Mercenaires avant tout [ PV Phénix]

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L'église, un lieu de culte pour certains, de questionnement pour d'autres...Enfin celle-ci n'était plus rien pour personne depuis longtemps de toute façon. Du fait qu'elle tombait en ruines, elle avait été abandonnée, ou l'inverse, sa marche aussi. En tout cas plus personne n'y mettait les pieds mis à part les inconscients comme phantom ou les enfants les soirs d'halloween s'imaginant qu'elle serait hantée. C'est tout à fait débile, c'est vrai, pourquoi serait-elle plus hantée le soir d'halloween que les autres soirs? Enfin. Il restait quelques bancs en bon état, Phantom décida donc d'aller s'assoir.

Il referma la porte derrière lui qui ne tenait plus vraiment à ses gonds. C'était une porte en bois assez lourdes ornées de bronze sali et masqué par la poussière et usé par le temps. Devant, se trouvait deux réceptacles posés symétriquement l'un en face de l'autre supportés par des petites colonnes. Ils devaient sans doute recéler l'eau dite bénite au temps où les croyants et les mécréants hypocrites s'immolait de ce liquide tout ce qu'il y a de plus simple rendu sacré par des personnes se croyants sacrées elles-mêmes.

Plus loin, on pouvait entamer une allée longue d'une dizaine de mètres formée par des bancs sur ces deux flancs. C'est sur le second banc à gauche que Phantom s'est assis. De là il voyait émerger d'un tas de gravas l'autel où se déroulait la messe.
Plus jeune il avait reçu une éducation religieuse. Pourtant il n'a jamais cru à une entité qui dirigerait le monde. En fait c'était quelqu'un de très rationnel et par le fait cet enchainement de miracle et l'omniprésence d'un être qu'on ne voit pas ne lui paraissait en aucun logique et plausible. Ce ce que lui faisait penser cet autel.

Phantom ferma alors les yeux pour réfléchir. C'est ce qu'il fait lorsqu'il ne veut réfléchir qu'à une seule chose et canaliser son attention sur un seul problème. En fait il était là suite à une proposition de former un groupe de mercenaires. Après s'être intégré au groupe de rebelle de Zento, son fidèle compagnon, il voulait prendre un peu de distance tout en restant disponible pour ce dernier. C'est la raison pour laquelle il accepta se rendez-vous.

Il posa alors son fusil à côté de lui et attendit patiemment. Il avait les mains croisées posées sur ses genoux et la tête posée sur le dossier, orientée vers le ciel.

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Les choses se précipitaient pour Phénix, d'un côté, Shibusen réfléchissais sur son exclusion, inévitable après toutes ses infractions au règlement. Ce n'était plus qu'une question de temps avant qu'un professeur de l'école vienne lui annoncer qu'il devait préparer ses affaires et quitter les lieux. Le Dokeru s'en doutait évidemment, bien qu'il n'y ait eu aucune rumeur à ce sujet, il faut dire qu'aujourd'hui, ce n'était pas n'importe quel jour. " L'emprisonnement d'Asura ", voici ce que l'on fêtait en ce jour, et voilà pourquoi le cas de Phénix passait en second plan aux yeux de Shinigami. Cette célébration était un sursit pour l'éphèbe, un sursit inattendu et dont il allait profiter, d'une manière ou d'une autre...

Pourquoi choisir une église abandonnée comme point de rendez-vous ? Tout simplement parce que la personne que Phénix devait rencontrer allait s'intéresser à la religion. Phantom ( la personne en question ) d'après les renseignements du Dokeru, avait l'intention de travailler pour Al Capone, un homme très croyant. Néanmoins, l'assassin numéro un des Yakuzas, avec sa misérable expérience du Japon, ne doit pas vraiment s'y connaître en religion chrétienne. Autant qu'il ait un premier contact avec elle même si c'est à travers une vieille cathédrale en ruine.
Phénix se posa sur ce qui restait de toi au bâtiment, sous sa forme d'oiseau il put observer à loisir sa cible s'assoir, posé son fusil à côté de lui et fermer les yeux. Le Dokeru décolla à ce moment là, et survola plein de grâce la pièce, une fois arrivé juste au dessus du tueur à gage, l'éphèbe reprit sa forme humaine. Il chuta vertigineusement, sa jambe gauche replié, la droite tendu, prête à brisé tout ce qu'elle percuterait. Et ce qu'elle visait, c'était le crâne de Phantom, une attaque surprise, voilà ce que Phénix avait en tête. Si le garçon touchait sa cible, il ne valait même pas la peine qu'on lui prête attention. Mais, si elle esquivait, cela donnera lieu à un amusant combat, où l'apollon pourrait tester les capacités du Yakuza.

