne pouvait pas reculer plus ni avancer elle devait passer par les coter et heureusement pour elle ces créature n’avait pas l’air très intelligent du moins c’est ce qu’elle penser. La courra pour passer sur les coter puis elle s’éloigna le plus possible de ces zombie-citrouille, une fois ces zombie hors de sa vu elle tomba à terre sur ces fesse un grand soulagement apparu en elle, même si ce repos dura pas très longtemps elle devait réfléchir du comment ce débarrassé de ces monstre. Ren pensa que toute seule elle n’y arriverait pas encore si elle avait al à ses coter elle aurait réussir à les retenir quoi ? 10 minutes pas plus en encore elle savait même pas de quoi ils étaient capable. Ce qu’elle devait faire c’était de trouver quelqu’un mais qui ? Quelqu’un d’assez fort c’est sur mais à deux cela ne changerais pas grand-chose.

-Pourquoi je tombe toujours dans de telle situation moi ? Al j’ai peur…

Demander de l’aide comme ça dans le vide n’était peut être pas très efficace voir carrément débile car elle la jeune fille était seule et en plus de ça les zombie-citrouille venez de la retrouver et s’approcher dangereusement d’elle.
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Catleya Evergreen


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MessageSujet: Re: 28 Minutes Later [Event - Team D] 28 Minutes Later [Event - Team D] EmptySam 30 Oct - 0:29

Halloween, sa nuit, ses ténèbres. Bizarrement, une nuit presque normale, pourrait-on dire et pourtant, l’atmosphère était toute différente. Il est vrai que cette nuit n’est pas normale du tout. Elle n’est pas comme les autres. La fin du mois d’octobre, signifiait aussi que l’on arrivait gentiment mais sûrement à la fin de l’année, nous marchions doucement vers le froid et la neige. En fait, si on y réfléchit bien, une année pourrait correspondre à la vie d’une personne. Le début de l’année montre sa naissance, elle grandit et vit au fil de l’année, accumulant de l’expérience, faisant des choses uniques, rencontrant des personnes, devenant amis avec elles et aimant passer du temps avec elles. Et enfin, alors que la fin de l’année s’approche doucement, la personne sent sa vie s’étirer, disparaitre gentiment, glissant dans les ténèbres jusqu’à mourir avec l’année et qu’en même temps, une nouvelle personne et une nouvelle année naisse pour reprendre le flambeau laissé par la précédente et continuer sa voie, ce qu’elle voulait faire ou bien faire tout autre chose. Et cela se répète, encore et encore. Sans jamais se lasser, le temps tourne, indifférent aux années qui passent, aux personnes apparaissant et à celles disparaissant. Il continue sa course folle, et rien ne pourra l’arrêter. Même si la terre venait à disparaitre, il resterait là, à observer l’univers, s’amusant peut-être à observer ça et là les êtres vivants vivre leur vie avec son lot de bonheur et son lot de malchance. Cette fête d’Halloween était là, presque pour nous rappeler qu’une année allait bientôt mourir. Comme si juste pour cette nuit et pour cette piqûre de rappel, tous les squelettes, les citrouilles, chauves-souris, vampires et autres horreurs sorties droit de l’imagination des gens, des habitants ou bien dérivés de faits réels qui se seront transmis de bouches à oreilles et se seront modifiés au fil du temps et au fil de la transmission de l’histoire de génération en génération comme on transmettrait l’histoire d’une famille à ses descendants. Une chose est sûre, cette nuit serait très spécial. Dans la rue, on pouvait croiser des enfants déguisés en toutes sortes de vampires, zombies et autres. Chacun ayant apporté sa touche personnelle à son déguisement quand il n’était pas fait entièrement à la main. Les sonneries retentissaient, les coups sur les portes s’entendaient à travers les rues, personne ne serait tranquille chez lui dans son fauteuil à regarder la télévision cette nuit. Il serait en permanence dérangé par les coups sur sa porte d’entrée, à devoir aller ouvrir et donner quelques friandises aux petits monstres qui se présenteraient devant sa porte pour qu’il puisse avoir la paix pendant un court instant avant que quelqu’un d’autre n’arrive pour la même raison. A savoir, demander des bonbons. Telle était la tradition. Chaque enfant voulait se constituer une réserve de bonbons assez confortable pour tenir quelques jours, voire quelques semaines en se faisant plaisir avec ces friandises prisent durant cette nuit si spéciale. Cette nuit d’Halloween, tout paraissait plus sombre, plus effrayant. Rencontrer les gens dans la rue devenait assez spécial, tellement on ne reconnaissait plus une silhouette. Certes la bonne humeur régnait dans les ruelles de Death City mais on avait tendance à se méfier un peu plus des petits groupes de personnes qu’on croisait. On s’attend à tomber sur presque n’importe quoi à chaque coin de rue, on se méfie de toutes les zones d’ombre en encore plus des zones naturellement peu sûres même de jours.

Tel était ce que je voyais, ce que je ressentais, presque. Certes, j’avais l’habitude de me promener de nuit dans les ruelles de Death City mais il faut dire que je n’étais pas forcément très sûr de moi ce soir-là. Je me trouvais devant la porte de mon appartement, prêt à partir à la soirée spécial Halloween qu’avait organisée Shibusen pour fêter cette nuit dignement. Il paraitrait que même Maitre Shinigami serait de la partie pour passer cette soirée avec nous, élèves ainsi qu’avec les différents professeurs. Je regardai l’heure à ma montre. Il me restait peu de temps avant de retrouver Ren pour l’accompagner à cette soirée. A vrai dire, il me restait juste assez de temps pour traverser la ville et arriver aux pieds des escaliers qui mènent à l’école, point de rendez-vous que nous nous étions fixés pour pouvoir nous retrouver plus facilement avec ma partenaire. La soirée avait été mise sur pied pour fêter Halloween et donc, nous n’y avions pas échappé. Tous les participants seraient déguisés, c’était presque sûr. Certes, mon déguisement n’était pas très recherché, les mêmes habits que je porte d’habitude, simplement ajouté à cela, une cape noire. Un petit peu de maquillage pour que j’aie un teint plus pâle et un ajout dans ma bouche pour une nouvelle paire de canines un peu plus longues étaient parfaits. De près comme de loin, je ressemblais désormais au personnage typique des mythes, au prince des ténèbres, au roi des buveurs de sang, j’irais même presque jusqu’à dire que je fais de l’ombre au Comte lui-même, enfin bref. Vous l’aurez compris, mon déguisement est celui du vampire. Je dois l’avouer, j’étais assez satisfait de l’apparence que j’avais. Je n’avais pas eu beaucoup de travaux de couture à faire pour faire correspondre ma tenue à celle d’un vampire. Je me demandai quel déguisement avait mis Ren, sous quelle apparence elle se dissimulerait. Bizarrement, je ne savais pas trop. Peut-être allait-elle faire tout simple, peut-être au contraire très compliqué. Mais la connaissant, je pense qu’elle préfèrerait quelque chose de simple et trop encombrant voire par encombrant du tout à quelque chose de très compliqué et chiant à porter dans une soirée où tu bousculerais forcément du monde et où donc tu passerais ton temps à presque t’excuser. Un dernier coup d’œil à ma fidèle montre et je me mis en marche. Rangeant ma montre à son emplacement prévu, c’est-à-dire dans une de mes poches, je m’éloignai de mon appartement pour me diriger vers le centre de Death City puis vers Shibusen. Bien qu’il fasse très sombre, la lune, riante ce soir, projetait une espèce de lueur pâle qui, ajoutée aux lumières des lampadaires, donnait une impression assez bizarre. Cette lumière donnait une dimension un peu irréelle au paysage, elle rendait plus clair, mais elle déformait aussi légèrement les personnes et leurs traits, les rendant encore plus méconnaissables. Je traversai doucement les différentes ruelles menant au centre-ville, souriant légèrement en voyant les différents monstres et enfants frapper aux portes des maisons pour obtenir leur dose de bonbons pour cette année et cette nuit d’Halloween. Je remarquai également que les différents groupes d’enfants s’amusaient à se faire peur entre eux chaque fois qu’ils se croisaient lançant des « Bouh !» à tout va dès qu’ils arrivaient à deux mètres des autres. Pour éviter cela, je bifurquai sur ma droite et pris une rue parallèle, plus calme et avec beaucoup moins de groupes. Les « Bouh !» parvenaient encore à mes oreilles mais avaient diminué en intensité. Je continuai d’avancer, me rapprochant doucement du centre de Death City, certainement là où il y aurait le plus d’animations. Sur ma gauche, là où se trouvait la rue que je venais de quitter, j’entendis quelques cris puis plus rien. Un des groupes d’enfants avait dû faire un peu plus peur, avait dû être un peu plus effrayant qu’un autre groupe et les plus sensibles avait dû voir leur nerfs les lâcher. J’avançai, d’un pas sûr mais sans me presser vers le centre, pensant gentiment à revenir sur la rue principale pour me diriger vers Shibusen, voulant presque éviter la Place Centrale de Death City pour ne pas me faire engloutir dans le bruit et toutes les animations qu’il devait y avoir.

