Are you fangirls!? [Patty & Alice ♥][30~35 Lignes]

Vous en avez marre des histoires de princes et de princesses alakon? Vous ne voulez plus des débiles avec une épée qui vont tuer du dragons ou encore de ces pseudo-héros à l'esprit fier et droit qui s'attaquent aux grands méchants? Alors changez! Hors des clichés. Intéressez vous alors à un homme particulièrement intéressant. Un héros diaboliquement décalé comparé à ces clichés de la bonté et de la gentillesse. Un anti-héros. Son nom et son prénom ont disparus avec un monde que personne ne connait plus. La seule manière de l'interpeller est de le nommer Hazama. Actuellement, il s'est engagé dans un terrible périple mais avant... Il n'était pas aussi sûr de lui. Pour tout vous dire, nous allons revenir sur certaines choses. Son passé proche. Très proche.

Il y a deux jours, Hazama était en ville avec une jeune femme qu'il connaissait bien. Très bien même. Elle se dénommait Keira. Un amour de sorcière à qui il dévouait un amour et une passion qui semblaient sans limites! Cette journée, ils l'avaient passer ensemble à enchaîner les magouille et les idioties, s'amusant simplement en profitant de la vie autant qu'ils le pouvaient. Passés par plusieurs boutiques, un café, un hôtel... Ils avaient profiter de cette journée comme si ce fut la dernière! Et ils eurent bien fait... Hazama avait parler avec elle. Il lui avait avouer des choses. Des dizaines mais une en particulier qui le tracassait. Depuis son arrivée à Shibusen. Une nouvelle qui lui fit faire une énorme bêtise le lendemain... Mais impossible de retrouver quoi. Pourquoi? Hé bien parce qu'il avait perdu la mémoire maintenant! Continuons d'avancer dans l'histoire, vous comprendrez.

En cette splendide Terre, le voile sombre de la nuit est décoré par les lumières tendres des étoiles. En cette nuit, un évènement unique se déroule. Une beauté de la part de Mère Nature: Une pluie d'étoiles filantes. Cette nuit, les amoureux du décor et les passionnés des beautés étaient agglomérés dans les rues de la ville, sur les toit, au bord des fenêtres pour observer ce spectacle à la splendeur inégalable. Et les yeux se mirent à briller aussi fort que les lumières dans le ciel lorsque la pluie enchanteresse débuta. Mais ce ne fut que de courte durée.. A cet instant, ce n'étaient plus des étoiles mais ces boîtes de planches qui contenaient les défunts qui plurent sur le monde entier. Pourquoi vous parlez de ça? Vous vous en doutez sûrement: Hazama était dans l'un d'entre eux. Mais il n'eut pas la même chance que les autres. Au lieu de s'écraser dans l'immensité européenne ou la surpuissance américaine, il finit par tomber... Non, pas en terre asiatiques, mais sur un lieu abandonné par bien du monde. Une île dont les termes pour la qualifier laisse songeur quant à l'idée d'y passer des vacances ou un quelconque séjour. Les localités étant assez décalées par rapport à la norme et surtout la loi de ce monde. Mais néanmoins, elle n'en reste pas moins des spécimens très intéressants pour certains! Et notre protagoniste était évanouit. Dans les vapes, comme... mort... Il resta de nombreuses heures là dedans, dans ces lieux d'où on ne pouvait quasiment rien voir à l'extérieur. Comme un véritable cadavre.

Et son supplice dura une bonne dizaine d'heures, jusqu'à ce qu'il ouvre lentement les yeux, à moitié pour commencer. Sa vue était trouble. Une sensation assez désagréable se laissait ressentir. Une vive chaleur dans le torse, la vue trouble et la tête qui tourne... Il se sentait horriblement mal. Et puis c'était sombre... Ses yeux finissant par s'adapter à cette obscurité lui laissèrent découvrir que devant lui se trouvait du bois. Une planche de bois qui l'empêchait de voir où il était. Il posa ses mains sur cet obstacle et tenta de le pousser, n'arrivant à rien. Il se sentait horriblement faible. Comme si il était vidé de toute son énergie. Il se laissa retomber en arrière, retenu par la boîte. Il ne savait pas quoi faire à part respirer et tenter de récupérer, il ne savait pas. Mais l'air ici était limité et il finirait par en manquer. Par chance, le destin eut la sympathie de lui envoyer un sauveur. Entendant quelques voix, il pu constater qu'une espèce de grosse spatule se glissa avec force entre la planche et lui, se faisant utiliser comme pied de biche pour dégager l'obstacle dans un grand bruit de craquement de bois. Ayant toujours les yeux mis-clos, Hazama prit une grande respiration en ouvrant de grands yeux. Il avait presque oublié cette sensation d'air frais qui s'engouffrait dans ses poumons. Quelle joie, quel bien être!! Il sentit sa vision reprendre une norme, devenant clair et nette. Et pourtant il avait l'impression que ce n'était pas très net... Un homme aux cheveux bruns et coiffés d'une manière totalement... Non, impossible... Mais si! Cette coupe qui partait dans tout les sens, cette mèche de dix mètres de long... C'était bien étrange mais bon, si ça lui plaisait... Il avait en tout cas une gueule bien étonnée et ahurie de voir qu'il y avait forme de vie dans cette merde en bois. Par soucis de son état, l'inconnu demanda à notre héros

"Hé, ça va mec?

-Aussi bien qu'une putain de sardine..."

C'est tout ce qu'il pu dire d'une voix bien étouffée dû à son corps éprouvé pour une raison totalement inconnu. L'homme étrange le prit par le col pour le tirer vers lui, l'épaulant pour ne pas qu'il s'étale. Notre personnage principal était donc épauler en tremblant d'épuisement, un homme avec un sabre bien long et un cache-oeil s'approchant des deux avec un air sévère et grave

"Jeune maître! Faites preuve de prudence! Vous auriez pu vous mettre en grave danger pour... ça. Fissa, l'ex-gangster répondit avec un air clairement mécontent

-Si ta mère avait fait preuve de prudence, tu serais pas là! 9 mois pour ça..."

Douloureuse répartie! Répartie qu'on pourrait qualifier de destruction totale de charisme et crédibilité adverse. Il sentit une vague de souvenir envahir son esprit juste après ça. Des choses. Des noms. Des gens... Ce Musashi... Il ne le connaissait pas. Un mec aux cheveux bleus... Tyzy? Ils s'étaient battus? Pourquoi déjà? Ah oui, Hazama voulait lui montrer qu'il était le plus fort. Mais... Pourquoi voulait-il devenir fort déjà? Pour sa soeur qu'il a dévorer? Pour quelque chose d'autre? Sa course au pouvoir avait commencer bien plus tard mais QUAND!? Il ne se souvenait pas. Il n'arrivait pas à ce souvenir. Il laissait le mec repousser l'insulté en le sommant de se calmer avant qu'il ne s'énerve lui aussi, une femme arrivant pour balancer un mec dans le cercueil. Prenant le couvercle en le balançant dessus, refermant ce conteneur. Elle tourna ensuite la tête vers eux, prenant la parole d'un ton autoritaire

"On a pas de temps à perdre! On a ce qu'on voulait, on se casse maintenant!!.. C'quoi ça!?

-Mais c'est un être vivant! Un homme!! On l'emmène.

-Pourquoi!?

-Parce que c'est moi qui décide! Aller, bouge tes fesses ♥"

Et c'est ainsi que sans trop savoir ce qu'il lui arrivait, Hazama fut emmené par ce petit groupe d'explorateurs en Asie. Pour tout dire, il s'endormit. Il était épuisé, à bout de souffle... Ce n'est que quelques heures plus tard qu'il se réveilla, allongé sur un futon. En rouvrant lentement les yeux, il pu constater que deux femmes s'occupaient de lui. Deux splendides infirmières sûrement vu leur kimono avec la croix rouge... Marrant. Il se redressa en tout cas en soupirant, ne les laissant pas le déshabiller. Il les remercia de leur aide avant de reprendre son veston et le remettre, les deux belles insistant pour continuer les soins. Il refusa et... apparu alors son mystérieux sauveur. Le regardant, il le détailla d'un coup d'oeil rapide et vif et fut interrompu par la prise de parole de ce dernier

"Osh mec. Moi c'est Musashi Yamato. Appelle moi Musashi.

-Ok... Moi c'est Hazama. Merci pour ton aide. J'aurai pu crever sans toi."

