Bonjour à tout nos rp-tateurs et bienvenue à notre émission du moment: Le Rush épique! Aujourd'hui ,rien que pour vos yeux! Today, only for your mirettes! Voici le seul, l'épique, the unique Hazama, cherf de la Brigade Prestige, big boss of the Prestige Brigade. En début de soirée, une course monumentale, a monumental run! a débutée! CHANGEMENT DE NARRATEUR! On en peut plus de lui et pourtant il cherche toujours a être partout... Quoi qu'il en soit, chers amis, bienvenue. Aujourd'hui, je vais faire mon boulot habituel, celui pour lequel je suis pas rémunéré ni rien et qui consiste à vous raconte les aventures d'un fou charismatique nommé Hazama... Bon, comme aura tenté de vous le faire comprendre l'autre énergumène, Hazama est coursé par des soldats de l'armée russe. En effet, à Eternal, ça ne rigolait pas! Et ces crétins ne lâchaient jamais l'affaire!! C'était la troisième fois qu'ils tentaient de le chopper et ce malgré le fait qu'il ai créer la Brigade Prestige. À vrai dire, il se demandait si le chef de ce pays n'avait pas prévu de le capturer au sujet du groupe qu'il avait formé et non pas par le fait que c'était un Akuhei venu par Cercueil express. Ce fait était d'ailleurs très dérangeant! C'était lourd de se faire courser par ces débiles... Ils commençaient à s’essouffler dû à leurs tenues militaire et leur équipement. Pour sa part, le criminel habillé en tenue de danse et avec pour seul équipement son chapeau et un couteau dans chaque poche, la course était rudement ennuyeuse. Il lui suffisait de courir, bêtement, et il les distançait. Ils avaient beau être armés, ils ne semblaient pas compter utiliser leurs balles. Dans ce cas, ils auraient pu se mettre en tenue de sport pour tenir le footing! Enfin. Durant cette promenade de santé, Hazama repensait à l'équipe qu'il avait formé. Notamment à deux éléments: Le gosse avec cette haine et cette Folie dans les yeux. Comment il s'appelait déjà? Bah, aucune importance. Le truc perturbant était que si il était instable. Un akuhei dans toute sa splendeur. Mais le problème c'était le respect. Si il ne l'avait pas, il lui inculquerait. À grand coups de latte dans sa tronche si il le fallait. La deuxième chose: L'honneur. La Brigade Prestige devait briller et hors de question qu'elle présente un blason tâchée du sang d'innocents. Les morts seront celles de personnes qui le méritaient, ni plus ni moins. Et ce gosse, il sentait qu'il allait vouloir plus. Beaucoup lus... Donc Hazama en déduit qu'il il devrait le dresser afin de lui calmer ses pulsions et autres délires psychomaniaques. Un soupir s'échappa d'entre ses lèvres alors qu'il pense au second élément: Chayana. Cette fille était une sorcière adorable et diablement belle, c'était indéniable, mais sa petite tête était tourmentée de pensées et petites folies qu'elle ne pouvait plus se permettre dorénavant. Tout ce qu'il savait d'elle, c'était qu'elle avait perdue la mémoire. Ni plus ni moins. Venue par cercueil volant, elle n'avait plus ni famille, ni ami, ni souvenirs, ni rien. Plus rien. Un vide béant qui se devait d'être rempli. C'est pourquoi il l'avait prit dans la Brigade. Heureusement, il n'avait pas recruter tout les membres ainsi! Et puis si sa partenaire; Keira, une sorcière à croquer et à consommer immédiatement ♥; avait eut un quelconque intérêt pour elle, c'est qu'elle devait avoir un certain potentiel. Ainsi elle les remplissaient les critères! Pour elle, il avait prévu de lui faire une nouvelle leçon de morale plus au calme afin qu'elle comprenne que tuer à tout va n'apporte rien et qu'il faut être sélectif dans ses cibles!