A mesure que j’avançais, j’entendis des espèces de « Bom » retentir. Comme si on frappait contre quelque chose. Pas un tambour, ça ne faisait pas assez de bruit. Ce n’était pas non plus le bruit d’une maison. Je me demandai ce qui pouvait bien produire ce son et je me dirigeai là d’où il provenait, c’est-à-dire, de la rue principale. Je bifurquai pour arriver sur la rue et un étrange spectacle se déroula sous mes yeux. Devant chaque porte de chaque maison de la rue, une ou plusieurs personnes frappaient comme précédemment les groupes d’enfants pour réclamer des bonbons. Mais ces personnes-là, semblaient beaucoup plus vieilles que moi. Je m’avançai un petit peu pour essayer de mieux les distinguer et m’arrêtai sous un lampadaire pour essayer de voir à quoi elles ressemblaient. Car étrangement, elles semblaient toutes porter le même costume. L’une de ces personnes me repéra et par un cri rauque assez étrange avertit toutes les autres de ma présence. Elles se dirigèrent vers moi, les bras ballants devant elles tel des zombies. Lorsque quelque unes de ces personnes passèrent sous les lueurs que projetaient les lampadaires, je remarquai que leurs têtes étaient en fait des citrouilles dans lesquelles on aurait découpé des yeux, un nez et une bouche et dont on aurait vidé l’intérieur. Comme si on avait voulu sculpter une citrouille, pour la mettre dans son jardin avec une bougie à l’intérieur pour lui donner un aspect effrayant. Instinctivement, je me reculai. Un si grand nombre de ces espèces de citrouilles-zombies, car il faut bien l’admettre, en entendant leurs cris rauques et en voyant leurs manières d’agir, on ne pouvait pas ne pas penser que ce ne sont pas des zombies, j’avais du mal à admettre qu’ils venaient juste pour me saluer ou qu’il me veuille ne serait-ce qu’une once de bien. Je me retournai, commençant à courir et repartit par la rue où j’étais arrivé pour tenter de les contourner et de passer le centre-ville pour arriver le plus vite possible à Shibusen. Autant dire que c’est aussi facile que de ne semer un éléphant dans un couloir droit. Chaque fois que j’avais l’impression de semer ces zombies à la course, de nouveaux arrivants débarquaient des rues parallèles, reprenant la course-poursuite et m’obligeant à ne pas m’arrêter pour souffler quelques secondes. Autant dire qu’à ce rythme, le centre de Death City fut atteint en moins de temps que pour dire ouf. Alors que j’arrivais en courant sur la place, je reçus comme un coup dans le ventre en voyant ce qui m’attendait. Une horde de ces zombies-citrouilles déambulaient, attendant je ne sais quoi, peut-être une victime potentielle. Et moi, comme un imbécile, je me jetais la tête la première dans la gueule du loup, leur offrant une victime de choix et toute désignée. Aussi vite que j’étais arrivé sur la place, je fus repéré et chassé comme une vulgaire proie par ces maudits zombies. Si ça avait dû être du un contre un ou même du un contre deux, j’aurais pu avoir une petite chance de m’en sortir. Mais là, à, au minimum, vingt contre un, je n’avais même pas l’espoir d’un espoir de m’en sortir. Je courrais, essayant de semer mes adversaires, me faufilant dans les passages, zigzaguant dans les ruelles, renversant derrière moi dans un boucan du diable tout ce que je pouvais afin de les ralentir dans leur course. Ça eut un peu d’effet mais pas énorme. J’avais juste réussi à gagner quelques mètres sur mes poursuivants. Je tournai à un coin de rue et vit un de ces groupes de zombies avancer lentement vers une personne légèrement plus petite que moi. Bloquée sous un lampadaire, je pouvais distinguer toujours mieux son visage à mesure que je m’approchais. Quelle surprise quand je vis que cette personne était celle avec qui je faisais équipe, ma chère partenaire Ren. J’arrivai à côté d’elle et me retournai pour faire face à mes traqueurs. Mais il n’y avait rien à faire, même avec Ren et en supposant que nous puissions nous occuper d’un seul groupe de zombies à la fois pour combattre, il était trop nombreux.

" Eh bien, ma très chère Ren, nous voilà dans une bien méchante position..."

Une seule solution pour nous, nous échapper par une ruelle juste à côté et atteindre la petite place juste au bout de la rue. Nous n’avions pas trop le choix, c’était soit cela et essayer de trouver de l’aide pour endiguer cette masse de zombies, soit combattre maintenant et mourir à petit feu en nous faisant démembrer par ces groupes qui sont, pour le moins, hostiles. Je pris la main de Ren et, la forçant à me suivre, me mis à courir pour atteindre cette fichue place.

" Suis-moi, Si nous arrivons à atteindre la petite place qui se trouve juste un peu plus loin, on aura peut-être une chance de nous en sortir vivants et peut-être que quelqu’un viendra nous aider. Enfin, j’espère que nous aurons de l’aide. Parce que vu le nombre qu’ils sont, on aura du mal si on est seuls."»
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MessageSujet: Re: 28 Minutes Later [Event - Team D] 28 Minutes Later [Event - Team D] EmptySam 30 Oct - 23:56

Quelle horreur que cette soirée, tous le monde aimait Halloween, mais pour Tablen ce n'était qu'une manière de se rendre idiot. Sa grand mère avait voulu qu'il y participe un jour, mais cela s'était très mal passait, il avait donc du se déguisé. Les amis de sa grand mère, des gens assez en marge de la société s'étaient proposés de l'accompagner. Déguisé, il avait parcourut tout le village à la recherche de bonbons et de sucreries. Après les trois premières maisons passés, il avait déjà rempli sa poches à sucrerie à ras bord. Ces voisins lui avait proposé de lui prêter leurs sac. Tablen ravi n'avait pas pu refuser. Il avait alors entrepris de faire le reste des maisons soit 35 au total. Finalement après quelques heures de dur labeur et de sucreries, il était parvenu à remplir la totalité des poches que lui avait confié les voisins. Il ramené les sacs devant la porte des voisins, quand en chemin, il les aperçut en train de discuter avec le maire. Tablen se porta à leur rencontre et ne pu s'empêcher de remarquer que la poche de friandises qu'ils avaient avant de quitter Tablen n'avait pas grossit d'un poil. Lorsqu'ils le virent arriver, il eurent une expression d'étonnement, rapidement masqué. Ils prirent les sacs de friandises de ses mains et rentrèrent chez eux sans rien lui demander. Il était dégouté il avait fait tout le boulot et c'était eux qui profitait des bénéfices. Lorsqu'il avait demander des comptes à sa grand mère, elle avait paru outré. Elle s'était empressée d'aller se plaindre auprès de ses voisins. Ceux là même avait osé dire que c'était Tablen qui mentait. Il avait donc reçu une belle branlée durant cette soirée, sa grand mère avait préféré croire les voisins que lui. Depuis ce soir là, il s'était juré de ne plus jamais fêté Halloween, on comprend donc que Tablen n'aime pas particulièrement cette soirée. Donc quand shinigami-sama avait demander l'aide de quelques élèves pour défendre la ville en cas d'attaques, Tablen s'était empressé de répondre positivement à ça demande. Il faisait donc partie d"une sorte de groupe de défense. On l'avait informer qu'il ne serait pas le seul à veiller sur la ville ce soir là.

