Ces journées... Elles étaient toutes les mêmes... S'en était lassant... Et presque frustrant même, par moments.
Et puis, ce soleil, si aveuglant, avec son sourire béah et complétement idiot... Il innondait tout de sa lueure solaire, à tel point que ça en faisait même mal aux yeux... D'ailleurs, dans les rues abandonnées de cette partie de la ville, marchait d'un pas lent et presque lourd, une silouette féminine. Casquette et lunettes noires sur le nez, la jeune femme marchait sous ce lourd soleil. Ce n'était pas tant la chaleur qui accablait ce fin corps, mais plus la lumière de ses rayons blancs. Elle n'avait jamais vraiment aimé la lumière et là, pour le coup, elle la détestait franchement... Et puis, il n'y avait pas un nuage à l'horizon en plus... Une version du malheur...

Soupirant avant de lever la tête, mettant sa main en visière par dessus celle de sa casquette, la jeune femme aux cheveux d'argent tourna penssivement la tête de droite, puis de gauche. Ces rues délabrées et à demies en ruines se prolongeaient sans fin, comme ces jours normes et innintéressants... Recommençant à marcher, la jeune fille se perdit peut à peut dans ses pensées, se demandant comme un tel pant de la ville avait-il put finir ainsi... Rooh, et puis non, elle décida que ce n'était pas le jour pour réfléchir à de telles futilitées. A vrai dire, elle n'avait qu'une envie: trouver un endroit à l'ombre, où elle pourrait s'assoir. Et, si possible, boire un coup au passage. Elle avait la gorge séche à force de marcher, et, sous ce fichu soleil, rien n'était arrangé.
Au bout de quelques minutes de marche, la jeune femme borgne s'arréta de nouveau. En face d'elle, se trouvait -ho, merveille des merveilles!- un bar qui semblait visiblement abandonné ou tout au plus, délabré. Un sourire froid passa sur ses lèvres et la jeune fille passa prestemment la porte du bar. Rentrant dans l'endroit délabré, elle eut un petit soupire de plaisir. La température ici était des plus douce et puis, surtout, les rayons du soleil n'y entrait presque pas.
S'assayant joyeusement au comptoir à demi-défoncé, l'inconnue posa ses lunettes et sa casquette, passa par dessus la vielle planche en bois vermoulue d'un geste précit et prompte. Vu qu'il n'y avait personne, autant faire comme chez soit!

La borgne regarda penssivement les bouteilles qui s'alignaient face à elle qui, par un miracle inconnu, étaient restées intactes. Passant doucement ses doigts sur les bouteilles poussièreuses, la jeune femme finit par se prendre un bon vieux whiskey. Trouvant, on ne sait trop comment, des glaçon dans un petit bar qu'elle crocheta sans peine, elle essuya un verre, versa le liquide ambré à l'intérieur et y déposa les trois petits glaçons qu'elle avait trouvée. Se délectant d'une gorgée, la jeune fille se passa la langue sur les lèvres avant de se reservir un peu plus d'alcool. Ce wishkey était vraiment bon! Elle ne savait pas combien d'âge il avait, mais il était un pur et simple délice ce petit là! Repassant d'un petit bond la comptoir, l'inconnue se posa royalement sur l'un de sièges poussièreux. Déposant doucement le verre froid contre son front et son coude à même le comptoir, elle se surprit à penser qu'elle aimait bien cet endroit. C'était calme et frais, et surtout, il n'y avait personne. Ca, c'était vraiment le pied. Car, allez vous amusez à trouver un endroit où il n'y avait personne en ces temps étranges: c'était quasiement impossible. Mais, franchement, si cet endroit était aussi tranquille que ça, pourquoi ne pas en faire son leiux de vie? Cette question tarauda durant quelques minutes la fille aux cheveux d'argent avant qu'elle ne fasse rapidement partir en fumée cette idée d'un geste de la main. Non, c'était idiot, elle n'avait plus besoin d'un endroit fixe où avoir ses repères... La période où elle en avait eut besoin était révolue depuis longtemps déjà...