Impact... Le sol déjà en mauvaise état se brisa sous le choc : comme prévu, Phantom avait esquivait l'attaque, pendant un dixième de seconde le regard des deux combattant se croisèrent, et Phénix put lire dans le sien, la détermination froide d'un tueur acharné. Voilà qui plaisait beaucoup à l'éphèbe ! Ce type possédait donc une volonté sans faille, c'était une qualité rare chez les humains, et cela serait utile à l'apollon d'avoir un allié de cette trempe. L'assassin avait réussi ce " test " : Sa première impression était correct. Correct, pas parfaite car, il avait tout de même commis une erreur, en esquivant, il s'était sensiblement éloigné de son fusil. Et de ce qu'en avait pu voir Phénix, c'était sa seule arme, une faute bête, anodine aux yeux de certain mais, fatal pour ceux du Dokeru. Celui-ci shoota dans l'instrument de mort de sorte qu'il lui atterrisse dans la main puis, le garçon sourit.

Je te félicite pour tes réflexes digne de ta réputation... Phantom. Néanmoins je tiens à te faire remarquer ton erreur : Se séparer de son arme peut être fatal, même pour l'assassin numéro 1 des Yakuzas ! Je trouve cela plutôt dommage que la vie des êtres humains dépende lors d'un combat, uniquement de leurs armes. Dès lors que l'on vous l'enlève, vous êtes aussi inoffensifs que des bébés.
Et toi, es-tu capable de survivre sans ton précieux fusil ?!

Cette dernière phrase avait été dite sur un ton froid, dur et sans appelle. L'annonce officieuse d'un combat dans lequel Phantom devra se battre, non pas pour prendre une vie comme il en a l'habitude, mais pour sauver la sienne...
Le sourire de Phénix s'agrandit tandis qu'il prononçait cette incantation pour la première fois, ignorant complètement la réaction de son interlocuteur.

Blaze, Burn, Blazing Bird...

De sa main gauche il tenait le fusil et de l'autre passait deux doigts ardent sur lui, dans la seconde qui suit, toute la partie touché s'enflamma. La lueur vacillante des flammes illuminèrent le visage de l'éphèbe, lui donnant un air complètement fou. Lorsque le feu vint lécher la main gauche de Phénix, celui-ci repris son sérieux et lança l'arme sur Phantom. Le temps que ce dernier réagisse suffit pour que le Dokeru arme un magistral crochet du - pied - droit in the face of killer ( je m'emporte scusez moi ). Là, l'apollon y était allé relativement gentiment, pas de coup enflammé où enflammant, juste un simple kick en pleine tronche. De toute manière, il ne devait pas trop esquinter l'assassin si il souhaitait discuter un peu avec lui par la suite.

A présent Phantom était en face de deux choix : Soit il se prenait en pleine gueule un fusil en feu, soit c'était la jambe de Phénix qu'il se choper. Dans les deux cas, ça risquait de faire mal...

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Dans cette position Phantom pouvait se concentrer et bien entendu il avait entendu l'oiseau se poser sur le toit de l'église ravagée . Mais il était loin de se douter qu'il s'agissait là d'un dokeru et qui plus est de celui qui lui avait donné rendez-vous pour plus ou moins lui tendre un piège. Le Dokeru se dirigea a grande vitesse sur Phantom la jambe en avant. Le jeune tueur, pris de court par l'effet de surprise esquiva de justesse le coup qui finit sa course sur le sol . Le Dokeru lui prit alors son fusil avant de lui dire ces quelques mots.

"Je te félicite pour tes réflexes digne de ta
réputation... Phantom. Néanmoins je tiens à te faire remarquer ton
erreur : Se séparer de son arme peut être fatal, même pour l'assassin
numéro 1 des Yakuzas ! Je trouve cela plutôt dommage que la vie des
êtres humains dépende lors d'un combat, uniquement de leurs armes. Dès
lors que l'on vous l'enlève, vous êtes aussi inoffensifs que des bébés.
Et toi, es-tu capable de survivre sans ton précieux fusil ?!"