Shinigami-sama avait donc demandé de l'aide de plusieurs élèves afin de protéger la ville contre une quelconque menace. Il semblait anxieux lorsqu'il avait annoncé ça. Pensait-il qu'il y aurait que quelque chose d'horrible se passerait durant cette soirée? En tout état de cause, Tablen qui ne supportait pas cette fête avait vu d'un bon œil cette demande. Tout simplement parce qu'il ne voulait pas passer la soirée à se faire chier dans le dortoir. Dés lors que Shinigami-sama avait annoncer que les élèves pouvait partir, Tablen c'était précipité à la bibliothèque. Son objectif était de se renseigner sur les traditions de la soirée d'Halloween. En effet, en se documentant il appris que c'était souvent lors de ces soirées que l'on répertoriait le plus d'attaque de pré-démon. Lors de ces 100 dernières années un nombres excessif d'attaques avaient été relevé. Tablen comprenait mieux pourquoi Le maitre était inquiet. Tablen referma le bouquin est parti le remettre en place. On lui avait toujours appris à ranger les affaires la où on les avaient trouver. Lorsqu'il sortit de la bibliothèque, il avait une boule au ventre. Un doute s'installait en lui, depuis quelques temps, il avait remarqué qu'il y avait de plus en plus d'élèves débutant à Shibusen, et il savait que contre une armée de pré-démon, il ne ferait pas le poids. Alors qu'il se baladait dans les couloirs, il remarqua avec rage que encore une fois, il se trouvait faible. Si il y avait une invasion massive, il avait de fortes chances qu'il se fasse lyncher. Il rentrait dans sa chambre avec la sensation que la soirée allait mal se passait. Dans l'école la plupart des élèves s'était déguisé. Tablen se déshabilla et fila à la douche. Il y resta pas mal de temps, laissant la pression de l'eau lui frappait le corps. De l'eau perlait sur tout son corps, il adorait prendre des douches, et plus elle durait plus il aimait. Mais arrivait un moment où il fallait sortir. Il se mit une serviette autour de la taille, elle lui descendait jusqu'au genoux. Il en prit une autre et l'utilisa pour se sécher les cheveux. Il se brossa les dents et se lava le visage. Enfin il se finit de sécher les cheveux à l'aide d'un ventilateur qui dégageait de la chaleur. Il sortit des douches en serviette et se dirigea vers son armoire. Il n'aimait pas cette fête mais il pouvait quand même faire en sorte de passer inaperçu dans la foule. Un sourire se dessina sur ses lèvres.

Il s'était donc habillé de façon assez sobre, il voulait se faire discret, un ensemble pantalon chemise noire et une cravate blanche, de belles chaussures en cuir toutes neuves. C'est fou le prix que ça coute ces chaussures là, heureusement il avait de la famille en Italie, enfin celle qu'il avait retrouvé. Ainsi il se présenta sur la place centrale . Pour l'instant il n'avait rien remarquer de suspect. Il avait décidé de rester sur la place centrale car c'est à cette endroit que circule toute les informations. Si quelque chose se passait dans la ville il s'en apercevrait en premier et surtout très vite. D'ailleurs en parlant d'action il commençait à s'ennuyait. A part des parents joyeux et leurs sales bambins il ne se passait rien. Tablen se voyait à rêver d'être comme tous ces gens, heureux et en famille. Cela le rendit nostalgique, il enragé de ne pas encore avoir retrouvé la trace de son père, mais il s'était promis d'y parvenir. Alors qu'il était plongé dans ses pensées, une jeune fille vint devant lui avec un sac vide, elle était triste, personne ne lui avait remplit son sac, sous prétexte qu'un chaton n'avait rien d'effrayant. Tablen posa une de ses mains sur sa tête de la jeune fille. Celle-ci surprise le regarda avec des yeux ronds. Il mis la main dans sa poche et sortit une dizaine de petits bonbons à sucer. La jeune fille lui sourit ravi, lui prit les bonbons et repartit les montrer à ses amis. Lorsque ceux-ci sont revenus à l'endroit où Tablen était, il était parti. Une rumeur s'était lancé alors, une rumeur à propos de citrouille. Elle commençait à s'intensifier, elle devenait d'ailleurs si précise que Tablen se demanda si c'était vraiment une rumeur. On parlait d'hommes citrouilles qui mordaient des hommes devenant a leur tour des homme citrouilles. C'était assez glauque, trop d'ailleurs, Tablen ne tint donc pas compte de la rumeur. Mais alors qu'il partait vers l'église, il entendit des pas de course et se retourna, deux personnes mains dans la main couraient vers la place centrale. Il comprit pourquoi il courait en voyant la petite armée les poursuivant. Cette armée était composé d'hommes citrouilles. La rumeur était donc vrai? Il ne mit pas longtemps à prendre une décision, pour une fois que quelque chose de bien se passait. Enfin quelque chose de bien peut être pas, on dira qu'il y avait enfin de l'action. Il déclencha alors la technique Avra. Il ressentait la puissance affluait en lui. Il devrait cependant attendre encore un peu avant de pouvoir l'utiliser. Cependant il pouvait quand même les aider. Surtout que le garçon lui rappelait quelqu'un. Il se mit face à eux, changea son bras en arme et courut vers eux. Il prit le plus de vitesse possible et arriva à environ 1 mètre du couple, il déclencha alors:

- Suo!

Se téléportant juste devant le garçon pour arriver devant la première des citrouilles en un seul bond, il trancha la tête de celle-ci. Un moment d'hésitation se fit sentir dans les rangs des hommes citrouilles. Il en profita pour faire un saut en arrière et revenir à la hauteur du couple. Les effets de sa technique se firent sentir, heureusement qu'il n'avait fait qu'un bond, les douleurs physiques n'était que très légères. Il se déplaçait cependant un peu moins bien. De toute façon, il avait bien compris que ce soir allait être une dure soirée. Ils étaient nombreux et si les deux personnes derrière avec fuient, c'est qu'à eux deux ils pouvaient pas battre cette armée. Alors avec une arme débutante en plus, il ne pensait pas faire la différence non plus. Tablen se demandait qui avait bien put lâcher ces citrouilles. Quel était le monstre auteur de tout ce carnage. Il était évident que cela doit être un akuhei de haut niveau. Il leur fallait au moins une personne d'expérience en plus, sinon cela risquait d'être leur dernier Halloween...
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MessageSujet: Re: 28 Minutes Later [Event - Team D] 28 Minutes Later [Event - Team D] EmptyMer 3 Nov - 1:19