Se perdant dans ses souvenirs aussi profonds que nombreux, elle ne vit pas le temps passer. Lentement masi surement, le soleil en venait à se coucher. Relevant la tête en voyant le ciel devenir écarlate, cette vision rapella à l'arme solitaire d'autres souvenirs, bien plus sanglants. Portant sa main à son visage, elle se mit à rire d'un air parfaitement démoniaque, se qui lui donnait l'air d'une parfaite folle. Mais au fond, n'était-ce pas ce qu'elle était réellement? S'amusant à se poser des questions méthaphysiques sur se qu'elle était, elle fut interrompu par le bruit léger mais caractéristique d'un bruit de pas. Relevant la tête, fixant de son oeil gris clair la porte d'entrée du bar, elle attendit, avec un petit sourire qui n'engageait rien de bon aux lèvres, que l'inconnu face son entrée...

La chaleur aurait put être insoutenable si elle n'y était pas habituée, ce qui n'était pas le cas. Bien que sa peau avait la blancheur du papier, et l'aspect fragile du parchemin celle ci pouvait supporter les rayons agressifs de l'astre solaire, sans toute fois gardé sa pâleur naturelle. Sa peau marmoréenne avait malheureusement l'horrible habitude de rougir face à une telle lumière, et elle portait donc son habituelle cape noire recouvrant ses bras, son visage et une majeur partie de ses jambes pour éviter de ressembler à la fin à une tomate fraîche. Si quelques jours auparavant une pluie démentielle s'était abattue sur Death City et ses alentours, à présent, le ciel était aussi clair qu'un jour d'été et le sable du désert éblouissait quiconque le regardait trop intensément. Elle buta plusieurs fois, manquant de dégringoler la dune qu'elle avait si durement grimpé, essuyant le mince filet de sueur qui coulait lentement sur son visage. C'était moins parce qu'il faisait chaud que par l'effort qu'elle devait fournir pour marcher dans cette mer de sable ou chaque vague montait jusqu'à 5 mètre de hauteur, mais elle était loin d'être à bout de force. Elle s'arrêta un instant, décrocha une petite gourde de son flanc gauche, et la porta à ses lèvres pour y boire une gorgée. Elle était tiède et très peu rafraichissante, mais peu importe, c'était suffisant pour continuer jusqu'à la ville abandonnée ou elle y trouverait refuge. Oui, tout ferait l'affaire, sauf cette satanée ville ou résidait celle maudite école avec ses saletés de manieurs et ce crétin de Shinigami-sama. ! C'était fou à qu'elle point elle pouvait détester ce lieu, ces gens, c'était même la seule chose qu'elle détestait par dessous tout et rien que d'y penser lui donnait une envie soudaine d'y retourner pour les tuer tous autant qu'ils soient. Bien sur, son instinct de survie lui criait le contraire et comme elle n'avait aucune envie de mourir de leurs mains, elle obéissait bien sagement. Oh, elle n'avait pas spécialement peur des manieurs, une sorcière est nettement plus puissante qu'un pauvre meisteur et son arme, toute fois, il y avait ses maudits professeurs obéissant au doit et à l'œil, sans oublier cet horrible dieux de la mort caché derrière son stupide masque. C'était toujours un choc de savoir que ce stupide personnage était celui qui avait emprisonné le Kishin et que son âme tout entière recouvrait la ville. S'y éloigner était le bon moyen de lui échapper.

Alors qu'elle marchait, le crissement du sable se transforma en bruit sourd et elle se retrouva à marcher sur un sol, serte inégal, mais bétonné. Puis, les premières constructions apparurent, bien que ces dernières ne soient plus qu'à l'état de ruine il était évident qu'elle était arrivée à destination et que la marche dans le désert était belle et bien terminée. Néanmoins, l'absence de maison et les pavées blanc donnaient un effet de four, réfléchissant la lumière comme un miroir, et l'air en était presque suffocant, d'autant plus que la moitié des édifices étaient détruis et n'offraient donc que très peu d'ombre pour se protéger du soleil. Pendant un instant, elle se mit à chercher les différentes raisons qui auraient put mettre une ville dans cette état, mais n'en voyant pas l'importance ni d''intérêt quelconque, elle continua donc son chemin à travers le terrain. La procession n'était pas des plus simple, car parfois tout un pan de murs s'était écroulé et il fallait donc escalader des amoncellement de gros et petit cailloux, ce qui n'était pas une mince affaire en soit. Elle s'écorcha plus d'une fois les genoux, mais parvint tout de même de l'autre côté de la montagne et s'octroya une pause bien méritée, après avoir durement pataugé dans cet étendue caillouteuse elle ne pouvait que se sentir exténuée.