Musashi en rit avant de lui dire que ce n'était rien, lui demandant ce qu'il foutait là dedans. Pas de souvenirs, rien. Il s'en inquiéta autant que le joyeux sauveur, les deux hommes engageant une conversation ultra informative et agréable. Alors apparemment, Musashi était un agent du gouvernement Nippon. Ces types étaient spécialisés dans la recherche sur l'âme semblerait-il. Et lui, il avait été chargé de ramener un spéciment de l'endroit ou il l'avait repêcher: La Insane Gate. Quoi qu'il en soit, Hazama récolta un paquet d'informations. Assez pour savoir ce qu'il avait à faire et le pourquoi du comment. Il hocha doucement la tête avant que Musashi ne lui avoue que le soir ou tout le monde regarde le ciel, c'était le meilleur moment pour aller à cet endroit. Personne ne s'y intéressait ni ne s'en rendait compte. Une diversion parfaite en somme!! Le jeune homme garda bien se compliment pour lui, sympathisant assez vite avec ce bien étrange samouraï qui avait une... Une espèce de sympathie et joie de vivre dure à expliquer. Il ne savait pas comment dire ça... Mais passons! Il se contentait de dire qu'il avait quelque chose à faire, affirmant qu'il partait aujourd'hui vers le lieu ou cette pluie de boîtes avait le plus sévit: en Europe! Il partit donc alors que Musashi lui dit de garder contact, lui offrant un téléphone portable avec un Ouroboros dessiné dessus. Ne comprenant pas comment il avait deviner son favoritisme pour les serpents. Le jeune agent lui répondit dans un sourire joyeux qu'il avait les même yeux qu'un saurien et qu'il avait ainsi penser à ça. Il était loin d'être bête... Les deux reprendraient donc sûrement contact. Une sorte de moyen pour Hazama de s’acquitter d'une dette! Mais pour l'instant, il devait aller dans l'aéroport le plus proche pour aller trouver sa Keira. Si elle était dans la même situation que lui, ça pourrait être assez mauvais. Il décida donc de la trouver et pour ça, direction le moyen de transport le plus rapide et le plus proche! Un plan lui fut offert, donnant une direction et un trajet. Il en remercia son sauver qui l'avait beaucoup aidé, cherchant ainsi comment y aller... Il passa par une route qui le faisait passer par un de ces lieux atypiques. Un village assez animé et sympathique ou il passa par la grande rue, chemin le plus court, marchant en gardant son air souriant et sadique. Il était néanmoins pensif. Pas moyen de s'extirper de cette flopée de questions qui le taraudaient, soupirant en bousculant un homme. Ce dernier se tourna vers lui et lui attrapa l'épaule, froissant le tissu de sa veste en lui demandant des excuses. Le Akuhei ne prit même pas la peine de s'intéresser à sa requête qu'il se tourna en dégageant son épaule, son pied se levant pour se détendre dans l'épaule de l'emmerdeur, l'emportant dans les airs avant de l'écraser au sol en y ramenant son pied, s'avançant vers les hommes qui s'apprêtaient dans leur dégaine à attaquer aussi. Son poing partit aussi tôt se faire une place au milieu du visage de l'un d'entre eux, attrapant ensuite son col en le tirant vers lui. Un tour sur lui même permettant l'enchaînement avec un coup de pied retourné qui le mit aussi à terre. Ils n'étaient pas bien résistants... Le dernier coup fut un dash vers le dernier et un coup de pied porté à la tête lui encastrant le crâne dans le mur. Il reprit une position stoïque et immobile suite à cet échauffement, le dos légèrement courbé et une main dans la poche. Il sursauta à l'entente de voix féminines, regardant autour de lui en amenant une main à son chapeau en le mettant un peu en arrière, étonné de la scène

"Merde, il s'est passé quoi ici? Ses yeux se posèrent sur les deux jeunes femmes qu'il, semblait-il, venait de libérer de la présence de ces lourds. Une moue s'afficha, venant leur dire alors avec la plus profonde sincérité On se connait?"

Les deux semblaient faire preuve d'un esprit bien peu sérieux. Elles le regardait dans les yeux avec cet éclat de malice et de joie. Il les connaissait? Peut être... En tout cas il ne s'en souvenait pas! Et pour le combat de l'instant? C'est simple: Il n'y avait pas fait attention. Il avait réagit mécaniquement, le niveau si bas qu'il n'avait même pas été sortit de ses pensées... Une bande de nazes en somme! Mais quoi qu'il en soit, ce qui l'intriguait, c'étaient cette filles... Qui étaient-ce? L'avenir allait le lui dire dans une rencontre plus qu'originale!!

Wait a sec'

HELL NO!!

Voyons le bon côté des choses au moins j'aurait pas besoin de l'enterrer.

Invité *Invité*

« Ohputainsarace, un ours blanc et une droguée ! »

On aime tous Patty, tous. La plupart du temps, c'est pour sa sympathique débilité profonde, d'autre fois, c'est parce qu'on peut pas se fâcher face à des répliques comme celles-là. Et puis quand on aime pas Patty, on se fait frapper par elle même, mais a part ça, elle est gentille, hein. Non, c'est faux, Patty n'a jamais lancé une canette pleine de boisson gazeuse secouée sur un chat. C'est faux, elle ne l'a jamais fais. C'est faux. C'est faux, c'est faux, alors fait pas chier et regarde l'ours trou du cul. Mais Patty … Tu vas me faire pleurer. UN OURS BLANC QUOI ! Tu crois que ça se mange ? Non, seul les poneys sont bons dans nos assiettes avec des frittes et du ketchup.

Reprenons voulez-vous ? Vous ne voulez pas ? Tant pis, je reprends quand même, j'ai pas que ça à faire d'attendre par x et y que vous acceptiez de connaître la suite et que de toute façon vous avez pas votre mot à dire car JE suis la narratrice et que JE fais ce que je veux et que si je le désires JE peux écrire dix lignes sur des sourcils. Ô, tiens, et si je le faisais ? … Ne rigolez pas derrière vos écrans, ou je le fais. Non, sérieusement, je vais le faire. … Okay, je le fais. Des sourcils parfait, vraiment, rien à dire. D'une beauté imbattable et d'une couleur jaunâtre hors du commun s'alliant parfaitement aux yeux d'émeraudes allant avec, un visage et une expression si angélique que l'on a parfois l'impression de voir un mochi à la place de son possesseur. On s'en moque, on en rit, mais rien ne contredit la vérité : ces sourcils sont à la mode. Les sourcils à la mode du cupigland sont inimitable depuis des années et des années, même l'Amérique a failli approuvait avant que ce dernier ne traite la nation de grosse. Des sourcils androgéniques d'une grosseur incontestable ressemblant plus à des poils qu'à autre chose mais tout le monde s'en fiche car qui diable dira « Haha, sourcil androgénique ! » au possesseur de ces œuvres d'arts. { Vous avez vu que je le fais en plus } Ô, mais quelle est la nature de ces choses qui servent de sourcil ? En réalité, ils sont bien fait mais si épais … Une forêt pas noir, voilà ce que c'est. Peut-être qu'ils cachent un lourd secret … Tel que du pop-corn volaient au cinéma et cachait dans ce gazon jaune. Ou peut-être bien pire … DES SOURCILS JETABLES !

▬

Au même moment, sur cette terre … En Italie. Des cris, des pleurs, le soleil se couchant sur le portuaire. Jamais ils n'avaient crus que leur histoire se terminerait ainsi. La blonde se dandinait sur ses talons aiguilles, essayant de rattraper dans bien que mal son James Bond. Vraiment, Cassandra était trop faible pour y parvenir, mais elle ne pouvait renoncer à son amour d'une manière si peu potable, elle devait se montrer fière de toute sa richesse et du prix de son maquillage qui avait coulé.

« Adrian ! Je t'en supplies mon Adrian, ne m'abandonne pas, je t'aime mon amour, je t'aime à un point fou ! »

Ses cris raisonnait dans le port tel un appel à l'aide criait par un homme n'ayant pas encore muait, sa voix se perdait dans le bruit des vagues et ses petits gémissements ressemblant à ceux d'une joueuse de tennis tirant sur la balle. Cassandra aimait Adrian – et son argent – et jamais elle ne pourrait le nier. A ses yeux, ils étaient fait pour vivre ensemble, à jamais ! Pour pouvoir jouir de toutes leurs beautés et leurs intelligences. Alors pourquoi, pourquoi diable Adrian attendait-il sur le quai un bateau partant pour l'Espagne ?

Elle courrait, Cassandra courrait comme jamais, comme ses talons aiguilles lui permettaient. Et elle y arriva, elle était dernière son tendre et cher amour.

« Adrian, s'il te plaît, ne me laisse pas mon amour … Je ne pourrais vivre sans toi !
- Il le faut Cassandra, il le faut. Pour toi, pour moi, mais pas pour nous.
- POURQUOI ? Pourquoi veux-tu me quitter aussi subitement ? On était bien tout les deux ensembles … Alors pourquoi ?
- Pourquoi ? Parce qu'en réalité … »

Et le bruit des vagues bouffa ses paroles une fois de plus.

▬

Elle la regarde. Elle la regarde. Il la regarde. Elles le regardent. Ils se regardent tous quoi. Le p'tit, le gros, le grand, le maigre et même le con qui sait pas chanter. Elles se connaissent. Il ne les connait pas. Deux jours pour apprendre à se connaître … C'est le défi qu'on reçu ces trois jeunes .. Choses – car y a un ours – et qu'ils doivent mener à bien. Si ils y parviennent, ils recevront un chèque de … TROIS MILLARD … de centimes. Y arriveront-ils ? Vous serez tout dans : « Patty & Alice, les aventures connes et bêtes de deux blondes. - 2012 approche à grand pas. - ».

En gros, ils se regardaient tous. Mais pas d'une manière simpliste, une manière plein d'amour et de virilité, une manière familiale. Oui, en moins d'une journée, Patty et Alice avait appris à parler l'ours, et qui dit parler l'ours, dit le comprendre. Oui, Alice et Patty s'était limite fait adopter par cet oursonne d'une virilité profonde ne possédant pas de poitrine, juste de quoi allaiter les deux enfants qui s'étaient rendus compte qu'elle se connaissaient à cause d'une tarée qu'elles avaient combattus à Berlin … Un jour.

Alors que cette heureuse troupe composé de deux êtres humains et d'un ours riait aux éclats en mangeant du poisson qu'ils avaient péchaient un peu plus tôt dans ce qui semblait être une rivière, un bruit sourd, grinçant et ressemblant à du métal rouillé ce fit entendre dans l'endroit. L’œil furtif de la petite blonde aux yeux bleus et aux cheveux court ainsi qu'à la grosse poitrine ne put qu’étinceler d'intrigue lié à ce mystérieux son ayant résonnait à ses doux capteurs auditifs qui lui servaient aussi bien de partie organique servant à communiquer des choses cohérentes à la personne qui était en face d'elle.

« Alice … Entends-tu ?
- What Patty ?
- Le bruit …
- … LES ALIENS DEBARQUEEEEENT !
- Daphoque, maman, part, vite ! »

Hurlement de l'animal se fit entendre, les lourds pattes de la créatures tombèrent sur le sol, lui permettant de se relever et de courir vers son groupe, abandonnant ainsi les deux filles seules, sans rien autour. Ce fut calme au départ, la première minute se passa en silence totale. Et Alice Kinglsey craqua. Elle se leva et se mit à courir dans tout les sens, comprenant qu'elles étaient seules avec quelque chose dont elle ne savait rien.