La journée de cours se terminait enfin, le professeur venait tout juste de ranger son peu de matériel pédagogique se résumant en bref à quelques scalpels et tout juste de quoi écrire, ensemble représentant bien toute l’étendue de ses cours : Des instruments de dissection et de quoi noter ses élèves sur leurs manipulations. Rangeant le tout dans l’intérieur de sa blouse, il ferma alors l’amphithéâtre quand le dernier élève eut terminé de ranger ses notes et de partir. Une soirée était au programme d’aujourd’hui, et oui c’est la fameuse soirée d’Halloween, une de ces fêtes où la plupart des gens se déguisait afin de quémander diverses friandises aux gens. Un événement dont l’ambiance pourrait être au combien lugubre et funèbre mais au contraire, elle est organisée afin que la bonne ambiance règne. Parcourant le couloir de l’école, les petits groupes d’élèves se regroupaient pour se demander en quoi ils allaient se déguiser, ou bien quelles maisons ils ne devaient absolument pas rater pour récolter le maximum de sucreries, données basées sur leur expérience des années précédentes. A vrai dire, Stein aimait bien cette fête car ses élèves affutaient leur sens de l’organisation, il voyait des costumes plus ou moins loufoques et puis la traditionnelle soirée de Shibusen n’en était pas moins une des raisons. Quand il sortit de l’école, il constata une Death City métamorphosée, apparemment durant la journée la décoration semblait être minutieusement finalisée : Tout était recouvert de diverses décorations rappelant l’ambiance d’Halloween telles que les traditionnelles citrouilles, maintes toiles d’araignées synthétiques, têtes de mort et autres babioles. Chaque personne qu’il croisait semblait s’être prêtée au jeu : il ne comptait plus le nombre de chapeaux pointus, faux nez, oreilles de chat, grandes capes et masques de monstres qu’il avait croisé. Les troupes de petits garnements, à la quête de friandises, tapaient aux portes et débitaient leur petite phrase fétiche en ouvrant grand leurs paniers pour augmenter leur butin. Il fallait alors qu’il se prépare pour rejoindre Shibusen pour participer à cette soirée et se ruer sur les divers petits fours, il ouvrit alors la porte de sa demeure. On pouvait dire que chez lui, c’était Halloween toute l’année : C’est sombre, pas très bien rangé et intimidant pour une personne standard.

Le scientifique prit alors une brève douche, une toilette qui lui donna une piqure d’enthousiasme : Après tout, lui aussi pourrait se prêter au jeu et se déguiser. Il s’essuya alors rapidement et farfouilla parmi ses placards, entre son matériel de dissection et quelques ordres de missions qu’il avait déjà achevés il retrouva un pot contenant une mixture entièrement noire à l’intérieur. Il l’ouvra et l’emmena avec lui dans la salle de bain, le pot dégageait une forte odeur mais cela ne dissuada pas le professeur qui plongea la main dedans pour en sortir une dose, calée dans la paume de sa main. Il se plaça en face de son miroir craquelé et s’étala la substance sur son cuir chevelu. Il s’avérait que ce produit était en fait une de ses compositions qui lui servirait à se teindre ses cheveux pour les rendre aussi sombre que la nuit. Même s’il voyait l’événement comme un pur divertissement, Stein s’appliquait pour sa teinte et son déguisement car auparavant il lui avait servi pour dissimuler son identité lors de missions, donc le fait de s’appliquer aussi soigneusement jusqu’un bout des pointes devait être un reflexe resté dans sa mémoire. D’habitude, il cachait l’énorme vis qui lui parcourt la tête sous un haut de forme ou un autre quelconque couvre-chef mais ces derniers avaient pour la plupart péri bravement au combat, mais bon ce n’était pas grave car après tout son but n’était pas d’être incognito. Pendant que la teinture séchait, le génie s’appuya contre le rebord de la fenêtre de sa chambre : La nuit était à présent complètement tombée, les passants commençaient à se raréfier et la température chuter. Il ouvrit alors une autre de ses boites et prit une paire de lentilles, ces dernières rendaient les pupilles couleur sang, donnant au professeur un regard encore plus effrayant que d’habitude. Apparemment la teinture avait séché, Stein prit deux grosses poignées de friandises qu’il avait achetées en ville avant d’aller en cours, prit une veste noire qui lui servait de costume à la place de sa blouse habituelle et sortit de sa demeure. Les rues étaient pratiquement désertes à cette heure-ci, les commerçants étaient déjà en train de fêter Halloween avec leur famille et les élèves devaient surement déjà être à l’école en train de s’empiffrer.


Stein était satisfait de son déguisement, sortit une cigarette de sa poche intérieure et l’alluma difficilement à cause de la température extérieure qui, en cette saison, commençait à se faire fraiche. Il croisa alors un petit groupe de gamins toujours en quête de sucreries tourner à l’angle de sa rue, il remarqua alors une toute petite fille en tête de file : elle était vêtue d’une blouse trop grande pour elle, tout comme les lunettes qu’elle avait du emprunter à un de ses parents et une vis synthétique qui ornait sur sa chevelure. Elle s’était déguisée en Franken Stein, l’idée était certes charmante mais comme le déguisement se voulait être par tradition effrayant, le professeur fit une légère moue. C’est donc lorsque la pseudo-Franken Stein tandis son panier déjà bien rempli avec un sourire angélique que ses petits camarades firent de même et le professeur glissa dans chacun des paniers une des friandises qu’il avait emporté. Le petit groupe disparut alors dans les ténèbres de la ville, s’engouffrant dans les ruelles, laissant ainsi un silence complet. L’ambiance était certes à celle d’Halloween mais celle-ci était tout de même inquiétante, le professeur tandis l’oreille mais n’entendait que le grésillement des lampadaires dont la lumière faiblissait. Il continua tout de même sa route serein, jusqu’à qu’il croisa un autre groupe dont chaque membre était habillé de manière identique… En vérité, non seulement ils avaient le même déguisement qui se résumait à une citrouille en guise de tête mais en plus ils semblaient tous avoir la même corpulence et être incroyablement froids et sinistres. Ceux-ci s’approchèrent du professeur, le premier tendant les bras, marchant comme un patin désarticulé tandis que le scientifique commençait à chercher une de ses friandises dans ses poches. L’homme-citrouille était alors à quelques centimètres de Stein quand le ce dernier lui colla directement un crochet, mettant ainsi le pantin à terre tandis que les autres commençaient à plonger sur lui. Il attrapa les deux suivants par la citrouille et écrasa au sol, alors que le dernier venait dans son flanc qui était son l’angle mort. Par chance, ces agresseurs étaient bien lents et le Manieur put ainsi lui mettre un coup de genou, le redressant ainsi tout en le faisant lâcher prise et concentrer sa longueur d’âme dans sa paume.


- KON-I !

Grâce à l’attaque de longueur d’onde, la citrouille qui lui servait de tête explosa littéralement. Il examina alors le premier qu’il avait mit au sol et apparemment son coup de poing qui avait fissuré le fruit laissait place à du vide. Il s’agirait donc de pantins à l’origine inanimés. D’un point de vue théorique, ces zombies devaient être manipulés par une magie de haut niveau ou par un Shokan expérimenté. Alors qu’il réfléchissait à leur origine, une horde de zombies-citrouilles deux à trois fois plus grande apparut au coin de rue. La longueur d’âme semblait avoir un certain effet sur eux, mais sans arme, étant donné leur nombre c’était carrément du suicide de les affronter simultanément. Le professeur se résigna alors à courir en direction de l’école, pour qu’il puisse manipuler une arme et se débarrasser définitivement de ces fruits un peu trop collants à son goût. Alors qu’il traversait la place centrale de Death City, Stein vit alors trois jeunes se faire acculer par une quinzaine de zombies, il se devait de les aider. Il courut, en prenant dans le dos les hommes-citrouilles, et sauta tête baissée dans le groupe afin d’en renverser le maximum et rejoindre les trois personnes piégées. Parvenu à traverser cette masse, il remarqua alors qu’il s’agissait tout simplement de trois élèves de Shibusen, mais les zombies ne s’en arrêtait pas à là, ils étaient bien décidés à en finir avec ces humains et continuèrent vers le professeur et ses élèves.

- Bonsoir, je vais faire très court : Nous sommes entourés de zombies, j’ai pu constater que votre propre longueur d’âme était très efficace contre ces créatures. Pour l’instant, ils ne sont pas beaucoup à nous attaquer mais c’est bien suffisant pour y laisser nos vies donc il faut éliminer ce groupe le plus vite possible. J’ignore à quelle classe vous appartenez mais notre unique chance de survie est que, s’il y a au moins un Manieur ici, nous fassions une résonance en chaine et utiliser la résonance des âmes pour tous les éliminer et commencer à sauver Death City. Je compte sur vous.

