Un mur n'avait jamais été aussi morbide, il sentait la mort, on avait l'impression que du sang coulait dans ses veines formée par les pierres empilée les unes sur les autres de façon très irrégulière. Le pire n'était pas ce mur débordant de peur de dégout et d'intrigue mais belle et bien la mer de tombe qui se trouvait derrière...
On pouvait apercevoir une longue allée centrale bordée de pierre tombale toute plus abimé et glauque les unes que les autres. Au dessus du mur de la mort, on distinguait la forme d'un arbre a travers le brouillard planant, épais et persistant. Même les arbres répugnait, il n'y avait plus de feuille depuis bien longtemps et l'automne n'était pas a l'origine de la perte de son manteau feuillu. Rabougri, biscornu, malade, voila les mots qui décrivait a merveille ses grands troncs parsemé de branche de ci de la. Seul les buissons censé égaillé l'allée avait gardé un aspect médiocre et paraissaient même magnifique vis-à-vis du décor alentour. Mais comment apprécié une belle plante, parmi des centaines de tombe.
Au bout de cette allée lugubre, une maisonnette assez bien entretenue sortait de terre, sans parler de la couleur funeste des murs elle semblait déconnectée de cette ambiance gore, ils étaient noir et rouge. Le plus drôle,si l'on peut dire, c'est qu'en comparaison avec ce paysage macabre, la maison paraissait guillerette.
Assis dos au mur, les jambes décroisées bien en appui sur les semelles se trouvait Akiera. Il semblait inspecter d'un oeil attentionné ses mains, ou plutôt ses tatouages.
Certains révélait les incantions utiles au scelage de son âme, d'autre avait un but différent. L'écriture n'était pas la même, et d'ailleurs akiera ne comprenait qu'une des deux typographies présente sur son propre corps. L'une parraissait elfique, c'était celle des peuples de la montagne. L'autre semblait être une variante du grec, mais en bien moins esthétique. L'écriture necromancienne...
On pouvait distinguer la même sur le crucifix du fameux Horson, dernier nécromancien.
Akiera sortit alors un objet qui se trouvait dans une de ses poche de sa veste. Cette poche se situait au niveau de son épaule gauche. Il se releva alors, tendit son bras droit et d'un coup le petit objet se trouvant dans sa main, grace au size control, grandi énormément. Il touchait maintenant le sol et arrivait au niveau de la nuque d'aki. C'était le crucifix. Il le planta alors violemment dans les sol et se disposa en face de se symbole de la mort. Il passsait son temps a tenté de comprendre les écritures qui se trouvait ancrées dans le bois massif et gravées sur l'argent qui parcourait l'énorme croix. "Quand tu auras compris, alors tu auras un controle sur les limbes sans limites et la faucheuse en personne te respectera" avait-il dit.
"Cela aurait été plus simple que tu me l'explique!!!"
*De toute façon je n'avance plus, je ne comprendrais pas aussi facilement. Et je n'ai accés a aucune ressource littéraire pouvant m'aidé a comprendre cette foutu langue d'abruti qui me rend fou!!! Mais je trouverais. je trouverais.*