La peur les hantaient, elles savaient fort bien qu'elles ne pourraient pas y échapper : la chose était là, elle les guettait.

▬

Un cou si long, si beau, si doux, si lisse, si jaune. Voilà ce qu'avait Tony devant les yeux. Non, Tony n'était pas le frère d'Adrian, Tony était bien plus que ça, c'était un alien travaillant à MacDo et qui haïssait Burger King. Tony avait une moustache, c'était une vraie, mais il disait que c'était pour le style, en réalité, sa moustache était bien plus, c'était son arme, sa virilité, son pé---./PAN/ Bref, Tony - ou MacTony pour les intimes - était devant une magnifique girafe. En Amérique, une girafe ? Mais DAPHOQUE quoi. Même la Russie n'avait jamais rien eut de tel, et lui, cet alien Américain, lorsqu'il pose son pied sur le sol d'un zoo asiatique, tomba sur ça : UNE GIRAFE !

L'amour passa immédiatement entre eux deux, ignorant les autres autour d'eux, ainsi que les êtres humains regardant la scène avec horreur, stupeur, incompréhension et - pour certaines personnes tel que la vieille dame tenant un pot de pop-corn - une tendresse hors du commun.

Et ils copulèrent avec amour et passion.

▬

« Adrian, s'il te plaît, ne me laisse pas mon amour … Je ne pourrais vivre sans toi !
- Il le faut Cassandra, il le faut. Pour toi, pour moi, mais pas pour nous.
- POURQUOI ? Pourquoi veux-tu me quitter aussi subitement ? On était bien tout les deux ensembles … Alors pourquoi ?
- Pourquoi ? Parce qu'en réalité … »

Et le bruit des vagues bouffa ses paroles une fois de plus. Pourquoi diable ne terminait-il pas sa phrase ? Parce que l'épisode était terminé voyons, et que la suite était après la pub composé dont ne sait combien de pub composé d'un nombre incalculable de spot publicitaire. Bref, parce que y avait un truc avant la suite et que de toute façon, Cassandra et Adrian avaient le droit de rester ensemble encore un petit peu.

« En réalité ? Qu'est-il de la réalité ?!
- Parce qu'en réalité je suis allergique à ton déodorant.
- Mon déodorant ? Mais c'est du Chanel que j'ai acheté avec ton argent ! Comment diable cela est-il possible ? Je pensais que tu étais allergique à la pauvreté, pas à la richesse !
- Le Chanel c'est pour les pauvres, seul l'odeur viril et hétérosexuelle d'un homme est riche et plaisante.
- C'est d'ailleurs pour ça qu'en réalité tu es pauvre Adrian, pauvre ! Parce que je l'ai toujours su, tu n'es qu'un -
- Ce ne sont pas tes affaires, Cassandra. Laisse moi partir, nous ne nous reverrons jamais. »

Et les larmes plurent de nouveaux alors qu'un pigeon volait dans le ciel d'une façon on ne peut plus classe. Qu'est-ce qui peut-être plus classe qu'un pigeon ? Rien. Un pigeon c'est classe.

▬

Alice tomba derechef sur le sol, se relevant immédiatement après avec un regard de WTF sur le visage. Sur quoi s'était-elle cognait ? Il n'y avait rien ... Qu'est-ce que cela voulait-il dire ?

« Excusez moi mais ...
- Hein, quoi, j'entends des voix? Non, un fantôme, j’entends un fantôme. Non, je le vois, je vois un fantôme!! OhMyGod, j'ai retrouvé la vue, c'est merveilleux ! » hurla la blonde en ouvrant grand ses yeux

Un blond avec une ... Mèche se tenait devant-elle. Patty ne le voyait, qu'est-ce que cela voulait dire ? Elle ne l'avait pas entendu ? Mais ... Patty, es-tu entrain de dire qu'Alice est folle ? Quoi ? Tout le monde le sait ? Mais chut, elle va me frapper après ...

« Non je suis juste ...
- Je le vois ! Je le vois ! Je peux être voyante, je le vois ! Je vois un fantôme!Alice, devenons riche et ouvrons notre centre de recherche sur … REGARDE LA HAUT ! UN PIGEON ! »

Les yeux des deux filles se braquèrent immédiatement sur l'oiseau volant, leurs regards ne prêtant pas attention aux grilles qui surplombés le plafond, chose qui aurait pu leurs faire comprendre qu'elles n'étaient pas dehors en pleine nature.

« Mais non voyons, c'est juste une moustache volante …
- Excusez moi mais je …
- Une moustache volante ? T'es sûr ?
- Aussi sûr qu'on sait parler l'ours.
- Je …
- Tu quoi ?
- Merde, on l'avait zappé celui-là … »

Fort sympathique, n'est-ce pas ? Ne cherchaient pas, c'est Alice et Patty, d'ailleurs, elles ne connaissaient même pas le nom de ce mystérieux inconnu ressemblant à un fantôme ou autre genre d'ectoplasme. Mais bon, ça ne sembla pas être trop gênant vu que l'homme invisible semblait être habitué à ne pas être vue. D'ailleurs, au bout de deux trois reprises, il réussit à se présenter sous le nom de « Matthew ». Qui était-il ? Le gardien des ours polaires de … Ce zoo. Oui, les deux filles étaient tombés dans un zoo ! Et en Asie ! Mais la question existentielle de Patty en ce moment était : Que fout un Canadien – car Matt' était Canadien – en Asie ? Mais bien sûr, il travaillait là-bas à cause de la crise économique qui nous pète tous les burnes, mais personne ne sait pourquoi il est allait si loin et tout le monde s'en fout.

Mais qu'importe, ce dit Matthew les fit sortirent d'ici. Naturel, n'est-il pas ? Il faut dire qu'il n'allait pas laisser les duex blondes dans une cage à ours où tout le monde les prenait en vidéo. D'ailleurs, certaines avaient déjà sûrement fait le buzz sur youtube depuis le temps qu'elles étaient là-dedans.

Le canadien fut fort sympathique, il les emmena dans le café du coin du zoo où il leurs paya à l'aide de son pass une boisson au choix. Oui, il payait avec un objet qui servait à avoir tout gratuit. Elle est pas belle ? Mais si, car Plus Belle La Vie. Mais voyez-vous, l'idée de boire quelque chose n'était pas présente chez les filles. Il faut avouer qu'elles avaient droit à un spectacle inouï. Là, assis sur une table, les fixant d'une façon intense, se trouvait un jeune homme à la peau grise, les cheveux noirs corbeaux avec des cornes jaunâtres et des yeux de la même couleur. Qui était-il ? Nul ne le sut. Car quand elles voulurent demander à l'homme invisible, le gamin avait disparu. Comment était-ce possible ? Nul ne le sut non plus.

Alors elles soupirèrent. Le temps passa, Matthew du retourner travailler. Alors Alice & Patty décidèrent de partir en savoir un peu plus. Mais avant … La boutique souvenir. Elles étaient obligés de passer là-bas, et Dieu sait comme elles avaient bien fait.

Dans cette boutique, il y avait une drôle de machine qui nous prenait en photo les gens qui le désirait et qui les changeait en animaux moustachus ! Comment ne pas tenter l'expérience ? Personne ne résiste aux pouvoirs de la moustache ! Alors elles le firent. Alice tomba sur une sorte de poussin avec une moustache à la « Trois Mousquetaires » et Patty sur un hippocampe avec une moustache plus Italienne. Mais, ce n'était pas tout ! La machine avait beugé et leurs avait rajouté un monocle et un chapeau de bourge ! Leurs pensées se réunirent pour sortir un « Like Sir » au même moment. La télépatty avait fonctionné.

Et elles partirent du zoo, comme si de rien de n'était.

▬

Elles survécurent. Elles avaient marchés, pris le taxis, dormis dans des motels sur le bord de l'autoroute, mais elles survécurent. Elles avaient même décidé d'aller … Quelques part. A l'aéroport tiens, ça devait être marrant là-bas. Marrant ? Oui, se faire agresser par des gros lourdeaux voir était vraiment amusant. Ironie, auf kurs. Ce qui était amusant, néanmoins, ce fut de tomber nez-à-nez avec un gars aux cheveux verts haricots. Il avait sûrement manger des légumes de chez Géants Verts pour devenir ainsi, comme quoi, les pubs ne sont pas toujours mensongères. Mais qu'importait, il les avait en quelque sorte sauver. Et ce gars ne leurs étaient pas inconnu pour autant. Alors au lieu de répondre, Patty se dit qu'Alice le ferait pour elle et essaya de deviner où elle l'avait déjà vus. Car oui, elle l'avait déjà vu, c'était sûr. Mais où ? C'était plus dur.

... Vous savez ce qui est dérangeant dans la vie? C'est d'avoir quelqu'un devant soit, lui parler pendant cinq plombes, et remarquer qu'on se souvient plus de son prénom. Vous savez ce qui est PLUS dérangeant? C'est se dire qu'on connait cette personne, penser connaître son prénom, mais n'en rien savoir. Et vous savez ce qui est ENCORE PLUS dérangeant? C'est de démonter la gueule d'un groupe de péons sans même s'en rendre compte, se retrouver avec deux filles qui vous fixe avec des yeux pleins de paillettes, se dire qu'on les connait mais ne pas savoir leurs prénoms, et se demander surtout pourquoi tant de motherfuckin' paillettes! C'était une situation dans laquelle on ne se retrouve quasiment jamais, n'est-ce pas? Avouez le? Alors pourquoi, comme d'habitude, fallait-il que ce genre d'évènement aussi probable qu'une évolution de la poule en un être intelligent supérieur arrive à la personne qui était la plus dangereuse de ce monde pour l'instant? Simplement parce que le destin était assez beyatch avec Hazama.