Alors tout ceci n'était qu'un test? Cet homme doutait donc de Phantom...
Il possédait apparemment le pouvoir de créer et contrôler le feu puisqu'il chauffa son fusil et lui jeta pour ensuite l'attaquer de face avec un coup de pied haut. Il ne laissait effectivement pas beaucoup d'options au tueur pour esquiver ses attaques frontales, une dizaine tout au plus. Il choisit la troisième, la riposte directe. Il leva alors son bras gauche pour amortir le choc du coup de pied et se servit du droit pour renvoyer via une petite onde de choc le fusil directement sur la jambe d'appui du dokeru. Il fut alors éjecté un peu plus loin par la force du coup mais put anticiper sa glissade puisqu'il s'y attendait. Son adversaire, d'un niveau supérieur, sauta en tourna sur lui-même pour esquiver le fusil et retomba sur ses jambes avec une légèreté surprenante.

Phantom se remit droit, les mains dans ses poches comme à son habitude. Il décida alors de répondre aux paroles arrogantes de son adversaire qui, de par son niveau supérieur, l'avait sous-estimé.

"Hmmm, pour commencer, bonjour."

Il mit alors sa capuche sur sa tête. De cette façon il limiterait les dégâts directs aux visages tout en ne se désavantageant par car sa vision périphérique couvrait la majorité de l'église. Il continua alors.

"Tout d'abord, tu apprendras que cet arme est un fusil de précision, il m'est donc inutile dans un endroit fermé et petit comme cette église, voilà pourquoi m'en défaire était justement la chose à faire, il m'aurait handicapé en limitant mes mouvements.
Ensuite, je programme des exécutions depuis un bon nombre d'année, alors ne me prend pas pour un débutant, je ne ferait jamais d'erreur aussi débile et tu le sais, sinon tu ne m'aurait pas prêté attention. Pou finir, pourrais-tu te présenter?"

Dit-il sur un ton plutôt calme et joviale. Il n'était pas là pour se battre mais apparemment il allait y être obligé. Mais l'église était un bon endroit pour sa, en effet tous les sons étaient amplifié par la résonance des lieux. Si en plus il se servait de sa capacité équivalente à l'écho, ses ondes seraient multipliée par trois. Mais il n'en avait aucunement l'intention. Ce n'était pas un combat à mort et il ne prendrait pas le risque de s'endommager les tympans. Il regardait alors son adversaire en attendant sa réponse.

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La réaction de son adversaire était vraiment très satisfaisante, il avait admirablement riposter et d'une manière que Phénix juger la meilleur lors d'un combat. Esquiver et contre-attaquer en même temps, voilà ce qu'il attendait d'un futur compagnon d'arme.
Phénix effectua un saut-périlleux arrière pour éviter le fusil embraser avant de se rétablir habillement, campé sur ses deux pieds. Les deux combattants se faisaient à présent face, chacun sur ses gardes, l'un, les mains dans les poches, l'autre, un sourire confiant sur les lèvres. Le calme s'installa sur l'église, le silence précédent les grandes batailles enveloppa les deux protagonistes et dura pendant une longue minute. C'est Phantom qui décida de briser le premier ce mutisme assourdissant.

Hmmm, pour commencer, bonjour.

Cette phrase provoqua un léger éclat de rire chez Phénix, un combatant n'usait de politesse dans un combat que lorsqu'il était certain d'avoir le dessus généralement. Ce qui voulait dire que le tueur à gage était sûr de ses capacités, donc qu'il avait encore quelques atouts dans sa manche. Si c'était le cas le duel en serait beaucoup plus interressant car le Dôkeru non plus n'avait pas jouer toutes ses cartes.
Phantom rabattit sa capuche sur son visage et poursuivit.

Tout d'abord, tu apprendras que cet arme est un fusil de précision, il m'est donc inutile dans un endroit fermé et petit comme cette église, voilà pourquoi m'en défaire était justement la chose à faire, il m'aurait handicapé en limitant mes mouvements.
Ensuite, je programme des exécutions depuis un bon nombre d'année, alors ne me prend pas pour un débutant, je ne ferait jamais d'erreur aussi débile et tu le sais, sinon tu ne m'aurait pas prêté attention. Pou finir, pourrais-tu te présenter?

Exactement ce à quoi s'attendait Phénix, un froid calculateur dont les actes sont mûrement réfléchis. Il ne laisse rien au hasard et c'est pour cela qu'il est devenu un professionnel dans l'art de l'assassinat.

* Phantom... Voilà un personnage dès plus intéressant, peut être un allié d'envergure aussi. *

Phénix passa une main dans ses cheveux pour replacer une mèche tout en s'avançant vers son interlocuteur avant de lui répondre :

Je vois que la réalité dépasse ta réputation tueur à gages et j'en suis agréablement surpris...
Je m'appelle Phénix et c'est tout ce que tu as besoin de savoir sur moi. Maintenant, à mon tour : Quelles sont tes objectifs personnels dans la vie ?