Quoi qu'il en soit, dans ce flot de rêverie, un coup de feu retentit. Un tir qui lui traversa le mollet, le gangster tombant sur un genou d'un coup, tremblant un peu alors que les soldats se rapprochent dangereusement de lui. Ce n'était pas bon... Il se relève soudainement une fois qu'ils sont à distance raisonnable et décide de passer aux choses sérieuses! Il exécute un bond épique dans une figure classieuse, éjectant le soldat au loin en lui brisant les os, une colonne d'ombre sortie de ce sol. Le Jayoku, une de ses attaques les plus violentes! Il laisse une sphère d'ombre sortir ensuite pour exploser en une foulée de pics qui transpercèrent les humains. Un duo, téméraire et courageux au passage, survécu et engagea le corps à corps pour l'affaiblir. Un coup de couteau lui fut asséné et il l'esquiva sans soucis, le second en revanche l'entaillant légèrement. La Monster Skin était là pour éviter les tranches! Mais c'était sans compter le fait qu'il avait déconné... Ayant perdu son calme en balançant à tout va quelques techniques précédemment, il n'avait pas compter le Jayoku qu'il avait fait d'entrée de jeu sur le pauvre premier venu. Et le fait qu'il ait si mal géré ses ombres lui valu... l'entaille. Un puissant coup de couteau sur le torse qui lui infligea une tranche diagonale sur l'énorme cicatrice qu'il avait. Quand avait-il eut ça? Pas la moindre idée... Quelques autres coups suivirent alors qu'il attendait le moment opportun pour dégainer ses lames, donnant deux coups qui tranchèrent simultanément leurs gorges, laissant les corps tomber de côté lourdement. Il soupire longuement à cet effort avant de s'éloigner, retournant vers l'hôtel ou il avait prit place.

Il rentra tant bien que mal, on si beau costume tâché de son propre sang. Encore heureux d'ailleurs! Il allait pas foutre du sang de débris dessus!! Quoi qu'il en soit, il s'étire en s'approchant de la porte de sa chambre, ayant loué une immensité ou se trouvait deux lits doubles. Pour ne pas brusquer Chayana, il l'avait laissé passer la nuit avec sa partenaire, Keira. Il n'allait pas laisser cette pauvre nouvelle arrivante dans la Brigade seule alors qu’il s'adonnait à mille et une folies avec sa partenaire dans la chambre à côté, sûrement pas! Il soupire longuement une fois arrivé dans la chambre ou il avait dormit, tombant presque sur le lit, assit. Il entend la douche qui marche à côté. Sa Keira serait venue lui rendre une petite visite~? Il sourit à cette idée et sans plus attendre, retire ses chaussures aux semelles renforcées. Sa veste suit le mouvement et il enchaîne avec sa chemise passée du blanc au rouge sur certaines parties, la laissant tomber au sol. Vient le tour de ses deux ceintures et de son pantalon qui partent à leur tour. Il dévoile ainsi toute ses blessures, notamment celle au mollet qui le fait souffrir horriblement. Sans oublier le fait qu'il avait boité sous la douleur ! Il soupire en s'apprêtant à retirer son dernier vêtement, regardant la personne sortir de la salle de bain. Ce n'était pas Keira. C'était Chayana à qui il lança un regard un peu étonné, souriant malgré tout

« Oh? Coucou toi~! Qu'est-ce que tu faisais dans ma douche ♥ ? »

Il lâcha ses paroles sur le ton de l'amusement, ricanant un peu avant de trembler, serrant les draps. Il reprend une respiration calme en soupirant, regardant la délicieuse jeune femme dans une tenue plus que... Tentante. Il finit par dire, un peu gêné

« Excuse moi d'être dans un état aussi pitoyable, j'ai un peu déconné~ »