Et plus il y pensait, plus il avait l'impression de se retrouver dans un de ces putains de feuilletons romantiques espagnols mal traduits avec une VF en décalage par rapport aux mouvements des lèvres. Ce genre de séries où, dans l'état actuel des choses, on lui apprendrait que ces deux adorables jeunes filles sont... Ses filles... Le pire dans cet océan de connerie, c'est que c'était plausible comme idée!! Il se rappelait d'avoir mené une vie pas toujours fidèle mais au point de laisser derrière lui des gosses... Il imagine ce que ce serait si il devait les élever! Il leur apprendrait déjà comment ce défendre pour éviter ces situations et... et puis éventuellement comment buter quelqu'un! Pourquoi pas, ça peut être utile hein! Des conseils pour avancer dans la vie... Mais un jour, comme dans touuuuutes les séries, il finirait par avouer que c'est un grand méchant Akuhei et, sous le poids de la révélation, elles passeraient sûrement du côté obscurs de la force pour accompagné leur cher Papa!

... En y pensant, il se trouvait vraiment à chier comme Père. Mais le pire, vous savez ce que c'est? C'est qu'il trouvait vraiment trop con le raisonnement qu'il avait eut jusque là!! C'était juste deux ado qui ont pas eut de bol et sur lesquels il était tombé pour leur plus grande chance! Mais pourquoi, se dit-il toujours, pourquoi tant de putains de paillettes dans les yeux!?

Elles ne disent rien. En finalité il finit par doucement hocher la tête comme il attendait quelque chose, soufflant doucement comme pour tricher à un examen

"Là, logiquement, c'est à vous de répondre."

Et il attend. Est-ce que, avec cette ultime indication, elles allaient enfin répondre? Après tout ça pouvait être utile pour faire connaissance, causer un peu, avancer le rp... Alors!?

Dat hair!

Ses cheveeeeux!

Oh noes... Patty, moi qui te faisais confiance comment oses tu me trahir avec ce... Ceee? CE!!

C'est bon Patty, ok, t'en fais donc pas. Tu sais bien que du moment que tu es heureuse je le serais aussi... T'en fais surtout pas pour mooooooiiii!!

Invité *Invité*

Ces cheveux ... Mais quels cheveux ! Les deux blondes étaient en admirations devant lui, et ce n'était pas étonnant. Cette crinière était digne d'une laitue. Une laitue mutante ? Qui sait. En tout cas, ceci ne serait pas étonnant vu les cas spéciaux existants dans ce monde. Limite, elles avaient des étoiles dans les yeux comme dans des shojos mangas bien niais. Mais vraiment, des étoiles dignes de Star Wars là.

Mais qu'importe, car avant qu'elle n'eut le temps de répondre à l'inconnu en smocking, elle se se sentit épié par sa camarade, alors elle se tut et la regarda à son tour. Quelque chose n'allait pas, elle en était sûre. Mais quoi ? Elle voyait son amie stressait. On aurait presque cru croire qu'elle se demandait si elle allait gagner au loto ou autre. Le truc, c'est que là, le lot, c'était elle. Et Patty le comprit quand elle se retrouva nez à nez avec sa Meister entrain de pleurer, de la morve au nez, ainsi qu'une mine presque aussi sérieuse que la création du monde.

Et la blonde ne savait pas quoi répondre. Dans un certains sens, elle commençait à se demander quel rapport avec cet homme, mais tout commença à devenir de plus en plus évident : ce mec était riche ! Ou du moins, il en avait tout l'air. Mais après, qui sait, peut-être possédait-il une camionnette blanche pour cacher les deux demoiselles jusqu'à ce qu'elles meurent de faim et qu'il leur propose une sucette commune. Mais non, cette idée ne vient pas à l'esprit de la frêle et pure Patricia. Encore heureux, la pauvre aurait fuit.

Mais là n'était pas la question. Elle se devait de rassurer son Alice, sa meister, sa coéquipière, son amie. La relation que la blonde croyait que Patty entretenait avec cet inconnu n'existait tout simplement pas. Et elle devait le dire clairement.

« Mais ... Mais Alice, ce n'est pas ce que tu crois ! Je te jure que jamais je ne te tromperais avec qui que ce soit, tu le sais très bien ! Toi est moi, on est une équipe, right ?»

Et après avoir dit ces mots, l'arme posa ses mains sur les épaules d'Alice, faisant ainsi une face toute aussi comique que celle de son amie, c'est à dire une tête d'hamster entrain de remonter les lèvres comme si elle se retenait de pleurer. Et ce mec aux cheveux verts qui étaient toujours là. Il était classe. Badass même. Mais il était quand même la cause de cette agitation.

Alors Patty pris son courage à deux mains et regarda la sorte de bourge. Elle le fixa longtemps. De haut en bas. Elle savait ce qu'elle voulait dire. Alors elle le regarda fixement d'un regard sincère avec des yeux à moitiés humides. Et quand elle ouvrit la bouche pour parler, elle la referma aussitôt. Elle avait oublié la question de l'autre. Elle avait oublié sa réponse.

Blanc. Blanc blanc et re-blanc. Non, on ne vous parle actuellement pas du décor mais de la situation actuelle. Hazama venait de souffler aux jeunes femmes qu'elles devaient répondre quant à leurs prénoms et elles n'avaient absolument rien dit. Leurs yeux rivés sur le gangster, elles semblaient diablement admiratives. Et pour dire la vérité, c'était super perturbant. Parce que là, elles ne répondaient vraiment pas. Soit elles n'avaient pas de voix, soit elles avaient une idée en tête. Et ça c'était encore plus flippant! Peut être que... C'étaient des fans!? En cherchant bien, on pouvait trouver des photos où il apparaît. Mais étant donné qu'il n'était plus dans le même monde, ce serait fort probable. Aussi peu probable que le fait que ces filles aient accès aux archives gouvernementales. L'idée qu'elles soient fans de lui était crédible mais beaucoup moins pour le fait qu'elles le connaisse.

Mais POURQUOI alors avait-il l'impression de les avoir déjà vu!? C'était totalement intolérable de ce retrouver dans ce genre de situation. Et le pire, c'était surtout que la brune était en train de péter une pile. Pourquoi? Parce qu'elle regardait la petite blonde avant de chialer comme une motherfuckin' madeleine. Même si elle avait l'air sérieux, les larmes coulaient sans cesse alors qu'elle parlait d'une histoire de... couple? Désolé mais c'est l'idée que Hazama se faisait en voyant la façon dont elles se regardaient et pleuraient. Le pire, c'était que la blonde suivait le truc! Elle parlait de tromper... Oh putain. Sur toute la population humain de cette putain de planète, il tombe sur le seule couple de lesbiennes détraquées.

Il ne dit rien et reste d'un stoïque exemplaire qui entretient sa classe naturelle. En les observant, il soupire longuement et retire son chapeau. Calmement, il se gratte un peu la tête et finit par remettre son chapeau, s'approchant des jeunes filles. Il pose ses mains sur leurs nuques et leurs caressent un peu, un beau sourire rassurant et chaleureux au visage

"Allons les filles, tout va bien. Vous allez rester ensemble, tout ira bien... Vous avez l'air épuisées, vous voulez vous reposer? Je crèche dans un hôtel pas loin et..."

Et il se tait. Pourquoi? Parce qu'il se rend parfaitement compte que c'est une demande qui prête à confusion! Mais néanmoins, il n'a pas envie de laisser deux jeunes filles paumées dans une telle situation... Il se justifie donc

"Oh, désolé. C'est assez space comme proposition, j'sais... Mais pour vous dire la vérité, je veux pas vous faire de mal. Vous êtes trop jeunes."

Et il leur tire la langue, amusé. Un moyen clair, net et efficace de les rassurer après tout. Mais qui plus est, il allait leur proposer plus que le repos dont elles avaient besoin. Il ajoute pour ultime argument, tentant de convaincre

"Et puis vous pourrez vous laver et manger... Vous semblez en avoir besoin, vous êtes pâles."

En effet, il était étonnamment bienveillant. Ces filles éveillaient une sensation paternelle en lui qu'il prenait assez au sérieux. Et puis bon, elles semblaient avoir subit de quoi être totalement vannées... Il pointe alors un hôtel; luxueux bien sûr. Quand on est voleur, on prend le meilleur!!; du doigt et le désigne comme étant leur destination. Il attend de voir ce qu'elles pensent pour y aller avec elles

"Et puis, avec un peu de chance, vous retrouverez vos prénoms sur le chemin~

Un léger ricanement très discret se laisse aller, accompagné d'un sourire guilleret qui, avec le visage de cet homme, donnait une impression perfide. C'était ça d'avoir une allure de serpent. Les autres ont toujours l'impression que vous préparez un truc...

IMPOSSIBRU!

C'est n'importe quoi tout ça.

Patty, Patty, Pattyyyy! C'est génial on va pouvoir l'appeler Mozah!

Mozah!

MOZAH!

MOZZZAAAAAAH!!

Invité *Invité*

[HRP: flemme de foutre la couleur Awesome

]

Patty avait une folle envie d'applaudir son amie. Vraiment. Quel surnom, quelle réussite. Cela lui faisait penser à un mot qu'elle avait déjà entendu. Mother peut-être. Ou autre chose. Sérieusement, Alice avait eu une magnifique idée. Mais là, superbe. Jamais elle ne l'aurait trouvé.