C'était une question bien particulière que l'éphèbe posait à Phantom et pourtant, dès plus banal quand on y pense. N'est-il pas normal que l'on veuille connaître les idéaux de son futur acolyte ?
Phénix attendait patiemment une réponse de l'assassin, tout en prononçant discrètement l'incantation du Burning Coat au cas où la réponse lui déplairait. A présent c'était au Yakuza de rétorquer, et de ce qu'il dirait dépendrait la suite des évènements...

[HRP] Je suis débordé désolé pour le post moyen [HRP]

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Le dokéru passat sa main dans ses cheveux rouges et s'avanca avant de se présenter.

" Je vois que la réalité dépasse ta réputation de tueur à gages et j'en suis agréablement surpris...
Je m'appelle Phénix et c'est tout ce que tu as besoin de savoir sur moi. Maintenant à mon tour: Quels sont tes objectifs personnels dans la vie ?"

Question plutôt intéressante n'est-ce pas? En fait Phantom n'avait pas vraiment réfléchi à ce genre de chose, jusqu'ici il n'avait pas vraiment fait de choix dans sa vie et avoir le contrôle de sa voie était quelque chose de neuf pour lui. Difficile d'animer un pantin sans fils... Mais il fallait une réponse, de façon évidente et si il n'en avait pas de toute faite, alors c'était le moment d'y penser. Le tueur à gage inspira de façon disproportionné et leva la tête en direction du ciel, comme à son habitude. Un instant plus tard il expira l'air engrangé et se décida à répondre.

"Hum, pour être honête, ce genre de question me fait chier. C'est vrai! Pourquoi toujours diriger nos vies? Je préfère me laisser porter, je verrais bien où j'atterrirais. De toute manière, à part tuer je ne pense pas être doué pour quel qu'autre métier alors mon destin est tracé depuis longtemps, ne cois-tu pas?"

Phantom lui adressa un sourire en même temps que ses paroles. Il savait bien que son opposant comprenait, ils n'avaient pas l'air si différents l'un de l'autre. C'est d'ailleurs surement pour sa que Phénix s'était intéressé à lui.

Bref l'air s'était encore réchauffé, c'était surement lié à l'arrivée de bonne augure du printemps. Il allait être temps de se faire tailler un costume plus en adéquation avec la saison. D'ailleurs pendant qu'on parle fringue, il avait remarqué une boutique de chapeau dans la ville de Death City en venant ici, il allait très probablement y jeter un œil plus attentif en rentrant, si il rentrait, bien entendu. Mais il était logique que si phénix avait l'intention de le tuer, il ne l'aurait pas fait dans ses conditions. Ça n'avait pas l'air d'être ce genre de personne. Fonçant tête baissée, sans réfléchir en se croyant surpuissant ou du moins assez pour tuer n'importe qui, de face, en lui laissant le temps de se préparer.

*Bon c'est pas le moment de parler chiffons, qu'est ce que je fous moi. Au fait, je ne connais pas grand chose sur mon adversaire.*

Cela le stressait un peu, d'être dans cette ignorance. Ho ce n'est pas qu'il avait peur, loin de là, seulement il était habitué à étudié ses contrats, avant de passer à l'abattage. Alors le fait d'avancer dans le brouillard le rendait légèrement nerveux. De plus il ne faisait pas face au pecno du village voisin ou au mafioso à trois ronds qui se pense intouchable car il la main sur un colt. C'était un combattant adroit, aujourd'hui.

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Phantom mit quelques secondes avant de répondre, comme-ci la question que lui avait poser Phénix n'avait pas de véritables réponses. Le tueur à gages, se mit alors à respirer profondément, à regarder le ciel et expiré une minutes plus tard. Avait-il trouver une réponse à ce " dilemme " ? Ou préférerait-il changé de sujet ? L'attente commençait à se faire longue et le Dokerû en vint à se demander si son interlocuteur ne faisait pas exprès de le faire poireauter lorsqu'il se décida enfin à parler :

Hum, pour être honnête, ce genre de question me fait chier. C'est vrai! Pourquoi toujours diriger nos vies? Je préfère me laisser porter, je verrais bien où j'atterrirais. De toute manière, à part tuer je ne pense pas être doué pour quel qu'autre métier alors mon destin est tracé depuis longtemps, ne cois-tu pas?