Ne pas aimer les villes est tout à fait compréhensible, que l'on se le dise. La pollution, les voitures, le paysage de béton et même les passants d'humeur morose sont là pour le prouver. Le sentiment qui m'habitait était tout autre, je ne supportais pas les villes. Je m'y sentais comme enfermée, prise au piège sans parler du fait que mon sens de l'orientation finissait par disparaître au détour d'une ruelle sombre. Sans le fait que ma fenêtre donnait sur un petit parc où je pouvais contempler un semblant de nature, il y a longtemps que j'aurais pris mes jambes à mon cou pour retrouver ces vastes espaces verts qui me plaisaient autant. Aujourd'hui, j'avais décidé de passer la journée au calme à tenter de me rappeler ne serais-ce qu'une bribe d'un souvenir enfui dans ma mémoire en bouillie. Je pris donc un bloc de feuille et de quoi noter et je m'étais installée en tailleur sur mon lit. Je commençais par noter ce que je savais déjà, cela ne remplissait qu'une petite partie de la feuille. Au plus je me concentrais sur des détails, au plus ma tête me semblait douloureuse et lourde. Je finis par abandonner en chiffonnant ma feuille et en la jetant dans la poubelle la plus proche. Je remis le bic à sa place et allai me rincer le visage à l'eau froide.

Je regardai par la fenêtre en sortant dans ma salle de bain. Le soleil brillait dehors Ce serait dommage de ne pas en profiter.... Je pris le long manteau que je m'étais acheté récemment et m’asseyais donc à la petite terrasse en fermant les yeux. Il faisait froid, bien sur, mais emmitouflée comme je l'étais, je ne risquais pas d'attraper un rhume. Je repris ainsi détendue mon petit exercice mental bien que rapidement, cette horrible douleur lancinante revenait dans ma tête. Brusquement, un flash d'images successives vient me brouiller l'esprit. J'ouvris les yeux, les mains si crispées sur la chaise que les jointures de celles-ci blanchissaient. J'étais sûre qu'il s'agissait d'une partie de ma mémoire, mais aussi vite qu'elle était venue à moi, elle repartit, ne me laissant aucune chance de me rappeler de quoi que ce soit. Je me relevais d'un bond et rentrais dans la chambre, bien plus frustrée que lors du premier essai. La seule solution qui me venait à l'esprit était de trouver au plus vite mon partenaire qui devait sans doute savoir bien plus de choses que moi sur mon passé, en espérant que ma nature farouche ne m'ait pas forcée à ne rien lui raconter. Je soupirai et me dirigeais machinalement vers ma salle de bain histoire d'évacuer toute cette frustration sous une bonne douche. Manque de pot, un problème de tuyauterie dans un hôtel aussi grand est bien vite arrivé et, ne souhaitant pas attendre, je pris la liberté d'utiliser la seconde douche, Hazama et Keira ne rentrant pas très tôt, je ne les dérangerai donc pas.

Pas besoin de vous décrire la sensation que procure une douche, je suppose...
C'est ainsi que je sortis de celle-ci et attrapais un essuie. Je m'attardais quelques instants devant le miroir. Ma peau trop blanche contrastait avec mes cheveux corbeaux et le tatouage qui encerclait mes yeux. Celui-ci était encore plus mis en évidence lorsque je n'étais que peu vêtue. Je détournai le regard et ouvrit la porte en chantonnant pour tomber nez à nez avec Hazama, fort peu vêtu lui aussi. Même si la surprise était bien présente, je ne pus contrôler le sourire qui s'affichait sur mon visage, le genre de petit sourire en coin assez "coquin". Sans doute m'avait-il pris pour Keira et je riais intérieurement de ce qui se serait passé si jamais j'avais pris légèrement plus de temps dans la salle de bain, si vous voyez ce que je veux dire ... Hum.