« Gawd Alice, quelle bonne idée ! MOZARELLAAAA. »

... NON. Ce n'était pas du tout. Mais il était trop tard, elle avait déjà bien dis clairement qu'elle n'avait strictement rien compris. Pauvre gamine, vivement que Noël approche pour qu'elle ai enfin un cerveau un peu plus digne que son nom, sinon on était pas sortie de l’aubergine. Donc, pour en revenir à nos moutons, après avoir compris sa bêtise mais ne pas pour autant l'avoir corrigé, Patty avait tout comme Alice accepté la proposition du costard cravate avec un sourire colgate. Parce que ouai, il avait un sourire Colgate. Ainsi que des putains de pompes. Des fringues de riches. Des cheveux vertes ... Fuck, ce vert. Ce mec était un bourge.

Oui, les deux pauvres filles étaient juste ... Absorbées par ces cheveux. Ce n'était pas tous les jours qu'elles croisaient une telle personne. Mais certes, cela n'était pas l'une des plus choquantes de leurs vie. Au contraire, ce qui devait être le plus choquant était soit cet extra terrestre nudiste, soit ce kuriboh yéti qu'elles avaient rencontrés avec un yokaï ... Soit quoi déjà ? Elles ne comptaient même plus les choses qui les marquaient.

Donc oui, l'inconnu avait gentiment proposé de les emmener un hôtel des plus luxueux. Elles n'avaient pas dis non. Il leurs avaient caressé la nuque, avait dis certaines choses douteux mais non : elles n'avaient pour autant pris ceci comme un acte de pédophile. D'ailleurs, quel était le nom de ce homme ? Elles ne le connaissaient pas et n'avaient même pas cherché à lui demander. Patty nota donc dans un coin de sa mémoire de lui demander son nom.

En tout cas, maintenant qu'il avait proposé, les deux blondes n'attendaient que l'hôtel et étaient prête à lui suivre. Une nuit de sommeil sans ours serait tellement calme.

... Plus Hazama restait avec elle, plus il était interrogé sur sa propre santé mentale. Pourquoi il n'arrivait à saisir que un quart de leurs paroles? C'était par ce qu'il était con ou c'était parce qu'elles étaient flippantes? Dans tout les cas, il pu constater leurs réactions et se rendit compte que finalement, le rôle de "pedobear in costume" lui avait pas été attribué. En effet, la première, la brune, avait dit avec enthousiasme à sa copine qu'elles pouvaient appeler Hazama "Mozah". Pour de vrai? C'était pas ce qui qualifiait les femmes? Bah si justement... Quoi qu'il en soit, il pu voir la réaction ensuite de la petite blonde qui elle était partie encore plus loin en parlant de Mozzarella. Rien qu'avec ça, il avait la moitié de leurs profils psychologiques. D'un côté, une joyeuse anglophobe et de l'autre une imbécile heureuse... C'était mignon comme duo.

Sur le chemin de l'hôtel se trouvait une route au trafic excessivement important. Des voitures passaient à des allures plus ou moins vives même si environ 75% de ces dernières devaient avoir un conducteur avec le pied au plancher. C'est pourquoi, voyant que le feu venait de redevenir vert (comme ses cheveux, AH! AHAH! DRÔLE!!), Hazama s'arrêta devant le passage piéton. Il aurait pu sauter au dessus mais il allait pas non plus embarquer les deux jeunes filles dans le genre Superjuuump! Il attendait donc que la circulation s'arrête via un nouveau feu rouge pour passer. En voyant les deux gamines s'élancer sur la route, il ouvre de grands yeux choqués. Elles étaient connes ou juste inconsciente? Parce que pour l'instant, le seul truc qu'elles allaient réussir à faire, c'est finir comme une balle de flipper avant de finir en compote. C'est pourquoi Hazama attrapa soudainement leurs vêtements pour les attirer vers lui, les faisant se remettre droites sur le trottoir. Il fronça les sourcils avant de les engueuler pour cette frayeur injustifiée

"Mais ça va pas!? Vous voulez finir incrustées dans le béton!? Vous êtes assez grande pour voir que c'est dangereux non? Je vais pas vous tenir la main comme à des gamines de cinq ans si?!"

Et un instant plus tard, le plus grand gangster de tout les temps pousse un long soupir d'ennui. Que traduit-il!? Bah de l'ennui. Le bel homme a en effet les mains sorties des poches et raccrochées à celles des deux gamines qui semblaient particulièrement contentes de la situation. Il les regardait pas contre pas, ayant peur pour sa santé mentale. Parce que rien que l'idée d'imaginer la petite blonde avec des étoiles plein les yeux et l'autre qui serait sûrement en train de lui serrer la main avec force dans le genre 'joie jubilatoire', ça créait en lui un sentiment de désespoir total face à ces cas qui l'auraient presque fait bondir sous ces bagnoles. Un glandu en vert apparaît enfin et les voitures s'arrêtent, permettant au Akuhei d'avancer... Avec les deux filles accrochées à ses mains. Il imaginait même pas la tête des personnes dans les voitures... Pourquoi? Sérieusement, vous avez déjà vu un père avec un costard cravate et autant de classe? Il puait le grand banditisme alors le voir se trimbaler ces deux gamines, ça frôlait le trafic humain!

Respiration calme et posée, concentration appliquée... Tout va bien. Ils sont passés... Mais elles ne le lâche pas... La déception ressentie plus tôt commença à doucement s'évaporer, laissant place à un sentiment de complaisance chez Hazama. Finalement, ces gamines étaient pas si débiles que ça, juste un peu... Attardées sur les bords. Mais ça, quand on considère certaines personnes de cette planète, il se disait que c'était pas grand chose. Le dernier soucis venait de lui même en revanche. L'aise qu'il ressentait face à cette situation le mettait super mal à l'aise. Et en suivant une certaine logique, ça pouvait parraître encore plus louche! Être content d'être avec deux jeunes filles, c'est déjà super flippant, même si elles étaient pas si jeunes mais que lui était particulièrement vieux. Le plus flippant, c'était le fait qu'il était pas plus dérangé le ça par l'idée d'être mère... D'être père! Et voilà!! Elles lui ont embrouillé l'esprit avec leurs conneries! Mais quand même, vous voyez le tableau? Hazama, t'es papa. HOW FUN! C'était vraiment super déplacé et embarrassant et le fait que lui, ça lui aille... C'était vraiment inquiétant.

Arrivés à l'hôtel, l'être de Folie prit directement l'ascenseur en espérant que les deux filles lui feraient pas un cirque d'un style quelconque. Du style? S'accrocher à lui en se disant "OHGAWD, ON VA TOMBAY!". Quoi qu'il en soit, il restait pour sa part droit, majeurs et annulaires dans les poches, alors qu'ils arrivent enfin à l'étage escompté. Les portes s'ouvrent et l'homme aux cheveux vert ouvre la porte au fond du couloir. La suite présidentielle? Bah oui, évidemment. Vous vous attendiez à quoi? On a la classe ou on ne l'a pas. Dans tout les cas, en mettant la clé dans la serrure, il eut un nouveau flash horrible. Non, pas ça, et on sait à quoi vous avez pensé. Il se disait juste... Ramener deux filles comme ça, naïves au possible, dans une suite présidentielle... Le pedomètre venait d'exploser là. Chose dite, chose faite, l'homme en noir prend le téléphone qu'il décroche afin de passer un coup de fil au room service. Il tourne la tête vers les gamines et siffle pour avoir leur attention, sourire en coin qui traduisait sûrement une petite joie

"Ok les filles, vous voulez mangez quoi?"

Plus il y pensait, plus il se disait que le programme de ce soir puait le pedofox mouillé. Du style nourriture, bain, au lit après une émission télé... Psychologiquement parlant, ça promettait d'être du grand n'importe quoi et Hazama n'était pas sûr de pouvoir tenir ça mais en tant que père... Enfin, père improvisé : Il DEVAIT assuré !!

Hmmmm... Allumé. Éteins. Allumé, éteins, allumé, éteins. Alluméééé, éteeeeins!

Un grand lit? Non, LE grand lit. Le plus grand et le plus beau de tout les lits!

MOZAH, PIZZA!

Invité *Invité*

Quelle bonne idée avait eu sa meister. Vraiment, une idée parfaite. Après les pop-corns, une pizza ! Oui, c'était super ! Magnifique ! Intelligent ! C'était pas du Alice en fait. Mais qu'importe, une pizza quoi ! Le truc que tout le monde aime. Une pizza faîtes … Par … Maître Pizza. Une tortue pizza, oui. C'est tout à fait ça. Vous imaginez une tortue entrain de faire une pizza ? Non ? Dommage, vous ratez votre vie là. Donc, sa meister avait fait commandé une pizza à l'homme aux cheveux verts. Mais, il ne fallait pas oublier quelque chose, une pizza sans Mozarella, ce n'était pas une pizza. Alors, la blonde n'avait pas pu s'empêcher de rajouter un vif.

« MOTHA, MOZERALLA. »

D'ailleurs, ces deux mots faisaient très très très très cons. Mais on n'y pouvait pas grand chose. Non, loin de là. C'était Patty, elle était très très très conne. Donc ça collait bien. En tout cas, l'akuhei allait sûrement croire que c'était de l'humour alors qu'elle était juste totalement sérieuse et qu'elle avait clairement dit cela sur un coups de tête. Sa meister, elle, semblait du même avis qu'elle car elle hochait rapidement la tête comme une gosse surexcité et le pire c'est que Patty commença à faire le même geste à cause de la proximité. Alors, elles étaient là, à bouger la tête de haut en bas pendant que le pauvre homme allait devoir commander les pizzas. En tout cas, ce qui était bien du point de vue d'Alice, c'était que le lit ne grinçait pas quand elle sautait à moitié dessus en bougeant la tête, on voyait tout de suite que la pièce était luxueusement riche. Et elles allaient faire les mêmes conneries que si elle était banale. Mais, elles en profiteraient pour bouffer comme des porcs. Elles ne payaient pas après tout, c'était Mozzah qui s'en chargeait.