Alors qu'elle s'était assoupie à l'ombre d'une maison, ou du moins de ce qu'il en restait, elle se réveilla quelques heures après, brûlée par le soleil qui se tenait fièrement devant elle - luttant contre le sommeil qui l'attirait de plus en plus - et elle comprit que c'était cette sensation chaud sur sa peau qui l'avait sortie de sa léthargie. Elle étira ses membres engourdis, et jeta un rapide coup d'œil vers le ciel, qui s'était nettement assombri depuis qu'elle était arrivée et compris que le soir ne tarderai pas à arriver, accompagnée de la lune sanglante, le moment des sorcières.Puis, vint la fraicheur, et elle se surprit bien vite à trembler de froid et expirer de la fumée chaque fois qu'elle respirait ou soufflait et en y réfléchissant, le mieux à faire était de trouver u endroit pour dormir, si seulement il restait encore un édifice debout. Lentement mais surement, la sorcière continua son chemin à travers le village, désert, triste et peu amical, balayant de ses yeux saphirs les rues démolies en évitant soigneusement de ne pas se tordre la cheville sur un morceau de béton, ce qui serait horriblement stupide pour une personne douée de magie comme elle même si dans ses situations là, celle ci s'avérait inutile. Cependant, elle se délectait de sa promenade nocturne, parce que bien qu'elle ne craignait pas la chaleur, il était tout de même agréable de sentir la morsure du vent glacé sur son visage et de respirer autre chose que cette maudite odeur de bienveillance qu'exaltait l'école Shibusen. Heureusement, ici, elle ne risquait pas de rencontrer de manieurs, d'armes ou n'importe qui d'autre qui désirerait la peau d'une jeune sorcière comme elle, ici, elle était en sécurité. Du moins, c'est ce qu'elle avait cru mais, à quelque pas d'elle, elle sentait une présence qui n'avait rien d'un bon présage. Quiconque venait ici recherchait une cachette sur et de là tranquillité, hors, qui voudrait se cacher mise à part des sorcières, des pré-démons et qui sait encore ? Rien d'innocent en tout cas. Elle continua donc d'avancer, prudemment, en alerte. Elle aurait aimée faire un effet de surprise, mais le bruit de ses pas se répercutaient en échos dans toute la ville. Devait-elle retirer son soul protect, au risque de se faire repérer même aussi loin de Death City ? Ou le garder, et ne pas être prête à lancer sa magie vers son ennemie ? Tant pis, il fallait savoir prendre un risque. Elle libéra sa longueur d'âme, laissant l'inconnue découvrir celle qui l'attendait dehors, préparant sa magie.

C'était le soir est gajil était chez lui. Il pensait. à quoi me dirai vous en faite il pensait à comment il était devenu sorcier âpres avoir gagné ces pouvoir tout passa très vite un groupe de sorcières venir le voir et lui demander comment il avait eu ces pouvoir. Gajil leur raconta tout sans exception sa vie avant ces pouvoir ses sœurs qui le maltraiter sa vie dans la rue et enfin cette attaque de sorcière venue de nulle part. Après ça les trois sorcières avaient emmené Gajil à Ebaa et dire

"Maitresse que doit ton faire de lui?"

Gajil lui ne comprenait rien à ce qu'il se passait, mais il joué le jeu en disant bonjour à toutes les sorcières qu'il voyait ce qui l'énerva très profondément alors quand il arriva devant la fameuse sorcière suprême il dît bonjour et vit qu'elle n'avait qu'un seul œil il se demander qui avait pu faire ça à la sorcière suprême il ne posa pas la question de toute façon se n'était pas son problème. Ebaa regarda Gajil de plus près et finalement elle l'accepta dans le groupe des sorcières. à partir de ce moment Gajil dut apprendre quelque sort comme le soul protect qu'il eu d'ailleurs beaucoup de mal a le maitrisé, car il ne voulait pas apprendre et voulait seulement se battre. Il le maîtrisa âpres plus de trois mois d'entrainement, mais quand il réussit il était content que le supplice soit fini. Il eu un petit sourire au bout des lèvres et il s'endormie quelque minute plus tard. Le lendemain quand il se réveilla il était 10 heures il fit son entrainement habituelle est sortie prendre l'air comme d’habitude enfin prendre l'air ne serait pas le mot exacte il fessait chaud très chaud et il n'y avait pas un seul courant d'air. Gajil avait chaud, mais il voulait quand même allé s'entraîner sur un mur et il ne pouvait pas le faire ici ou cela alarmerait les personnes et il aurait des problèmes. Il décida d'aller dans la ville toute pourave un peu plus loin. La, au moins il pourrait faire se qu'il veut. Il marchait sous cette chaleur dans le désert. Comment pouvait t-il faire cela avec la chaleur qui l'accablait? Il n'en avait aucune idée peut être l'idée de trouver un mur. Cela fessait très longtemps qu'il n'avait pas cassé de mur et pour lui c'était comme une drogue s'il ne le fessait pas, il frapper les gens. Même s'il le fessait tout le temps. Mais bon passons. Gajil était enfin arrivé il ne traîna pas le premier mur qu'il vit il fonça dedans puis il s'entraîna jusqu'à ce que le mur s'écroule, ce qui se fit trois heures après le début de l'entrainement. Il était maintenant 15 heures Gajil était content de lui, mais il avait la flemme de rentrer chez lui. Alors, il se couchât puis il s'endormie. Quand il se réveillât, enfin quand il se fit réveiller il fessait nuit s'était une longueur d'onde qui le réveillât. Pas une longueur d'onde normal c'était celle d'une sorcière. Il se leva et puits allât voir ce qui se passait. Il dut marcher quelque minute avant de voir la sorcière qui avait l'air d'attendre quelqu'un. Gajil enleva son soul protect et dit à la jeune fille.