Malgré le sourire que l'Akuhei affichait, il était pour tout dire salement amoché. Et je repris une expression plus sérieuse en détaillant mieux les blessures. Deux semblaient assez graves, le reste n'était qu'égratignures et ecchymoses. Je repris le chemin de la salle de bain, pris la trousse "de secours" dans la petite armoire au dessus du lavabo et enfilais un peignoir, de peur que mon essuie finisse par tomber. Je revins rapidement, ouvris cette trousse et sortis ce dont je pourrais avoir besoin : du désinfectant, de l'ouate, et de quoi faire un bandage. Je commençais par la jambe, désinfectais et ensuite plaçais un bandage. La balle n'a fait que traverser la jambe, j'aurais été incapable de faire quoi que ce soit si celle-ci s'y était logée... Je passais au torse, désinfectant à nouveau pour ensuite placer un bandage. Je jouais le rôle d'une infirmière pour tout dire. Je relevai les yeux vers Hazama et souris, ayant fini de panser ses blessures. Je rajustai mon peignoir et m'assis les jambes croisées sur le lit. J'en profitais aussi pour expliquer en bref le petit problème de tuyauterie survenu dans ma salle de bain.

Si tu as vraiment fort mal, je peux t'aider, du moins pour un court instant et ce à condition que tu me fasses confiance. Je ponctuais cette proposition d'un autre sourire en coin.



Edit par Zombifique : Bon sang Chayana, stop avec le "Courier New"! c'est illisible et franchement désagréable.

Quelle honte tout de même pour un combattant comme lui de se retrouver dans un état pareil. Qui plus est devant sa protégée! Il donnait quelle image de lui maintenant? Soit celle d'un psychopathe berserker qui adore balancer des cadavres, chose qui contredit avec le discours qu'il lui avait fait, soit d'un imprudent complétement con et dénué de toute science du combat, ce qui contredit sa nature elle même! Dans tout les cas, il était là, devant elle, l'observant dans cette tenue plus que légère. Ce simple essuie permit au gangster de lancer un regard furtif à ses jambes, dévoilées jusqu'à mi-cuisse et le haut de son corps plus que raisonnable généreux. La chose qui le titilla le plus, ce fut son visage. Non seulement il porta un intérêt tout particulier à ses tatouages qu'il n'avait pas prit le temps de voir la dernière fois, mais en plus de ça, elle avait un sourire.... Perfide! Ce sourire taquin qu'avait sa partenaire Keira lorsqu'elle allait faire tomber la serviette... Seigneur! Et si elle était contagieuse!? Si Chayana était-elle aussi devenue une délicieuse sournoise comme sa chère partenaire!?... Non, tu te fais des idées Hazama. La preuve! Elle revient de la salle de bain en peignoir! Et avec la trousse de soin~

En premier temps, il lui tandis la main en la remerciant, ajoutant qu'il pouvait se débrouiller seul. Elle ne sembla pas du même avis vu qu'elle commença le traitement... Il se laissa faire sans rechigner, l'observant soigner sa jambe puis son torse. Il sentit comme une légère gêne à dévoiler cette imposante cicatrice qui était sur son torse. Comme si on l'avait transpercé... Quoi qu'il en soit, il pu voir le peignoir s'ouvrir un peu mais garde sans grand problèmes son calme. Ce n'était pas volontaire après tout et puis elle le remit en s'installant ensuite. Il la remercie, chaleureusement, ses mains se crispèrent d'un coup sur ses propres genoux, les serrant avec force. Malgré son large sourire habituel, il la les crocs serrés. Ouaip, c'est douloureux... Surtout le coup de couteau par dessus la cicatrice. Elle devait être très récente pour que ça le fasse souffrir autant... La jeune femme en ayant déjà beaucoup proposa une nouvelle fois son aide à Hazama, ce dernier haussant les sourcils dans un petit sourire

"Mmh? Écoute, tu es dans la Brigade maintenant. Je te fais donc forcément confiance~"