Hélas, cette idée disparu vite de son esprit. L'heure était grave, sa vessie la pressait. Elle avait de pisser, mais sérieusement. Pourquoi est-ce que ce genre de truc ce passait toujours quand il ne fallait pas ? En tout cas, l'arme s'était levée et avait commencé à chercher les toilettes. Elle vit son amie se levait elle aussi et commencer à chercher la même salle qu'elle, sautillant comme si cela allait retenir leur envie.

« I HAVE TOO PEEEEEEE
- ME TOOOOOOOO »

Elles se regardèrent, regardèrent Hazama et observèrent ensuite une porte. Et là, les souvenirs d'une drôle de maison sont revenus vers elle. Et dans le doute, elles allèrent d'abord voir Mozah pour pouvoir aller ensuite pisser en paix.

« Mozah, Mozah, y a pas … Asshole là-bas ?
- Ni de Steve, hein ? »

Ettout ça, sur un air totalement stressé.

Bien. Il semblerait que les deux jeunes femmes aient clairement de l'appétit! Et pas que ça, de l'énergie aussi malgré le fait que le Akuhei les avaient ramassées dans la rue. Elles profitaient déjà du plumard en bondissant dessus, le regard saurien de l'homme les suivant dans leurs bonds. Son sourire sur son visage est chaleureux au possible, montrant bien qu'il était bienveillant et gardait un œil protecteurs sur elles. C'était une rencontre inattendue qui commençait à prendre des dimensions qui dépassaient Hazama mais ça, ce n'était pas si grave. Il avait la vague impression que son arrivée dans ce nouveau monde prendrait des dimensions disproportionnées et engendrerait des conséquences sans précédents... Mais pourquoi penser au pire actuellement? Mieux valait s'occuper de ces deux adorables filles!!

Passant la commande au service de chambre, il raccrocha calmement juste après et s'assit sur la commode pour observer les deux jeunes femmes qui étaient d'un coup devenue bien calme malgré leurs airs de surexcitées toujours. En se posant plusieurs questions sur le pourquoi du comment, elles allaient du "Pourquoi étaient-elles dans la rue?" à "Elles me regardent bizarrement... Elle veulent quelque chose?". D'un côté le rationnel et de l'autre le paternel... Avec un côté mozah poule. En cherchant ce qu'elles avaient à dire, il les écoute et là, c'est le drame (ce rp est sponsorisé par la chaîne ThishitFuckyou1). Elles avaient besoin d'aller au toilette... et venaient de venir voir Hazama avec un air plus que inquiet. Levant le museau vers la porte, l'être de folie s'en approche et l'ouvre calmement, regardant de ci de là. Il se tourne ensuite pour les laisser entrer, un grand sourire rassurant aux lèvres

"Tout va bien les filles! Il n'y a personne, je vous laisse y aller~"

Et au moment ou ses deux filles (oui, ses et pas ces. Il avait une énorme considération pour elles~) entraient et que leur porte se fermait, celle de l'appartement toquait. Partant ouvrir, il demande qui c'est et entend le service de chambre répondre. Donc il ouvre mais... Il est surprit de voir de quoi il s'agit. Le service de chambre était accompagné de deux hommes en tenues militaires qui emboîtèrent le pas de la serveuse. Attrapé, le Akuhei se dit qu'il va devoir s'en occuper sans faire de bruit et... Lève d'un coup ses bras pour balancer ceux de ses ennemis vers le haut. Il se voit ainsi débarrassé de leurs emprises et, spécialiste, frappe le premier de la paume de la main avec une violence innée dans la pomme d'Adam. Plus un son, il tombe en arrière lourdement alors que le deuxième... Est bien plus dérangeant.

Il avait des connaissances en corps à corps et s'était mit à tenter de cogner Hazama. Les mains du ciblé parait avec adresse les frappes du militaire qui, il faut le dire, étaient lourdes! Un Spetnaz sûrement. Au vue de ses capacités, c'était pas un militaire normal. Une unité spéciale, forcément. Perdant vite patience en se disant que ses filles ne seraient pas éternellement aux toilettes, il range une main dans sa poche et vivement, la sort pour dégainer vivement d'un mouvements de phalanges empli de dextérité son couteau. Il tranche violemment à l'horizontale la gorge de l'homme et sursaute, sortant rapidement en attrapant a serveuse

"Ta serviette! Vite vite vite!!"

Il l'attrape et l'enroule d'un coup autour du cou de cet homme, tirant violemment pour le faire tomber sur le sol. Il ne fallait surtout pas foutre du sang dans la salle ou ses filles allaient se douter d'un truc!! Il le traîne alors sans soucis ainsi, habitué à traîner les corps ainsi lorsqu'il pratiquait la strangulation. II l'embarque dans un placard à balai et retire le linge, lui plantant ensuite le cœur. Il fait bien attention de ne toucher que l'organe concerné, ne souhaitant surtout pas que du sang lui gicle dessus. Il ressort sa lame pleine de sang et l'essuie sur la serviette qu'il laisse sur place. Revenant ensuite sous les yeux terrifiés de la serveuse, il saisit le second corps par les vêtements au niveau des épaules, s'évadant pour le placard à balai à nouveau. Il le ferme et revient dans un long soupir d'effort. Devant la porte de son appartement, il regarde alors la serveuse qui est devenue pâle... Pâle comme le linge de tout à l'heure. Et il était sûr de pouvoir la faire virer au rouge~! En effet, il saisit son petit minois et lui dit, dans un beau sourire

"La vie sauve si tu jure de ne rien dire d'accord~?"

Et rouge légèrement, comme prévu, elle est surtout morte de peur à l'idée de se faire tuer elle aussi. Posant un petit baiser sur son nez, le tueur vient donc la remercier pour son silence mais aussi pour le service, lui laissant un pourboire plus que surprenant. Immédiatement, la belle reprit des couleurs et repartit avec le chariot vide. En rentrant dans la chambre, Hazama se racla la gorge et remit sa veste en place, comme si de rien n'était. Il va dans le salon avec un beau sourire rassuré au visage, venant poser les plats sur la table basse juste devant le canapé

"A TAAAABLE~"

Et il se laisse tomber sur le canapé, au centre. Il jette son chapeau comme un frisbee, ce dernier atteignant le porte manteau dans le coin de la salle. Sa veste sur le mouvement et, en chemise, il peut profiter maintenant de la soirée. Plus personne ne viendrait les emmerder maintenant... Enfin, il espérait. Si qui que ce soit tentait de venir ennuyer ses filles, il allait faire un carnage... Pour plus de détails, veuillez vous référez à la scène précédente~

Finalement, la situation allait redevenir comique après ce petit instant d'action qu'il avait fait de son mieux pour cacher à ses filles. Non, ce n'est pas une scène de remplissage, paaaaaaaaaaaaas du tout. Le vrai problème? C'est que, n'ayant pas vu lorsqu'il s'était occupé de prendre la serviette de la serveuse, du sang avait largement giclé de la gorge tranchée pour s'étaler sur la fenêtre et couler lentement au sol. Ainsi, les éclaboussures sur la vitre et une énorme tâche sur la splendide moquette... Et dire qu'il pensait avoir eut un epic win!

moi d'abord ma vieille

C'est... La... GUERRE!

C'est pas si bordélique que ça... Pas vrai?

Invité *Invité*

Il n'y avait pas à dire, les blondes étaient vraiment douées pour détruire ce qu'elle voyait ou même être ébahie devant. Vu l'état de la salle de bain, cela venait d'être prouvée en beauté. Mais pas n'importe qu'elle beauté … Une bordélique, rude et totalement et encore bordélique. Bref, mieux ne valait pas aller sur ce terrain de guerre. La salle de bain avait perdu face aux blondes car tel était son destin. Nul ne pouvait changer ça. Ni les blondes ni le lavabo. Le lavabo était mort, son crâne cassé. Enfin, sonre bord, mais ça équivaut. Donc dans tous les cas, il était mort. Et ça serait Mozah qui payerait les dégâts à l'hôtel car bien sûr, elles n'y étaient pour rien dans tout ça.

La douce voix de leur Mozah disant qu'il était tant de manger les fais sourire et une fois de plus elles sautèrent de joie au ciel en hurlant des « ouai, pizza ! » avant de se diriger vers l'homme vert en laissant la scène du crime derrière elles. Que de joie dans ces cris limite guidé par la famine et l'odeur alléchante de la pâte à pizza toutes chaudes sorti de four. Qui ne craquerait pas avec une telle odeur ? Une odeur si douce et mélangé à la sauce tomate et aux fromages fondus. Que de bonnes choses. Elles se dirigèrent donc à grands pas vers la boîte et passèrent à côté d'une fenêtre. Et wah, qu'elle fenêtre. Les deux blondes en restèrent bouche-bée. Une jolie tâche rouge se trouvait sur la vitre et coulait sur le sol dans un clapotis intensément horriblement et stressant.

« Mozah, y a de la sauce tomate qui coule le long de la vitre.
- Noes … Une bataille de bouffe ? »

Elles se lancent un regard de défis. Une invitation au duel. Mais qu'elle invitation. Elles avancent encore plus vitre pour avoir accès en premier à la sainte pizza. Toute la nourriture du monde potable était sainte pour elles, mais c'était un secret, of corse. Elles ricanent, se préparant à se battre. Mais une phrase leur revient à l'esprit : On ne joue avec la nourriture. Soit. Elles ne jouèrent pas avec mais ferait un concours pour savoir qui la mangerait le plus vite. Prenant un couteau, Alice coupa la pizza en trois tel Gustave Savoureux. Elle prit ensuite l'une des trois part t fixa Patty qui à son tour en prit une dans sa main. Un regard. Un échange de regard. Et … FIGHT ! Les deux blondes croquèrent au même instant la pizza et commencer à la dévorer sur place pour savoir qui la terminerait en première. Elles n'avaient même pas attendu le riche inconnu qui payait tout ça.