Ne se souvenant pas des trois élèves, qui était le Manieur, le professeur ferma les yeux et commença à régler sa longueur d’onde afin que le Manieur puisse s’en servir et éliminer en Résonance des âmes le petit groupe de zombies.
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MessageSujet: Re: 28 Minutes Later [Event - Team D] 28 Minutes Later [Event - Team D] EmptyDim 14 Nov - 22:20

Tsss ! Une complication ? Le seigneur des armées mort-vivantes se concentra sur les rues de Death City où ses sbires, d’après ce qu’il ressentait en lieu même, ne cessait de croître et croître en nombre, incoercibles, horrifiants, légion ne souffrant aucune résistance que sa propre torpeur digne des escargots. Quelle frustration c’était, de ne pas les voir bondir et se jeter sur leurs proies en les déchiquetant en quelques secondes, mais quel sensation délectable était par contre celle de la mort, et de la réanimation putréfiée de chaque victime, une à chaque seconde, Mister Halloween en frissonnait de plaisir… Mais cela n’allait pas assez vite, trop lent, trop lent ! Frustrant ! Oh, encore quelques serviteurs, oh oui, quel plaisir ! Non, trop lent ! Si, encore, ENCORE ! Hmpf !...

S’extrayant de sa psyché morbide, l’épouvantable marionnettiste se focalisa sur la zone de Death City où il avait senti quelque trouble. Voyant à travers les yeux de sa première ligne, il distingua quatre personnages en formation : un vampire, un affreux percé d’un clou, et deux personnes qui semblaient plus humaines. Réfléchissant une minute…puis une autre… et quelques secondes supplémentaires, Mr Halloween se souvint pourquoi cela devait arriver aujourd'hui. Pour les humains, aujourd’hui, à ce qu’il savait, on se déguisait pour effrayer les gens ! Muahahah, c’était le soir d’Halloween, quelle coïncidence ! Ahah, ahahahah, GNYAHAHAHAH ! Mais bien sûr tout était prévu, au jour prêt, depuis si longtemps! Machiavélique. Oops ! Il s’était tellement emporté dans son euphorie que la moitié de la légion s’était agitée en semblant se tordre d’un rire terrifiant.

Cessant de se laisser aller dans ses méandres intérieurs de Folie absurde, il se focalisa de nouveau sur la zone troublée. Se concentrant, il examina ses futures victimes *sont-elles dangereuses au point d’avoir détruit certains de mes jouets ? *. Il décida d’en savoir plus, et utilisa la sublimation sur deux citrouilles-vivantes. Les faisant exploser à la tronche des quatre contrevenants, il utilisa le fluide évaporé des cadavres pour détecter le potentiel du groupe. L’une d’elles était amusante en effet, constata le maître des zombies en observant les volutes d’énergie latente qui s’extrayaient avec la vapeur du docteur trépané. Avec les trois autres, légèrement moins intéressants mais hostiles, il pouvait gêner assez fortement ses petits mort-vivants. Il fallait donc prévoir de quoi riposter. D’une inflexion de sa pensée, Mr Halloween dirigea la majorité de ses autres unités errantes vers le petit groupe. Ça leur ferait bien une soixantaine de zombies sur le dos !...Soixante-neuf exactement, quelques autres continuant à amplifier l’armée, et un groupement d’autre se dirigeant vers l’église non loin des quatre humains, afin de servir un dessein plus pervers…

Voyant les quatre combattants réagir avec un certain dynamisme, Mr Halloween s’impatienta. Plus vite mon armée, plus vite !! Allez leur bouffer les jambes, leur sucer la moelle et transformer leurs boyaux en clafoutis ! Mais ses zombies étaient bien lents. Leur nombre effrayait tout de même assez les résistants, qui devaient les repousser tant bien que mal et éviter de se faire engloutir comme dans ses films d’horreur qu’on regarde tard le soir, ou l’ennemi s’avance vers vous de tous côtés, et vous ne pouvez rien faire, ils dardent leur doigts aux ongles ternes et sales sur vous, puis vous agrippent pour ne plus vous lâcher, vous mordent ensuite et montent tous ensemble sur vous pour vous démembrer, et le meilleur, vous faire disparaître sous la masse pour laisser le spectateur imaginer avec horreur la boucherie correspondant aux gémissements des victimes à vous glacer le sang ! Avec ces autres, on n’en était pas encore là, mais on n’y viendrait avant longtemps, car sans qu’ils le sachent, au carrefour où ils se trouvaient, les cadavres animés se rassemblaient, serpentant entre les maisons, se rassemblant dans les allées étroites pour surgir derrière eux ! D’ailleurs, ils étaient déjà envahis. Plus d’échappatoire possible pour ceux là. Mais au cas où, l’épouvantail infernal fit quand même s’entre-dévorer l’arrière-garde de ses zombies à l’église, y mêlant son pouvoir afin de faire naître deux immenses Amalgames, qui croissaient et enflaient alors que les citrouilles se croquaient, s’arrachaient les unes les autres et se mélangeaient en laissant couler à terre des litres de fluides orangé et vermeil… des monstres aux dizaines de bras, aux yeux immenses et terribles, et à la gueule garnie de crocs acérés !

Le démon prit alors la parole, enivré de jouissance morbide, par l’un de ses serviteurs chancelant :


"Alors, pauvres créatures, appréciez-vous ce soir d’Halloween ? Profitez de vos compagnons enjoués, qui frappent à vos portes, éclatent vos os, et vous réclament vos tripes en amuse-gueule ! Abandonnez-vous, rien n’arrête la mort, rejoignez nos rangs plein d’oubli et de joie, abandonne-toi à la mort, Death City ! GNYAAAHAHAHAHAH !"

C’est alors, que dans un élan d’énergie macabre, sur deux côtés, les morts-vivants les plus proches agrippèrent les quatre individus, balançant le vampire et sa compagne d’un côté, et les séparant du professeur et de l’autre élève. Avant de recommencer à avancer sur eux, lentement, affligés du sourire fixe et lugubre des citrouilles-zombies !


[The legend]
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MessageSujet: Re: 28 Minutes Later [Event - Team D] 28 Minutes Later [Event - Team D] EmptyMer 17 Nov - 18:24

Ren était à genoux par terre désespérant, qu’aller t’elle faire ? Autant abandonner toute de suite...de toute façon c’était perdu d’avance alors autant ne pas résisté. Ren leva la tête puis la secoues, elle ne devait pas être négative, elle devait rester en vie il était question de sa vengeance la si elle crever maintenant c’était foutu. La jeune fille observa les alentour cette buée…on y voyer rien mais rien du tout, du brouillard encore et encore et toujours du brouillard. La manieuse ne savais même pas quand ces zombi-citrouille aller arriver mais une chose est sur elle devait préparer un plan et trouver de l’aide, c’est a ce moment la que Al arriva à coter d’elle. Ren fut heureuse de voir son partenaire mais ces zombies…elle s’en serait passée.

-Eh bien, ma très chère Ren, nous voilà dans une bien méchante position...

Il pouvait le dire… poursuivi par des créatures répugnante c’est vrai que c’était une méchante position. Al pris la main de Ren puis la força à le suivre, ils se mirent à courir.

-Suis-moi, Si nous arrivons à atteindre la petite place qui se trouve juste un peu plus loin, on aura peut-être une chance de nous en sortir vivants et peut-être que quelqu’un viendra nous aider. Enfin, j’espère que nous aurons de l’aide. Parce que vu le nombre qu’ils sont, on aura du mal si on est seuls.

