*Putain il neige!*

Je hais la neige. C'est froid, ça brûle et ça fait mal. En plus, je n'ai jamais réussi à manger un seul flocon, la neige est injuste avec moi. Pourtant, j'aime la pluie. C'est pourquoi je me suis décidé à essayer d'aimer la neige, il paraît qu'il sont frères, et je fais donc un petit tour dehors, examiner mon ennemi de plus prêt.
Je marche sans but précis, mais je garde un œil sur la route, on ne sait jamais ce que peuvent faire les mioches de cette ville pourrie jusqu'à la moelle. Je ne me suis pas trompé: un enfant d'à peine cinq ans me lance une boule de neige en pleine face. Ça ne m'aurait pas dérangé s'il n'avait pas été à deux pas de moi.
Je réussis pourtant à l'éviter en me renversant légèrement vers l'arrière. Je n'ai pas remarqué qu'il y avait un poteau électrique juste derrière moi et je me le prends derrière la tête. Je me tiens la tête en pleurnichant comme un gamin. Je n'ai jamais eu aussi mal même en mission. C'est là qu'on se rend compte que la vie est bien plus dangereuse chez soi qu'autre part, faut vraiment que je me trouve un casque ou un truc du genre. Je ne décrirais pas la douleur, mais le sourire moqueur et super satisfait de ce maudit gamin me galvanise: je fonce sur lui.
*Il court vite l'enflure!* Je remarque directement que l'on prend la direction du terrain dévasté. Je glisse à plusieurs reprises et m'étale de tout mon long. C'est soit à cause de la neige même, ou du verglas, ou de mes jambes qui me lâchent. Je crois bien que la troisième option revient le plus souvent... Un peu trop souvent même.
Dans tous les cas, le môme avait l'air de m'attendre à chaque fois. Non pas qu'il me regardait me vautrer sans bouger, mais quand je relève, il est toujours à proximité. Il y a même un moment, après m'être casser la figure en beauté, je prends un tournant un peu trop serré et me rattrape à un mur. Je le vois me regarder en souriant de toutes ses dents puis bondir dans une ruelle en me montrant son majeur. Il m'appelle presque.

Elle s'ennuyait ses derniers temps et il fallait qu'elle trouve de quoi faire, pas qu'elle n'ait plus de livres à lire mais, il fallait trouver d'autres choses. Ainsi dans cette ville et au milieu d'humains puant elle avait fait une petite balade sous un lourd manteau puisqu'il avait neigé et c'est ainsi que dans un des endroit isolé proche, même trop de l'académie qu'elle haït de tout son cœur qu'elle avait trouvé un petit terrain de jeux. Le bas elle avait rencontré des enfants des plus jeunes qu'elle et certains autres de son âge qui semblait vouloir jouer. Si elle voulait pouvoir observer ses porc de Shibusen sans se faire repérer il fallait qu'elle se fonde dans la masse et c'est dans une tenue a peu près normal en lançant des boules de neiges a des enfants, ce qui été très amusant au passage qu'elle se faisait des "amis". Suite à une bonne heure de jeux ils avaient discuté, enfin à leurs niveau d'âge sur le fait que c'est pompeux de l'académie arrêter pas de dire qu'ils n'étaient que des mioches et n'avaient pas à savoir ce qu'ils faisait ce qui était trop injuste... C'est dans cette conversation qu'elle avait trouvé le moyens de se faire de bonne connaissances tout en conservant sa couverture comme l'élégant et cool monsieur Lagann (PS: Voir ce RP)
Ainsi avec un air contrarier et en voulant aux méchant ce qui n'était pas dur elle entonna comme une déclaration de guerre.
"Ouais les grand de la Shibusen se prennent trop pour les meilleurs, ont devraient leur montrer qu’on n’est pas des gamins, vous êtes avec moi !"
Le tout suivi par un petit silence, puis des regards acquiesçant et un "Ouais !" général ainsi le plan était d'attirer l'un des grand de la Shibusen et de lui en faire voir de toutes les couleurs et le petit Marco aller commençait les hostilité en allant en chercher uns, il devait l'attirer dans un traquenards sur ce terrain ou il serait piéger pour le début. Ainsi le lièvre approchait des chasseurs on pouvait entendre Marco approchait dans une bruit de pas dans la neige suivit de l'autre bof qui se prenait des murs... une proie exceptionnellement facile à avoir en somme. Une fois celui-ci suffisamment proche et quand il serait a porté de "mains"
"Sus aux grands odieux !"
Un premier bordé de boules de neige était parti dans sa direction.