Je n'y étais jamais entrée ... Jamais et pourtant, j'étais toujours à côté.

"Alors, voilà cette fameuse salle de projection ... Elle a été dévaster depuis longtemps ..."

A' peine entrer dans cette salle, je pose mon doigt sur un vieux carreaux cassé, certainement par le vent des environ. J'enlevai mon doigt de ce carreau de malheur, une épaisse couche de poussière noire vint s'y déposer.
je me frottai énergiquement mon doigt sur ma jupe noire, ne laissant qu'une trace noire/gris.
Je jettai un coup d'oeil autour de moi... Cet endroit était désert, sans âme, poussièreux et rempli .... D'araignées!

"Et merde ....."

Je détestai les araignées ! ça te regarde avec ses yeux comme si t'étais un martien, et puis, ces moches ce truc ! Gros, poilu, marron ! Les araignées ... Non mais quel horreur !

"ARGHT !"

Une fluorescente vint s'installer sur mon bras, grimpant le long de celui-ci. D'un geste vif, je l'écrasai avec ma main, regardant son intérieur qui sortait.... à l'extérieur, d'une manière normal et du genre "Je t'ai écrabouiller parce que t'avais pas à monter sur mon bras" niveau 1.

"Tss ..."

Je continuai à marcher dans cet endroit, mettant ma main devant moi pour attraper les nombreuses toiles d'araignées qui me barraient le passage. Des fois, même des araignées allaient visiter ma paume, malheureusement pour elles, elles sont allées visiter le paradis ou l'enfer pour certaine.... Je regarde par terre, bien silencieuse d'ailleurs, à mater les vieux films abandonner. Des films ... je n'aime pas les films qui sont là ... Ce sont des films à l'eau de rose. Ce qui est chiant avec ses films, c'est que l'on connait déjà la fin : "ils eurent beaucoup d'enfants et vécurent heureux jusqu'à la fin de leur vie" ... Ouais ! Youpie, contente pour eux ! Pouah, quel ennuie... Et quand je pense qu'ils y en a qui passent leur journée à regardait ça et a pleuré par des "Ken, pourquoi tu m'as quitté ?" pour attendre cette réponse "Parce que je t'ai quitté" .... Je regarde cette vieille salle. Des recors sortaient des fauteuils rongeait et salis par le temps. Un rats courraient sur le bas côté de la salle. Un vieux linge blanc devait servir à couvrir le panneaux où l'on lençait le film. A' (pas) m'a grande surprise, le panneau avait été volé et certainement vendu au marcher noir.
Je m'assis sur un rebord de la scène. Sorte de de petite scène pour emêcher les gents de touché l'écran et de le salir. J'attendai rien. j'attendai personne. Je ne voulai voir personne. Une sourie vient me tenir compagnie. je ne la tue pas, elle était mignonne au contraire, avec ses deux petite pattes en l'air et ses deux autres au sol. Elle me renifle avec son museau rose et me regarde avec des étoiles dans les yeux. Je ne lui souriai pas. Non, je ne lui souriai pas du tout parce que je détesté sourire. Oui ... Sourire, c'est nul et c'est pour les perdants ... Et s'est pour ceux qui ont trouvé la paix et le bonheur ... Mon contraire ... Je soupire. Elle était vraiment mignonne. Je dépose mon doitg sur son dos, pour la caresser légérement, à ma grande surprise, elle se laisse faire. Je n'entendai rien qui puisse entrée dans la salle ... Et pourtant, il y avait quelqu'un.

Un sorcier est normalement une personne qui répand le mal. Partout où il y a une guerre, des meurtres ou bien des infanticides, il y à un sorcier mais, comme toujours il y en à certain qui essaye de faire mieux que nous. Oui certains essaye de nous volez cette réputation de tyran... Ont les appeler les ''Kishin''. Ceux la était environ trente fois plus atteint par la folie que nous, les sorciers. Il était très activement traqué par Shibusen, et lorsqu'il se faisait avoir, il les donnés en expérience à un certains fou dont le nom m'a échapper. Il restait quand même quelque chose d'étrange. Connaissiez-vous le roi des fous au pays des déglingués ? Et bien pourtant il existait belle et bien. On l'appelait ''Ashura Le grand dévoreur''. Zento avait pensé qu'il dévorait certainement des âmes, mais la folie était tellement fort en eux qu'il pouvait très bien dévoré autre chose... Ces gens la était complétement fou, fou fou fou et fou! Mais bon, aujourd'hui était un jour nouveau pour Zento, et il devait en profiter pleinement, oui car on ne sait jamais quand nous pourrions tomber dans une embuscade de Shibusen ou bien être traquer par certains Sorcier. Aujourd'hui était un jour '' S.G '', comme il avait si bien appris à les nommés. '' S.G '' voulait dire ''Sans Gardien'', vous l'auriez comprit. Ces jour-ci était les jours ou Zento n'était pas accompagné par son gardien. Ils s'étaient séparé il y a quelque jours, et ce n'était même pas parce qu'ils s'étaient engueulé.. Non, leurs chemins c'étaient décroisés pour la toute bonne raison qu'il n'avait pas envi de faire la même chose. En faite Zento avait un un problème, il ne pouvait pas s'empêcher de ne pas savoir, il fallait qu'il sache tout ce qu'il pouvait savoir. Alors Zento se mit en route vers ont ne sais quelle direction, non lui même ne savait pas où il allait, mais il allait. Ce qu'il devait connaître, c'était ce que la société nommait si vulgairement les '' Kishin '', ou les voleurs de réputation, m'enfin ça c'était juste un petit surnom tout mignon que leur donnait Zento pour leur prouver son affection envers eux.