Avait-elle le choix de le suivre ou pas ? Dans tout les cas il avait raison trouver de l’aide c’était la meilleur chose à faire. Ils couraient tellement que la jeune fille était à deux doigt de trébucher mais ce n’était pas le cas elle se rattrapa toute seule. A court de souffle Ren obligea son partenaire à s’arrêter, la jeune fille repris t’en bien que de mal son souffle puis regarda son partenaire elle aller dire une chose quand un garçon tout de noir vêtu comme son partenaire arriva et trancha la tête d’un des zombie-citrouille. La jeune fille était impressionné ce garçon était lui aussi une arme et pas n’importe laquelle c’était un Katana. Le jeune homme s’approcha de la manieuse et de son partenaire, a peine quelque minute après une autre personne arriva et au plus grand bonheur de tous c’était un professeur de Shibusen et pas n’importe quel professeur c’était le professeur Franken Stein.

- Bonsoir, je vais faire très court : Nous sommes entourés de zombies, j’ai pu constater que votre propre longueur d’âme était très efficace contre ces créatures. Pour l’instant, ils ne sont pas beaucoup à nous attaquer mais c’est bien suffisant pour y laisser nos vies donc il faut éliminer ce groupe le plus vite possible. J’ignore à quelle classe vous appartenez mais notre unique chance de survie est que, s’il y a au moins un Manieur ici, nous fassions une résonance en chaine et utiliser la résonance des âmes pour tous les éliminer et commencer à sauver Death City. Je compte sur vous.

Ren observa Stein, heureusement pour lui qu’elle était une manieuse car il se serait couvert de ridicule si ils étaient trois arme mais bon passons. La jeune fille s’approcha du professeur et se concentra pour s’accorder avec lui, c’est alors que un des zombie-citrouille pris la parole.

-Alors, pauvres créatures, appréciez-vous ce soir d’Halloween ? Profitez de vos compagnons enjoués, qui frappent à vos portes, éclatent vos os, et vous réclament vos tripes en amuse-gueule ! Abandonnez-vous, rien n’arrête la mort, rejoignez nos rangs plein d’oubli et de joie, abandonne-toi à la mort, Death City ! GNYAAAHAHAHAHAH !

Ren trouva que ce rire diabolique glacerais le dos de n’importe qui mais elle devait se concentré, quoique au moment ou la jeune fille aller réussir à régler sa longueur d’âme des zombies l’agrippa et la balança avec Al d’un coter tant dit que Stein et l’autre garçon dans la direction opposer. La jeune manieuse tomba par terre, puis regarda ses ennemies qui recommencèrent à avancer vers elle et Al. C’est zombie n’était pas si idiot que ça, séparé le petit groupe en deux partie était bien vu, maintenant Ren et Al devait trouver un moyens de passer pour rejoindre les deux autres. De toute façons ils n’avaient pas le choix se battre était la seule solution et puis cette invasion n’était surement pas le fruit du hasard il devait y avoir un chef et ce chef devait être à l’origine de tout ce remue ménage. Ren devait en avoir le cœur net et pour ça elle aller passer de force même si le nombres de l’ennemies augmenter ils aller réussir a battre cette menace pour Death City.

-Al, ils faut passer à travers c’est zombie-citrouille si on utiliser ta technique Bullet devil je pense qu’ont pourra passer.

La jeune fille était sur d’elle-même si elle savait la conséquence que cela pouvais entrainer mais bon tout les moyen était bon pour rejoindre les autres. La jeune fille était prête a sauté, il ne manquer plus qu’Al se transforme et le combat pourrais enfin commencer…
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Catleya Evergreen


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MessageSujet: Re: 28 Minutes Later [Event - Team D] 28 Minutes Later [Event - Team D] EmptyJeu 18 Nov - 22:52

Alors que nous atteignions la petite place, je vis passer un éclair, qui se dirigeait contre les zombies puis, entendant un bruit de corps qui s’écrase, ce que j’avais pris pour un éclair, et qui était en réalité un jeune homme. A la place de son bras, apparaissait une lame. J’en déduisis donc que c’était tout comme moi, une arme. Voilà qui nous faisait un peu gagner en puissance. Avec lui, nous aurions peut-être une chance de repousser ces zombies, le temps de trouver une solution. Quoique, j’en doute. Plus le temps passait, plus il me semblait que je voyais de cette couleur orange que les citrouilles avaient. J’étais déjà découragé de voir cette masse avancer vers moi. Non, je n’avais pas le droit de baisser les bras maintenant. Des personnes comptaient sur moi, je n’avais pas le droit de les décevoir. Une de mes pensées pointa sur le dernier souvenir que j’avais de ma cousine. Oui, je ne pouvais abandonner contre ces saletés de citrouille-zombies, j’avais quelque chose de bien plus important à faire. Je me devais de trouver un moyen de la sauver, de la remettre dans le droit chemin. Dussai-je y laisser mes deux bras et mes deux jambes, y laisser ma santé et être à la limite de la mort, tant qu’il me restera la moindre once de vie, je continuerai à chercher un moyen de la sauver, jusqu’à ce que la mort de l’un de nous deux me détache de cet objectif et que je me rende réellement compte que la sauver sera désormais chose impossible. Je me retrouvais alors sans but, et je ne sais pas ce que je ferai lorsque ce moment sera venu.

Plongé dans mes pensées, je ne fis pas attention au mouvement qui avait lieu à l’arrière des assaillants. Les zombies semblaient tomber comme des quilles dans un jeu de bowling. Quelque chose ou quelqu’un semblait arriver et prendre de dos les attaquants. Je vis très vite qu’il s’agissait d’une personne. A mesure qu’elle s’approchait, je pouvais mieux la distinguer. Cette silhouette me disait quelque chose. C’est quand elle arriva à notre hauteur que je remis un nom sur sa tête. Mais bien sûr, je le croisais presque tous les jours dans les couloirs, je suivais ses cours, en essayant de ne pas m’endormir et de prendre des notes sur ses dissections. Il s’agissait du Professeur Stein. Il nous fit rapidement un petit topo de la situation et nous donna un ou deux trucs plutôt efficaces à utiliser contre ces zombies. Il alla même jusqu’à demander de faire une résonnance en chaine. C’était parfait, deux armes et deux manieurs. D’après lui, la résonnance en chaine était le seul moyen d’endiguer la progression de cette armée. Nous avions le meilleur combattant de Shibusen à nos côtés, il fallait désormais que nous nous battions avec notre potentiel au maximum, si nous voulions à tout prix gagner cette bataille contre les citrouille-zombies. Pour éviter que cette nuit d’Halloween ne soit la dernière pour Death City, et sûrement, pour le reste de la planète. Car vu comme les rangs de ces citrouilles grossissaient à chaque instant, la personne tirant les ficelles dans l’ombre aurait très vite de quoi faire tomber toute une région, puis une ville, le pays puis tous les autres continents. Il fallait donc, que nous réduisions à néant ses efforts, sûrement aidés par d’autres personnes ailleurs qui combattaient aussi. Il nous fallait empêcher cette personne dans l’ombre d’agir comme bon lui semble.

C’est à ce moment-là que je vis un des zombies du premier rang ouvrir, si l’on peut dire cela, ce qui lui servait de bouche et parler avec une intonation plus que maléfique, qui reflétait la soif de pouvoir et la quête de puissance de son possesseur :

"Alors, pauvres créatures, appréciez-vous ce soir d’Halloween ? Profitez de vos compagnons enjoués, qui frappent à vos portes, éclatent vos os, et vous réclament vos tripes en amuse-gueule ! Abandonnez-vous, rien n’arrête la mort, rejoignez nos rangs plein d’oubli et de joie, abandonne-toi à la mort, Death City ! GNYAAAHAHAHAHAH !"