Une réponse pas banale ! L'intérêt que portait Phénix pour ce Yakuza grandit encore plus lorsqu'il entendit ça. Ce Phantom avait un comportement très original et l'éphèbe appréciait cela. Comme disait le proverbe : " Les grands esprits se rencontrent ". Et l'apollon pense en avoir rencontrer un; l'assassin avait passé les tests avec succès, il pourrait donc être mit au courant des projets que lui avait réservé Phénix.

A son tour, le jeune homme se laissa désirer avant de parler, il fit quelques pas vers le vieil autel poussiéreux de l'église avant de fermer les yeux. Tout en rassemblant ses idées, il se mit à sourire et à imaginer ce que pourrait donner une collaboration entre lui et Phantom. Phénix se considérait comme le Dokerû le plus fort du continent, voir même du monde. Il avait affronté de nombreux adversaires et en était ressortit à chaque fois, vainqueurs et plus fort. Quant au tueur à gages, il était l'assassin le plus doué des Yakuzas et des rumeurs prétendaient qu'il étaient capable de maîtriser le son. De plus, le petit test au combat que lui avait fait passer le Dokerû était concluant. Les deux hommes était loin d'êtres communs et leurs capacités intellectuels ou combattives restait bien supérieur à la moyenne. C'était donc évident : Une alliance entre eux ne pouvait donner naissance qu'à de grandes choses. Phénix en était persuadé aussi décida-t-il de révéler la raison pour laquelle il avait amené Phantom ici :

Tu dis que tu n'es bon que pour l'assassinat mais, je ne pense pas que ce soit la vérité. Du moins, si tu ne savais faire que ça, je ne t'aurais pas demander de venir ici... Il laissa un silence et se retourna vers son interlocuteur avant de reprendre : Vois-tu Phantom, je n'ai pas besoin d'une stupide machine à tuer qui travaille seulement pour l'argent. Si je t'ai fais venir ici c'était pour vérifier si tu étais capable de devenir mon... " Coéquipier ". Et ces quelques minutes que nous venons de passer à nous battre et à discuter m'ont permis de te juger et de tirer une conclusion : Tu as le parfait profil pour devenir mon associé...
Que dirais-tu de t'allier à moi pour " nous laisser porter " ensemble ?

Le Dokerû jouait carte sur table, la majeur parties des éléments avait été mis à jour et le puzzle pouvait enfin être reconstitué... Mais d'abord, c'était à Phantom de poser la première pièce.

Qu'allait-il répondre ?

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Le tueur à gages buvait les paroles du dokéru tout en tentant de lire entre les lignes et de les analyser du premier au dernier mot.

" Tu dis que tu n'es bon que pour l'assassinat
mais, je ne pense pas que ce soit la vérité. Du moins, si tu ne savais
faire que ça, je ne t'aurais pas demander de venir ici... Vois-tu Phantom, je n'ai pas
besoin d'une stupide machine à tuer qui travaille seulement pour
l'argent. Si je t'ai fais venir ici c'était pour vérifier si tu étais
capable de devenir mon... " Coéquipier ". Et ces quelques minutes que
nous venons de passer à nous battre et à discuter m'ont permis de te
juger et de tirer une conclusion : Tu as le parfait profil pour devenir
mon associé...
Que dirais-tu de t'allier à moi pour " nous laisser
porter " ensemble ? "

A la fin du discours trés résumé et assez cours pour ne pas être ennuyeux, phantom sourit à son opposant en s'approchant à son tour de ce dernier. Il répondit alors.

"Hmm, en fait je suis ce que tu appelle une machine à tuer, seulement, j'ai compris que tuer est un art et je fais tout pour être un grand artiste. Je fait toujours du travail propre, j'ai une moral quand même."

Après ces quelques mots, le sourire de phantom se noyât sur son visage désormais sérieux, froid, et fermé. Il leva alors sa main droite pour la tendre vers Phénix. Il repris alors.

"Pour ce qui est de notre travail en coopération, ca a l'air cool. J'en suis."

Ses paroles résonnaient dans l'église ce qui donnait à la conversation un côté inquiétant, d'ailleurs le décor en lui même n'était pas rassurant. Enfin bref tout c'était plutôt pas mal passé et on ressentait déja un grand respect entre ses deux hommes qui était la base de toute bonne entente. C'était donc là une nouvelle vie qui commençait pour phantom et c'est ce qui l'attirait.

/HRP\ Désolé pour le post vraiment merdique mais j'manque d'inspi là /HRP\

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