A présent, le jeune sorcier c'était mit en route il y avait plusieurs jour, et il n'avait jamais vu ce qu'il voulait voir. Cela ne le déprima pas, puisque le monde est très grand, et peut-être qui sais, il en rencontrera un ou une très bientôt. Alors sans se décourageai, il avançât, sans jamais rebrousser chemin. Il traversa de vaste plaine, d'étranges forêt, des marécages boueux où il était guetté par d'affreux Loup-Garous avec qui il dût en découdre, jusqu'à qu'aux finale, il arriva à se retrouver dans un endroit pas très... Catholique. C'était une ville très peu habiter, entre deux et trois milles habitants. Ce village n'avait rien de normal, on avait presque l'impression que ce village était rongé par l'incarnation de la folie. A l'intérieur des maisons pouvait se faire entendre d'affreux cris de douleur. Alors Zento, lampe à la main, marchait toujours aussi calmement, mais jusqu'à qu'il y ait vraiment quelque chose de choquant. Dans une petite ruelle, que Zento ne pouvait pas voir entièrement étant donnée sa position, mais il y avait deux mains, qui grattait le sol, les doigts pleine de sang. Non en faite il ne grattait pas le sol. Ils essayaient de remonter vers le centre de la ruelle. Quelque chose n'allait pas, et Zento devait savoir ce qu'il se passe dans cette ville. Alors sans attendre, le jeune sorcier courût dans la dites ruelle, avant de voir, à son plus grand étonnement une femme à moitié vétue, allonger contre le sol, avec une jambe en l'air. Il faisait très sombre, et nous ne pouvions par voir ce qui ce cachait réellement dans la pénombre, mais quelque chose n'allait pas, comment une femme aussi amoché pouvait tenir sa jambe aussi longtemps en l'air. Non en faite c'était impossible, quelque chose se tramait ici, quelque chose de pas bon du tout. Zento avait l'intention de provoquer le mal, en toute bonne logique, si quelque chose se cache dans la pénombre, c'est qu'il devait regretter la lumière. Alors si Zento venait à envoyer sa lampe à huile devant lui. Il serait alors ce qu'il se passait là, dans cette ruelle, dans cette ville. Zento prit la lampe, la levât, regardât avec maladresse la jeune femme et lui prit la main, et c'est alors que le sorcier avait comprit qu'il n'aurait jamais dut faire cela. Une énorme bête d'environ deux mètre et demi c'était dréssé devant lui, cette bête était recouverte de poil et avait un museau long comme celui d'un loup. La bête que Zento fixait avec attention se retourna, et montra à son tour ses crocs. Ils étaient pointu, et acérés comme les griffes du jeune caméléons. Le monstre qui était apparemment un Loup-Garous, se mit à pousser son cris de guerre:

-AaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaOuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuh!

Zento ne mit point longtemps à comprendre ce que cela signifiait, le loup-Garous avait avertit les autres copains que de la chaire tendre était à présent arrivé. C'est alors que Zento Tira violemment sur la main de la jeune femme, ceux qui eu pour conséquence de la lâcher de l'emprise du Loup. Zento était un gentleman et ça tout le monde le savait alors il prit la jeune femme sur son épaule, et se mit à courir. Le monstre ne les avait pas encore prit en chasse, et c'était ce qui intriguait le plus Zento. Alors tout en continuant à dévaler la ville à toute vitesse, Zento se mit à réfléchir et, après quelques minutes, il en conclût qu'il devait sortir de la ville, mais pas par le côté de la forêt, mais par celui des champs. Ce chemin il l'avait vût juste avant d'arriver, et saver où il se situait. Alors le jeune caméléon armé de la jeune fille, se mit en route pour les champs. Une fois arrivé devant la sortie, celle qui menait vers d'immense champs se trouvait deux des monstres qu'avait Fuit Zento. Alors il pris la parole afin de tenter de les berners:

-Ah Ah vous m'avez bien. En tant que Reptile je doit avoir une odeur particulière. Mais vous n'en avez qu'après moi n'est-ce-pas? Alors je vais poser la jeune fille au sol, puis me rendre tranquillement. Okey les gars?