Aucun doute, ce type avait du péter une durite pour vouloir ça. Franchement, qui voudrait vraiment faire partie d’une armée de citrouilles mort-vivantes, à déambuler sans but, sans se soucier de ses camarades, n’étant plus que du menu fretin, en première ligne dans une bataille, prêt à mourir en essayant d’accomplir le but du grand patron, sans avoir de but personnel. N’être plus qu’une machine de guerre, en fait. Sans pensée, ni sentiment. Ne cherchant plus à réfléchir, ne pensant plus, vu que quelqu’un le fait pour soi. Réduit à exécuter des ordres et de basses besognes sans rechigner ni décrocher ne serait-ce qu’un seul mot de protestation. Pour cette raison, et pour d’autres, je me refusais de laisser tomber. Et les trois autres personnes présentes ici pensaient sûrement la même chose. Nous serons le rempart qui fera s’échouer les plans de ce type. En tant que Shibuseniens, il était de notre devoir d’empêcher la ville de tomber aux mains de ce fou furieux, fanatique de la citrouille.

Profitant de ce léger moment de flottement, dû à l’arrivée en trombe du Professeur Stein et du jeune garçon, qui était une arme, tout comme moi, les citrouille-zombies nous séparèrent, Ren et moi d’un côté et de l’autre, le Professeur et le garçon. Avec entre nous deux, un joli mur de zombies à tête de citrouille. Nous séparer afin de mieux nous anéantir, schéma d’attaque de base mais ô combien efficace. Il nous fallait absolument nous rejoindre, si nous voulions avoir une bonne chance de résister aux assaillants. Je me mis à réfléchir à toute vitesse. Il fallait trouver une solution et que l’on réussisse à tenir face à ces zombies. Je me rappelai d’une des premières leçons que j’avais suivie à Shibusen. En toute circonstance, ne jamais perdre ses nerfs et céder à la panique. Jusqu’à maintenant, cela avait été plutôt facile. Mais là, nos vies étaient carrément en jeu, un jeu où nous n’avions en aucun cas le droit de perdre.

Ren en profita pour proposer une solution. Avec ma technique Bullet Devil, nous pourrons peut-être passer, selon elle. Je regardai rapidement l’armée qui s’approchait dangereusement. Le temps pour la réflexion était passé, nous devions tenter quelque chose. Mais j’avais quand même des doutes sur l’efficacité de ma technique, cinq mètres de rayon pour une onde de choc, ce n’était pas beaucoup. Mais bon, qui ne tente rien, n’a rien. Je mis ma main dans celle de Ren et revêtit mon apparence d’arme.

" Allons-y, Ren. Tentons le pari et rejoignons l’autre duo. Mais fais attention, le contre-coup risque de faire mal. J’ai du mal à évaluer ce que ça aura vraiment comme conséquences. Le but, étant de les empêcher d’avancer en restant les quatre, vivants."
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MessageSujet: Re: 28 Minutes Later [Event - Team D] 28 Minutes Later [Event - Team D] EmptyDim 21 Nov - 15:32

un mauvais pressentiment... Il le sentait quelque chose d'horrible allait se passer. Une goutte de sueur froide descendit le long de son dos. Un frisson lui remonta le long de l'échine. Le couple était toujours derrière lui. Il ne savait pas pourquoi mais ce soir il allait devoir donner tout son énergie pour rester en vie. Plus ils restaient à s'observer, plus le nombres d'hommes citrouilles augmentait! Cela devenait irréaliste, en faisant un tour sur lui même Tablen remarqua qu'aussi loin que portait sa vue, il ne voyait que du orange à pertes de vue. Mais sa vision se fixant sur un endroit bien précis il vit que une personne creusait une allée entre cette marré de citrouille. Un homme, qui par ailleurs avait revêtu un habit noir tout comme lui. Lorsque cette personne apparût à leur côté, Tablen remarqua qu'il s'agissait de leur prestigieux professeur Stein. Il avait déjà eu un cours avec lui, un cour de dissection par ailleurs. Une bouffée de courage et d'espoir lui parcourra les muscles, ils avaient une chance de s'en sortir. Son manieur était en voyage, il pensait donc qu'il était impossible pour lui faire une résonance. Mais avec la présence du professeur Stein, il avait maintenant la possibilité de le faire. Lorsque celui-ci apparut à leur côté, il les rassura, en les informant que leurs longueurs d'onde auraient raison de ses fruits oranges! C'est alors que dans la cohue générale, une voie sinistre s'éleva. Elle leur annonçait que leur vie ne tenait pus qu'à un fil et qu'il était temps de mourir. Le pressentiment qu'il avait ressentit précédemment était donc bon. Alors que l'horrible voie continuer de parler les monstres citrouilles commençait à se rassembler pour former deux géant amalgame. Ils étaient immense, Tablen n'avais aucune technique dans son répertoire qui pouvait lui permettre de couper court à ces énormes individus. Lorsque la voie finit de parler les deux immenses monstres réagir avec une rapidité surprenante, ils agrippèrent chacun deux personnes et les projetèrent dans des directions différentes. Ils se retrouvèrent donc séparé en deux groupe, un composé du couple, et l'autre du professeur et Tablen. Le combat promettait d'être féroce.

Tablen atterrit lourdement par terre, les restes de sa techniques lui avait fait avoir des courbatures, il se sentait un peu lourd, mais il savait que les effets allait bientôt disparaître. Il fit un temps d'arrêt et fit rapidement un tour sur lui même. Il y avait du orange à perte de vue, on ne voyait plus rien à part de l'orange. En plus Tablen ne supportait pas le orange! Tablen se rapprocha du professeur, il pouvait sentir son pouvoir, avec lui comme partenaire, il rentrerai peut être indemne chez lui ce soir. Il fallait évaluer la situation, le combat risquait d'être long, il pouvait effectuer une technique qui en tuerait un certain nombre mais il fallait pour cela que Stein accepte de lui prêter main forte. Il avait entendu pas mal de rumeur sur le professeur, il aurait manier l'une des plus forte death scythe de Shibusen, il pouvait donc le manier alors qu'il n'est qu'un novice. Comme le combat risquait de durer mieux valait rester grouper, et comment rester mieux grouper que en synchronisant. Décidément il apparaissait de plus en plus évident au yeux de Tablen qu'il devait se faire manier par Stein. Mais il avait aussi entendu que le professeur avait pour habitude de disséquer ses partenaires. De toute façon, Tablen n'avait pas d'autre solution pour rester en vie que de faire équipe avec le docteur. Il déclencha la technique Avra et sauta en l'air, arrivé à son apogée, il se transforma en un long katana sans garde. Celui-ci retomba en se plantant dans le sol devant le professeur Stein. Celui-ci avait maintenant la possibilité ou non de se servir de Tablen:

- Il m'est apparût évident que nous n'avions pas le choix et qu'il fallait se battre ensemble, pour vous mettre au courant, je suis capable de faire une attaque de zone qui bien utilisait pourrait faire de sérieux dégâts dans les rangs ennemies.


Tablen attendit la réaction du docteur, et se concentra sur sur le combat.

[1er post de chargement de la technique Avra, fin de l'engourdissement due à la technique Suo]
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MessageSujet: Re: 28 Minutes Later [Event - Team D] 28 Minutes Later [Event - Team D] EmptyMer 24 Nov - 0:15

Les élèves semblaient avoir une certaine maturité et contrairement à ce à quoi il s’attendait, il n’eut pas droit aux traditionnelles questions futiles telles que « C’est quoi une résonnance en chaine ? » ou « On doit le faire avec vous ? », il n’eut pas même besoin de se répéter : Chacun des visages buvait ses paroles et commençait déjà à entrevoir la solution à cette invasion de zombies. C’est alors qu’un cri d’une voix aussi tonitruante qu’effrayante se fit entendre :

- Alors, pauvres créatures, appréciez-vous ce soir d’Halloween ? Profitez de vos compagnons enjoués, qui frappent à vos portes, éclatent vos os, et vous réclament vos tripes en amuse-gueule ! Abandonnez-vous, rien n’arrête la mort, rejoignez nos rangs plein d’oubli et de joie, abandonne-toi à la mort, Death City ! GNYAAAHAHAHAHAH !