Tranquillement assit dans le canapé, le gangster regardait le plafond. Dans sa tête, il était progressivement en train de réaliser que, même si ce n'était pas officiel, il était Papa.. Merde, ça choque quand même! Un sourire niais et con sur son visage, il réfléchissait à tout ce qu'il allait faire et se disait que ça promettait. Vu que c'était ses filles, il allait devoir réfléchir à propos des métiers futurs, des orientations, des études... Quoi que les études, vu les gamines, c'était p'têtre pas la meilleure des idées. Et puis pourquoi il pensait à ça? Lui il était libre comme l'air après tout!! En secouant la tête à ses propres idées de père trop normal, il soupire d'agacement contre lui même et réfléchit deux minutes... Avant de rigoler un peu.

Il savait exactement comment il allait se comporter! Il allait déjà leur faire connaître les joies de la vie par envie, le bonheur du jour le jour, l'extase du plaisir instantanée... Toute cette philosophie épicurienne qui ferait qu'elles seraient aussi insouciantes et guillerets qu'actuellement. Mais justement, le défaut était qu'il les trouvaient trop ainsi. Son objectif premier était donc de leur inculquer les valeurs qui lui permettait de s'élever au dessus des autres: La surpuissance. Elles devraient s'élever au dessus des autres et assimiler des valeurs qu'il avait, comme celles du sadisme. Faire naître la haine, forcer l'adversaire à monter en force, traquer les bonnes proies... Tout un art~ Mais en attendant, il se contenterait de les divertir~

Lorsqu'elles revirent, Hazama pu les voir bondir sur la nourriture. En souriant, il s'attendait à ce qu'elles mangent tranquillement mais... Elles saisirent les parts et se lancèrent un regard significatif qui laissa deviner une chose à l'homme: ça allait se lancer de la pizza mais quelque chose de VIOLENT! C'est pourquoi, d'un coup, il accrue son aura en plissant les yeux et, d'une voix d'outre-tombe, fit le père autoritaire

"On ne joue pas avec la nourriture!!"

C'était peut être pour ça qu'elles ne le firent pas. Même si aux premiers abords, elles avaient eus l'impression que ça venait de leur imagination. Dans un sourire calme, il les regardaient se battre pour le concours de la plus grosse mangeuse de pizza bien que ce n'était que la première. Lui, il prit sa part calmement et vint la manger en toute tranquillité. Si bien qu'il n'avait même pas finit la sienne qu'elles étaient déjà à la seconde. En rigolant un peu, il se souvient alors de ce qu'elles ont énoncé. Sauce tomate sur le mur..?

Leur faussant compagnie en partant derrière le canapé, il appuie malencontreusement son pied sur un objet important: La télécommande! Inattentif, il laisse alors ses filles devant la télé sans même savoir ce qui s'y passe, arrivant dans la salle d'entrée. Sursautant à la vue de tout ce sang, il pousse un sourd "Oh shit!" et commence à nettoyer rapidement le bazar avant de revenir dans un long soupir d'effort. Le soucis? C'est que pendant ce temps, ses filles avaient pu voir qu'il passait à la télé en tant que fugitif recherché. Et quand il voit ça... Il n'est pas trop inquiet.

Soit elles le prennent pour un criminel, soit elles pensent que c'est une star, soit... Elles s'en foutent et continue de manger. Pas de quoi se faire du sang d'encre d'après lui.

père

wouhou

J'sais pas... Le plafond était pas mal quand même.

Omagad, qui est de retour? Est ce qu'il va nous jouer... Un mauvais tour?

Le fait que mozzah soit passé dedans rend le journal télé un peu moins craignos. Un tout petit peu, hein.

Invité *Invité*

Pour être choquant, ça c'était choquant. Le genre de chose que l'on voit rarement et dont on évite de se souvenir. En gros, c'était choquant. Mais pas méchant, juste choquant. De voir passer leur Mizah à la télé. Comme si de rien n'était. C'est pas le genre de truc au quel on s'attend, de tomber sur une star de la télé … recherché, en plus. Il y avait pas à dire, Mister salade impressionnait un tant soit peu les deux blondes qui néanmoins ne semblaient guère attristée de découvrir la véritable identité de leur père. Après tout, il leur payait le loyer, la nourriture et le reste, quoi de mieux ? Pas grand chose. Mais tout ceci aurait était encore plus parfait si leur papa n'était pas entré à ce moment là dans la salle. Dès lors, en parfaire symbiose, les deux blondes se levèrent en même temps, clamant haut et fort que les informations étaient clairement nul à chier et que la présence de Mozah remontait un peu le tout. En gros, elles ne savaient pas quoi dire, alors elles se contentèrent de se mettre en quête de la télécommande qui avait hélas disparue. Le salope, toujours absente quand on a besoin d'elle. C'est en grognant comme les deux amies – qui étaient presque des sœurs en fait – se mirent à fouiller partout la pièce en appelant l'objet alors que les infos continué de monter leur papa à l'écran. En fait, la présentatrice était tout simplement jalouses d'elles ! Haha. Patty en était sûre ! Mais elle n'aurait pas leur père. Never ! C'est donc avec un air on ne peut plus sérieuse que la plus jeune se remit à chercher l'objet de la quête. Elle chercha sous les coussins, sous la boîte à pizza, sur la table, derrière la bouteille d'eau, en dessous du téléphone cellulaire. Alice, elle, chercha dans les placards, sous les miettes et même derrière les poussières en quête de l'objet. Mais rien, strictement rien. Les deux filles échangèrent un regard de regret, comme si quelque chose de grave venait de se passer et qu'elles ne pouvaient rien changer. La télé ne faisait que monter la voix comme si elle narguait les blondes. Mais Patty n'avait pas dit son dernier mot. D'un pas victorieux et sûr, elle se dirigea de nouveau devant l'écran, le regardant d'un air de défi, comme pour lui dire qu'il avait perdue, que c'était fini. Et ensuite, la blonde appuya sur le bouton de derrière. Ayant eu comme un instant d'intelligence si rare. Elle n'avait pas eu besoin de la télécommande pour éteindre, yay. Victoire. Même Alice était bouche-bée devant un tel exploit et elle l'applaudissait vivement comme si elle venait de faire un miracle. Et pendant ce temps, cette télécommande restait sous le lit. Bien sûr, le lit.

Elles étaient mignonne à presque se coller le pif contre l'écran les deux petites. C'est ce que ce disait le gangster. Et au passage, il aurait bien râler en disant qu'il ne fallait pas tant s'approcher d'un écran mais il faut dire que vu ce qui était diffusé, il n'était de loin pas en position de force. Même si son inquiétude était à un niveau assez bas. Soudainement, elles se relèvent d'un seul coup, arrachant un haussement de sourcils à Hazama alors que n'importe qui d'autre aurait sûrement sursauté face à un mouvement si brusque. Elles se mettent à râler comme quoi les infos, c'est de la merde et que le seul truc qui relève le niveau, c'était lui. Son sourire sur son visage traduisait un amusement mêlé à du soulagement mais c'est sans compter son air fier et droit. Oui, il se sentait super fier du fait que ses filles l'admirait ainsi. Il ne pu s'empêcher de ricaner même en les regardant s'atteler à une des quêtes les plus épiques de la vie quotidienne: La recherche de la télécommande!

Réfléchissant un peu à où elle aurait pu finir en sachant qu'il avait dû mettre le pied dessus en partant, il ne compris pas trop pourquoi ces demoiselles ne la trouvèrent pas et observa la solution ultime: Le Shutdown! Patty s'était en effet approchée de la télé et d'un geste expert l'avait éteint. Un doigt d'une précision de sniper se posa sur le bouton qui éteignit l'infernal écran, faisant rire doucement le Akuhei. Ses mains se mirent à s'entrechoquer pour applaudir sa fille, fier d'elle. C'était pas forcément la chose à faire mais c'est pas grave. Il s'approche alors d'elles et leur sourit, un air chaleureux au visage

"Aller, vous avez mangez, vous puez le fauve! Allez vous douchez!! Après on improvisera le programme."

Oui, ce serait sortie en ville pour faire la fête (sachant que ce serait le père qui les emmenait faire la bringue... Pas sérieux tout ça, ni responsable!!) ou alors au lit! Dans tout les cas, pour un père, Hazama n'avait rien de bien exigeant ni trop sérieux ni quoi que ce soit d'autre. Il leur sourit doucement en les regardant, venant leur tirer la langue après ses dires. C'était vrai qu'elles sentaient le fauve... L'ours même... Pourquoi l'ours?

Hazama ouvre soudainement un œil attentif. Pedobear is near...

Ou alors j'ai juste froid hein...

Arg, que quelqu'un fasse quelque chose avant que je ne meurt sur place!

Karl was the best snail ever and will always be.

NO, NEVAH!!

C'pas que ça me gène, juste que la chose la plus intime que j'ai fait avec elle c'est de vivre une demie journée avec des ours et il est hors de question que je remplace ça pars le partage d'une douche sur mon CV!

M'en fout c'pas moi qui paye dans les deux cas!

Oh, écrase tu veux!