C'est alors que Zento posa la jeune fille au sol, comme il l'avait dit, puis posa les genoux au sol avant de poser ses mains à l'arrière de son crâne. C'est alors que les deux grosse bébête se rapprochent de lui, le piège de Zento avait fonctionné, alors il pris encore un fois la parole:

-Nan mais vous y croyez vraiment en plus?

C'est alors que Zento fît racler son pieds au sol de façon à faire tomber les deux loups devant lui. Sans tarder il leur attrapa la gorge et leur annonça:

-Pathétique, vous vous êtes fait avoir par une simple duperie, les dokerus loup sont donc de vrai imbécile.

Zento les avait attrapés par le coup, afin de leur planter ses griffes, mais leur peau était dure, ce qui ne faciliter pas la tâche. Les griffes étaient à peine enfoncé que les loups hurlaient de toute leurs force. Il ne reste que très peu de temps et les loups ne voulaient pas mourir. Peu après, un affreux cris se répandit dans l'air. Qu'est-ce que c'était ? Oh non, Zento avait déjà entendu ce cris, mais il ne trouvait pas à quoi il ressemblait. Zento cherchait au fin fond de sa mémoir jusqu'à ce qu'ils comprennent. C'était la meute des deux loups qu'ils avaient en main. Trois nouveaux Loups-Garous avait fait leur entrer en scène. Un contre Cinq, le combat était déjà perdu d'avance pour Zento, mais bon, il avait toujours le pouvoir de invisibilité. A ce moment précis, dès qu'il comprit ce qu'était ce bruit et d'ou il provenait, quelque chose le heurta avec une force impressionnante. C'était le corps de la jeune femme, le corps inerte de la jeune femme qu'il venait de sauver. Il était maintenant couché au sol, le jeune femme sur elle, il avait aussi du mal à reprendre ses esprits et dès qu'il vit les monstres s'approchait de lui, il prononça ces quelques mots:

-Doa Doa Yomi Sabi Sabi Yomi Invisibilité

Dès lors, Zento c'était complétement effacer de la surface de la terre. Ce qui engendra une réaction de la part des monstres qui scrutait les alentours. Il fallait que le Sorcier profite de l'étonnement des loups, car ils avaient un très bonne odorat. Alors l'insctint animale du sorcier avait complétement pris le dessus sur le côté humain de Zento, il ne marchait plus sur ses deux pieds, mais se mouvait au sol tel un caméléon dans une forêt. Il passa discrétement entre les jambes de l'ennemi, à peine fut-il passait qu'il c'était déjà fait repérer. Mais Zento n'était pas si bête que ça, alors il continua d'avancer. Il était maintenant bien arrivé dans les champs, et son invisibilité allait encore deux minutes. C'est alors qu'il pénétra dans un champs de maïs les poursuivant était toujours à ses trousses, ce qui poussa Zento à ne pas flancher, il continuer à se mouvoir telle un caméléon, il progressait rapidement dans le champs de maïs ce qui lui était fort utile. Il arriva à la limite du champ de maïs et, au plus grand espoir de Zento, il y avait un batiment abandonné, il se leva donc et sans tarder, il s'approcha de la porte, tournit la poigné avant de rentrer dans le batiment. Les carreux étaient tous cassé, chaque meuble qui restait avait dut être mangé par des termites et était recouvert entiérement de poussière, sans compter les toiles d'araigné qui pullulait dans la salle, mais pas le temps d'admirer la salle, il fallait partire. A traver l'une des fenêtres du batiment, nous pouvions voir cinq traces qui se déplacer dans les champs, l'homme en cavale n'avait qu'une minutes au maximum. C'est alors qu'il courût, cette fois-ci sur ses deux jambes, il progressait de façon aléatoir, c'est à dire qu'il prenait la première Direction qu'il trouvait. Son invisibilité était encore actif, mais plus qu'une minute. Il progressait toujours à la même vitesse, jusqu'à ce qu'il entra dans une salle qui allait très certainement changé le cour de sa vie. Une jeune femme magnifique était assis, elle carresait une sourie, ce qu'il l'étonna fortement, elle elle ne pouvait pasle voir mais lui l'admirer, et de plus en plus près. De plus en plus prés jusqu'à ce que l'invisibilité ne s'arrête. Quelle va être la Réaction de la jolie jeune femme?

Pour les fautes c'est demain =3 Bon patron me fait encore n'importe quoi.