Sans aucun doute que cet individu était à la tête de cette armée de pantins et s’occuper de lui s’avérait être probablement la solution la plus directe et efficace. Un discours capable de faire frissonner de frayeur une personne lambda, mais ce n’était pas le cas du professeur Stein : Au contraire, lui ne ressenti pas la moindre once de frayeur mais plutôt de l’énervement. C’était compréhensible, il était effectivement enthousiaste à l’approche de cet événement et voilà qu’un fauteur de trouble venait gâcher une fête qui s’avérait être une véritable partie de plaisir. Il sentit alors son corps se soulever de quelques centimètres et projeté quelques mètres plus loin, c’est pourquoi il rouvrit les yeux pour faire un point sur la situation : Ces maudites citrouilles venaient de les séparer en deux, laissant ainsi le professeur avec un des deux garçons. Situation que l’on pouvait qualifier de plutôt compliquée car il n’arrivait plus à se souvenir si ce dernier était un Manieur, une Arme ou bien même un simple civil qui n’avait aucune notion de combat. Il fallait donc un plan et très rapidement car bien que ces zombies soient relativement lents, leur nombre s’était multiplié et très vite les deux Shibuseniens se retrouvaient acculés. Cela dit, l’élève ne semblait pas au top de sa forme : Après que leurs ennemis les eurent envoyés comme de vulgaires sacs contre les pavés de la ville, celui-ci resta quelques secondes au sol. Alors qu’il s’apprêtait à l’aider il sentit le souffle d’un de ses assaillants dans sa nuque et fut obligé pour se défendre de lui écraser sa semelle en plein milieu de la cucurbitacée. L’élève venait alors de reprendre ses esprits et faire également le point sur la situation guère reluisante, ce dernier fit se rapprocha du professeur et fit un énorme bond : Il retomba alors sous la forme d’un katana au grand manche noir, mais ce dernier ne possédait pas de garde. Enfin une nouvelle intéressante, Franken se retrouvait alors en compagnie d’une arme donc ne se retrouve pas nu face à l’adversité. Tablen, tel était le nom dont il se souvint grâce à sa transformation, lui adressa alors le message suivant :

- Il m'est apparût évident que nous n'avions pas le choix et qu'il fallait se battre ensemble, pour vous mettre au courant, je suis capable de faire une attaque de zone qui bien utilisait pourrait faire de sérieux dégâts dans les rangs ennemies.

Apparemment le garçon semblait lucide et d’une rapidité d’esprit appréciable pour la situation présente. De plus, même si le professeur était réputé pour savoir adapter sa longueur d’âme rapidement, le calme, la simplicité et la présence d’esprit de l’élève facilitaient grandement la tâche. Posant alors la main sur le manche de l’arme humaine, il ressentit un frisson parcourant tout son corps, comme si un flux d’énergie commençait à lui parcourir les veines. Le scientifique marqua un temps au moment du contact entre la peau et le katana et souffla une demi-seconde. On put alors le voir esquisser un sourire lorsque celui-ci extirpa la lame du sol avec fracas, d’une manière aussi prestigieuse comme on l’aurait fait avec Excalibur, l’épée légendaire. Stein brandissait alors la lame en la tenant de sa main droite car tel était le style de combat du professeur : Dans la main droite les attaques avec l’arme, de l’autre les attaques de longueur d’âme. Malgré le fait qu’il porte le katana d’une main, son poids semblait comme inexistant, preuve de la parfaite symbiose des deux partenaires. Un des zombies se lança à l’attaque et il ne fut ni une ni deux pour que l’assaillant fut tranché verticalement d’une manière très nette, sans la moindre écorchure où que ce soit sur la coupe. La lame était parfaitement aérodynamique et incroyablement tranchante, comme si elle pouvait trancher le vent… Trancher le vent… L’élève lui parlait justement d’une attaque de zone… Ca rappela alors un vieux compte parmi tant d’autres que Stein avait lu durant sa jeunesse : Ce dernier parlait des samouraïs et plus particulièrement leur art de manier le sabre. Il paraitrait que le plus fort d’entre eux possédait ce qu’ils appelaient « La puissance supérieure de l’escrime de haut niveau », un nom aussi long que celui-ci ce prétendait dévastateur : Le samouraï qui accédait à ce niveau pouvait soi-disant tuer son ennemi sans même le toucher directement avec son sabre. Le professeur élimina alors l’un des zombies entré dans son périmètre de sécurité en lui injectant sa longueur d’âme, faisant ainsi exploser le légume qui lui servait de tête. Cette image du samouraï lui restait dans la tête et puis après tout, rien ne coutait d’essayer.

C’est pourquoi Stein prit Tablen de ses deux mains et dirigea l’extrémité dans son dos en fermant les yeux. Les pantins continuèrent alors à s’approcher et se retrouvèrent plus qu’à un mètre du duo, prêts à frapper. Cela ne perturba pas le professeur qui concentra le flux énergie dans son arme temporaire, lorsque brusquement il ouvrit les yeux et fit un mouvement oblique d’une vélocité impressionnante. La dizaine de zombie qui se trouvait en face d’eux se figea pendant bien une à deux secondes et s’écroula, chaque ennemi découpé en deux : C’était comme si le professeur avait déversé l’énergie dans la lame qui elle-même à projeté une onde tranchante. Malgré ce bref exploit, la fatigue commençait à se faire sentir pour le Manieur et pour Tablen, il ressentait alors que leur synchronisation commençait à légèrement défaillir : Ils ne pouvaient se débarrasser de tous ces ennemis à eux seuls, il leur fallait rejoindre alors l’autre duo et pour cela franchir le mur de zombies qui se trouvait entre eux. La technique précédente avait alors créé une légère ouverture et donc une faille dans ce mur humain qu’il ne fallait pas laisser échapper s’ils ne voulaient pas se faire submerger avant d’avoir rejoint leurs compagnons. Cela dit, le professeur n’était pas dupe : Il était très risquer de retenter la même technique que précédemment et ne tenait en aucun cas que Tablen se vide son énergie, il lui murmura alors :

- Tablen, c’est bien çà ? J’espère que tu tiens le coup… Je utiliser la Résonance des Âmes pour augmenter au maximum ma constitution pour pouvoir traverser de force la brèche que nous avons formée par l’intermédiaire de ta technique. Je ne te demanderai qu’une unique chose : Si après la résolution de ma technique, je viens à ne plus pouvoir bouger ou tombe, reprends ta forme humaine et retrouve les autres au plus vite… Prêt ?

Le cri « Résonance des Âmes » se fit alors entendre dans les rues de Death City. Le flux de puissance qui parcourait tout le corps du professeur se multiplia, il s’élança alors vers la masse de citrouille. En théorie, la Résonance des Ames devrait se projeter par l’intermédiaire de l’arme mais il semblerait que le choix se soit porté sur l’amplification de l’Avra de Tablen : Les éclairs bleus se formèrent alors dans la main gauche du professeur et ce dernier fut comme disparu du champ de vision pour s’engouffrer à l’endroit où la troupe de zombies était affaiblie. Le premier fut frappé d’un Kon-I qui le reversa avec certains de ses comparses et ainsi commença l’épreuve de force : Tandis que le professeur forçait le passage en tranchant, frappant et enfonçant tout ce qui se trouvait sur son passage, non seulement il essuyait les dommages que lui infligeaient tous les ennemis qui ne se retrouvaient pas au tapis mais en plus se répercutaient les contrecoups de cette amplifications, l’arme se faisait de plus en plus dure à manier et les pas de plus en plus éprouvants… L’épreuve de force était en fait un échec, au bout de quelques mètres, malgré tout ce qu’il pouvait donner, le professeur ne pouvait plus avancer, le nombre de zombies était beaucoup trop grand, il ne pouvait compter que sur les deux autres : Il réutilisa la technique « Onda di Lama » en direction du ciel pour indiquer sa position au deux autres, posa au sol Tablen et commença à lui servir de rempart humain en essayant de tenir au maximum avec des techniques de corps-à-corps jusqu’à l’arrivée de l’autre binôme…
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