"Yo petite, sa va."

il attendit la réponse. Mais il s'aperçut qu'une autre âme trainer dans le bâtiment, mais cette fois ce n'était en rien celle d'une sorcière. Il attendit et la réponse de la petite et que la personne dans le bar sorte de ce bâtiment tout délabrer.

EDIT: Gajil, c'est incroyable le nombre de faute d'orthographe, de conjugaisons et de syntaxe que tu nous fais là ! Rien que la première phrase est bourrée d'erreurs pourtant faciles à corriger. Un conseil, utilises bon patron, ça aide. Et fait un effort, s'il te plait...

M. Albarn

(désoler pour les fautes je suis dyslexique. je vais voir si bon patron. )

Xalina était fatiguée, elle avait marché toute la journée. Epuisée, elle décida de s'assoir sur un rocher. Elle regardait le coucher de soleil avec admiration. Les lumières signes de vie qui s'affaissaient et ainsi rendaient hommage à chaque vie éteinte sous ces rayons salvateurs. D'ordinaire, les victimes des vampires n'avaient jamais aucune reconnaissance, aucune sepulture, Xalina était persuadée que quoi qu'il arrive, grâce au coucher de soleil, toute ces âmes réduites à néant étaient honnorées au moins une fois et ce, grace au coucher de soleil. Elle s'attardait sur ce magnifique spectacle mais ressentit bientôt une douleur. Ses crocs étaient en éveil, de la barbaque approchait, une belle proie certainement. Xalina tentait de restister, elle s'était promis de ne jamais touché à un humain sauf par nécéssité. Sa machoire la brûlait, elle se sentait oppressée, comme ci son moi profond la trahissait pour le simple plaisir de la souffrance infime et personnelle. Pourquoi donc être torturer pour des crimes que l'on ne veut pas connaître ? Ca, c'est l'histoire de l'existence de Xalina... être vouée à ses origines et avoir à leur résister malgré leur proximité spirituelle dans sa vie et dans son coeur, jusqu'à son physique.
Xalina décrocha son regard du coucher de soleil et mordit dans un mouchoir, de toutes façons, la nuit était bel et bien tombée désormais. Le soleil ayant fait place à la nuit, le moral dans les chaussettes, Xalina avançait tête baissée, en silence et en souffrance. Elle marcha, marcha, se donnant des claques pour résister. Cela n'appaisait pas son mal-être, cela ne lui apportait rien mais l'aidait juste à ne pas sombré dans la folie. Au bout d'un moment, Xalina apperçu une ombre dans ce paysage triste. C'était une petite ombre, féminine sans doutes, en espèce de robe ou tenue à froufrous. Qui était-ce ? En tous cas, ce n'était pas elle qui mettait en éveil les sens de vampires de la Xalina, loin de là. Ce n'était pas humain et il en dégageait une énergie qui ne présageait rien de bon... Xalina n'était pas armée mais elle voulait tout de même savoir quelle était l'âme qui éveillait ses sens et, l'ombre étrange qu'elle voyait lui faisait obstacle...
Xalina lança une pierre pour attiré l'attention de la jeune fille. Lorsque cette dernière se retourna, Xalina vit presque la mort en face... elle avait défié... une sorcière...