Invité *Invité*

Ça mousse, ça frotte et ça baigne au sens propre, c'est le cas de le dire. Patty n'avait pas perdu de temps pour aller se baigner dans le bain avec du savon sentant la pomme. Drôle d'odeur pour une fille ayant vécu avec les ours pendant un certains temps. Mais pas une odeur impossible à supporter, loin de là. Une douce odeur qui lui chatouillait agréablement les narines en lui demandant presque de la suivre. Non pas suivre dans le pot, hein, mais plutôt se laisser enivrer par ce parfum et de vider le flacon entier dans l'eau. Chose qu'elle fit presque, elle en mit juste la moitié, pour en laisser à sa Meister. Et après, elle plongea la tête la première dans les bulles et s'amusa, et elle s'amusa ainsi, comme une gamine, pendant quelques bonnes minutes si ce n'est pas pour dire une bonne vingtaine. Elle avait parfois même lancé de ces bulles sur Alice qui parlait toute seule comme une imbécile en regardant la miroir. Patricia laissa donc la place à son amie qui n'attendit pas plus longtemps avant d'y aller en lançant un regard solennel de félicitation à sa partenaire et de en manquant de se casser la gueule par terre à cause du savon étalé au sol du au débordement de la baignoire. Un vrai massacre, mais il fallait croire que c'était en quelque sorte devenue une habitude venant d'elles. En tout cas, la jeune Weapon suivi l'exemple de l'autre et se mit elle aussi à regarder le miroir et faire des dessins avec son doigt dans la buet comme une pauvre enfant qui trouvait ça marrant. Elle y dessina un ours, le début d'un donnut, elle fit un morpion avec elle-même et dessina aussi une gazelle sur la vitre. Elle ne savait pas combien de temps s'étaient écroulés mais l'autre blonde était déjà sortie et toute habillé, comme son amie. Les deux avaient les cheveux totalement trempés et qui coulaient partout. Leurs chaussures étant trempés, elles s'étaient permises de rester pieds-nus et étaient sortis de la salle pour retourner voir leur papa en se demandant qu'elle était la suite des événements, en espérant qu'il ne dise pas vouloir aller aux toilettes parce que sinon … il allait avoir une crise cardiaque, pour sûr. Et puis, l'homme aux cheveux salade n'avait sûrement pas pris la merveilleuse habitude de fermer derrière lui la porte de peur de rencontrer un Lord Van Trouducul ou le célèbre Steve. D'ailleurs, si ça se trouve, il y avait une faille dans le mur de cet hôtel, et ce bon vieux Karl attendait les deux blondes pour boire du café comme des bourges. AH, ce bon vieux Karl, que de souvenirs.

Et pendant que ses filles se douchaient tranquillement, Hazama était sur le qui-vive. Cette odeur d'ours ne l'avait vraiment pas rassuré et, Ouroboros en mains, il se mit à faire des rondes dans l'appartement. Son regard saurien attentif au moindre détail, il avant d'un pas silencieux au possible en quête d'un éventuel pedobear qui aurait contaminer de cette odeur les vêtements de ces chères filles. Mais rien... Rangeant ses lames, il se dit que de tout manière, le kill réflexe serait pas trop dur à faire. En entendant des bruits de pas comme si on marchait dans des flaques, Hazama revient à la salle principale, voyant ses filles sortir trempées et pieds nus. Stoïque au début avec un air pétrifié, il finit bien vite par avoir un triangle à la place de la bouche. Pourquoi? Parce qu'il était fin énervé! Et pour quelle raison? Vous en avez de ces questions cons! Ses filles étaient trempées!! Elles allaient chopper une crève de débile mental avec leurs conneries! Agacé au possible, Hazama se craqua les mains et remonta les manches de sa chemise, un large sourire au visage comme à son habitude et les yeux fermés. Il attrape ses deux filles par le dos des habits et les soulève, les embarquant dans le salon

"Je vais vous apprendre à pas faire gaffe à votre santé! Bougez pas!!"

Il s'évade alors pour la salle de bain et ne prête même pas attention au carnage, se contentant de glisser comme sur une piste gelée pour récupérer ce dont il a besoin. Les deux armes ultimes: La serviette et le sèche cheveux!! Revenant dans le salon, il branche l'objet, pose la serviette sur la table basse et se tient debout devant ses filles, plissant les yeux

"Time to end the day!"

Et avec des gestes experts par les années de rudes pratiques et entraînements... Il bazarde les vêtements des deux jeunes femmes de l'autre côté de la pièce, ces dernières atterrissant par la puissance du Awesome sur les radiateurs de la pièce. Les voici en sous vêtements et, de grâce!, ces derniers ne sont pas plus trempés que ça. Il saisit ensuite le sèche-cheveux et commence d'une main à sécher la tignasse de Alice, sa main libre usant d'une serviette pour frotter le corps de Patty juste à côté. Il commence par le haut pour ne surtout pas que ça coule puis s'attaque à ses cuisses et ses mollet, terminant par les pieds. Hors de questions qu'elles choppent froid!! Il échange ensuite les rôles, appliqué au possible. Ceci étant fait, il passe un dernier coup de sèche-cheveux de haut en bas sur chacune des jeunes femmes, histoire de faire sécher rapidement le peu d'eau qu'il restait. Il pointe du doigt une pièce et les laisse y aller, entrant avec elle. Il ouvre une armoire et fouille un peu dans ce qu'offre l'hôtel. Il sort deux pyjamas et se tourne vers les filles, tenant les hauts pour que les blondinettes puissent les enfiler. En finalité, il dit

"Vous mettez ça et vous vous reposez! Vous avez des mines a-ffreuses!"

Oooh le Papa poule! On les adore comme ça~ Surtout quand il sont doux, et tout ce qui va avec... Quoi qu'il en soit, il attend calmement, bienveillant et tout ce qui va avec. Elles avaient clairement besoin de dormir les deux petites~ Mais surtout ce qu'il voulais, c'était qu'elles pensent à leur santé! Et comme à deux dosses, il leurs feraient des cadeaux pour les faire sourire... Elles étaient mimi~

Est ce qu'il est en colère ou est ce qu'il l'est pas?

Qu'est ce que ça sent bon ce truc.

Très bon même!

Mais... Comme on est ensemble on est pas vraiment seules, non?

Ouais, ça tient à peu prés la route... Je crois. Raaaah, damn! Je suis claquée mais j'ai pas envie de laisser Patty s'emmerder toute seule quand même!

Patty, t'as sommeil toi?

Invité *Invité*

Après s'être fait séché et changé, les deux blondes s'étaient mises d'acord sur un point : Alice était fatiguée mais pas Patty, alors, Alice resterait éveillé avec Patty. Dure loi de la jungle qu'était ce soutient moral que se procurait les deux jeunes filles. En tout cas, elles n'avaient pas perdu une seule seconde pour s'installer devant la télé, les pieds sur la petite table de salon, à zapper les chaînes comme des gros porcs restant dans leur salon avec une bière en main toute la journée. Elles changèrent les informations pour un documentaire, le documentaire pour un dessin animé, le dessin animé pour un drôle de truc qu'elles s’empressèrent de changer en se donnant au passage quelques coups dans la tronche pour la télécommande. Puis elles retournèrent sur les cartoons. Observant les images de dessin animé et rigolant parfois comme des gamines. Ensuite, une musique qu'elles connaissaient retentis. Un NANANA tellement epic qu'on ne peut l'oublier. Elles fixèrent bouche-bée l'écran, devant le merveilleux générique de Batman. Elles restèrent scotchées devant la télé alors qu'Hazama était entrain de leurs parler. Ce dernier ayant sûrement du comprendre qu'elles ne répondraient pas, il partit on ne sait trop où pendnat que les filles hurlaient devant les pièges tendus par le Joker, suivant l'épisode à fond. Et dès que ce dernier fut terminé, elles se regardèrent d'un air triste et sincère avant de s'enlacer et de se m'être une tape amicale dans le dos en signe de consolation pour ce merveilleux moment qui venait de prendre fin.

Après ce sentiment de trahison envers cette chaîne qui n'en avait pas passé de second, Alice éteignit la télé et se jeta sur le lit en même temps que Patty, se cognant la tête l'une contre l'autre. Elles sentirent leurs cerveaux cogner et un bruit dans leur tête. Mais elles firent comme si de rien n'étaient et sautèrent sur le lit pendant de longues minutes, essayant de faire des figures, des grimaces et autres. Une fois qu'elles manquèrent de souffle, elles se lancèrent sur le lit, s'étalant sous la couette d'une façon très conne, se mettant des coups de pieds, des gifles et se tirant les cheveux dans des petits cris à la con. Elles pouffent de rire et s'installent, plaquant leurs visages sous les draps et parlant assez fort. Elles s'éclatent mine de rien, ces deux imbéciles. La voix de leur Mozzah résonne, elles sortent la tête et le regarde. Il veut qu'elles dorment. Oui mais non. Elles s'échangent un regard qui devait tout dire car elles se décalèrent avec une sorte de sourire de psychopathe au visage avant de dire :

« Noes … But …
- Tu viens aussi, mozzah ! »

Il semble choqué. C'est vrai, ça sonne bizarre dit comme ça, mais elles étaient vraiment très sérieuses dans leur parole. On ne peut plus sérieuse même. C'est donc dans un long soupir malgré un sourire sur son visage que l'homme aux cheveux salades alla s’installer là-bas aussi. Victorieuse et fière d'avoir réussi à trouver un moyen d'avoir moins froid aux pieds, elles se tapèrent dans la main. Et oui, le froid aux pieds c'est horrible de nos jours. Alors, elles avaient trouvés un moyen de faire en sorte que ce soit quelqu'un d'autre qui ai froid aux pieds. Mais bon, elles étaient pas si méchante que ça alors, dans un sourire chaleureux, elles se remirent bien au chaud avant de dire en cœur.

« Bonne nuit papa ! »

Contenu sponsorisé

» Dragoon Hunter Tri (Irlande) [Tyzy, Maze, Caleb, Kyoufu/ 35 lignes]
» Meeting with the sun?! It's a joke? [ Kyoufu & PNJ Amaterasu & Alice & Patty ]
» Le Deathbuck Coffe est-il pour les hipsters? [Rosalie, Alice, Patty, Médusa, Stein]
» -Awaking {With Keira Knowledge} [Limite : 35 lignes max]
» Witch? Hey! it's sounds like a Bitc-- [PV : Blair (& Caleb facultatif)] [Limite : 35 Lignes]

Are you fangirls!? [Patty & Alice ♥][30~35 Lignes]

Are you fangirls!? [Patty & Alice ♥][30~35 Lignes]

Sujets similaires

Sujets similaires