Même si il ne savait pas à quoi il s'exposait. Mais il n'avait pas vraiment le choix: Dans la Brigade, c'est votre seconde famille. Personne ne doit trahir qui que ce soit... Et puis de toute manière, même si il avait eut le choix, il aurait dit oui. Rien qu'à voir la façon dont elle l'avait suivit avec Keira et surtout la loyauté qu'elle semblait lui dévouer... Il n'avait pas de soucis à ce faire, elle s'occuperait de l'aider donc comme elle le dit... Et sûrement correctement. C'est à cet instant qu'il se surprit lui même! Lui qui avait ne faisait confiance à personne... Il avait fondé une seconde Brigade Prestige, plus de 50 ans après la première, dans une autre dimension... C'était collector comme action ça! Faut en faire un succès!! Enfin... Maintenant qu'il a accepté le coup de main de la délicieuse sorcière, il se contente de calmement lui sourire, se demandant tout de même ce qu'elle lui réservait pour l'aider un court instant comme elle dit.

Je regardais les bandages que j'avais placés, l'un d'eux se teintait déjà de rouge en son milieu et je me mordis la lèvre inférieure en pensant à la douleur que ce genre de blessure infligeait. Je fus presque soulagée de savoir qu'Hazama m'accordait sa confiance et que je pouvais donc utiliser maddening persuasion sur lui. En temps normal, je préférais m'en servir pour rendre le comportement de la cible aussi imprévisible que celui d'un psychopathe. Et pour tout dire, cela m'amusait énormément. Il faut dire qu'inculquer dans l'esprit de quelqu'un qu'il est en réalité une geisha folle de comédies musicales et qui en chante à tue-tête à longueur de journée et le laisser agir pendant quelques instants était particulièrement plaisant. Le seul bémol étant la durée de cette technique, un peu moins de dix minutes. Je posai donc ma main sur le torse de mon maître et la remontai à la manière d'une araignée d'un air taquin. Décidément, je devenais bien plus souriante que d'habitude à ses côtés... Tout portait à croire que l'expression qui restait constamment sur le visage de l'akuhei était contagieuse. À ses côtés, il m'était d'ailleurs presque impossible de rester neutre. Je me concentrais ensuite pour user de maddening persuasion.

Maître, la douleur qui t'atteint se dissipe jusqu'à disparaître complètement.

Ça, c'était fait. Et j'avais en même temps souligné avec humour que je le respectais profondément. Même si le terme "maître" semblait un peu trop fort, il résumait pourtant bien ce que je pensais d'Hazama. Un maître n'était-il justement pas quelqu'un que l'on respecte et à qui l'on voue une loyauté sans failles ? Je retirai ma main de son torse et voyais petit à petit ses traits se détendre. J'aurais bien aimé faire plus puisque l'effet de ma technique se dissipe assez vite et doutais que la plaquette d'aspirine que j'avais vue dans la trousse de secours puisse l'aider d'une façon ou d'une autre. De plus, l'aspirine fluidifie le sang ... Je profitais de ce petit moment de silence pour détailler plus amplement l'akuhei, lequel ne s'était toujours pas rhabillé.Tant mieux me dis-je. D'un certain point de vue j'avais de la chance, car ce n'était pas tous les jours que je pouvais l'observer sous cet angle, un angle bien plus que plaisant d'ailleurs. J'étais presque étonnée de ne pas en avoir profiter de l'observer "de plus près" lorsque j'avais posé les bandages. J'eus presque du mal à garder mon calme lorsque mon regard se posa sur son cou. Oui, nous avons chacun des petits détails qui nous font défaillir et même si cela peut paraître bizarre, j'éprouvais une passion inconditionnelle pour le cou chez un homme. J'arrêtais de l'observer ainsi, j'étais persuadée qu'il l'avait remarqué et je relevai les yeux pour tenter de me concentrer sur autre chose, ou trouver quelque chose à dire. Gênée, je rassemblais mes cheveux sur le côté et m'éclaircis la gorge.

Et si ... Tu me disais qui t'a mis dans cet état et dans quel état tu l'as mis après ?

N'était-ce pas lui qui m'avait fait un discours sur le fait d'éviter de tuer ? Dans ce cas, ses actions étaient bien contradictoires.