Après les évènements de de Blach Spring, Gabriel emprunta de nombreux moyens de transports pour quitter au plus vite les États-Unis. En Floride, il découvrit un riche homme d'affaire ayant une étrange ressemblance avec lui. L'opportunité parfaite pour notre tendre Akuhei. Il le tua vite fait, le cacha et lui vola ses cartes et son argent.

Il prit ensuite une petite suite de Luxe dans un hôtel paradisiaque pour relaxer et se remettre les idées en place. Il comptait s'enfuir vers le Canada dès la fin de son séjour à l'hôtel. L'hôtel était tout de même magnifique, surtout la douche où il resta dedans jusqu'à ce que l'eau chaude manque. Son lit était d'une douceur incomparable et les oreillers en plumes d'oies, quel bonté de la nature. Il se nourrit de fruits de mer, qu'il ne trouva ni meilleur ni moins bon que sa nourriture habituel, pendant son séjour. Après cette petite période d'isolement dans le confort, il décida d'aller dehors courir un peu.

En sortant, il aperçu sa voisine de chambre pour la première fois. Une jeune fille frêle aux magnifiques et longs cheveux violets. Un visage exprimant la douceur et la finesse. Elle était encore mouillée d'un voyage à la piscine ou à la plage. Ce n'était pas très bon pour notre Gabriel qui voulait un voyage sans problème. Mais il ne voyait devant lui qu'un magnifique souper cinq étoiles qui le fixait de toute part.

-Je vais la manger...

Il feigna de commencer à lui parler lorsqu'il entendit une voix dans sa tête.

-Non mon chérie, pourquoi voudrais tu la mangée ?

-Qui parle ?!?

-Je vit en toi et vois toujours ta solitude. Mon chérie, garde la pour toi et toi seule. Elle sera une magnifique amie non ?

Il devina qui était la voix qui lui parlait de son intérieur.

-D'ac...d'accord, maman.

Il regarda autour de lui et vit la jeune fille finir de rentrer dans sa chambre. Sa discution avec l'âme de sa mère c'était passé en quelques secondes et personnes les avait entendu. Il rentra dans sa chambre sans faire sa petite course qu'il a complètement oublier. Il ne pensa qu'à cette fille. Elle sera à lui, à lui, à lui et seulement à lui. Il guette la sorti de fille et se met à la suivre.

Elle commença à parler à un homme aux cheveux blonds aux yeux bleu. Et bien il ne fera plus jamais son petit spectacle de séduction avec personne... ou encore avec les poissons on sait jamais. Il passa le reste de la journée à tuer silencieusement tout les hommes qui adressait la parole à ça chère future amie. Il aurait mieux aimer les tuer devant elle et lui montrer sa supériorité mais il ne croyait pas que ça mère aurait aimé.

Il revient finalement à l'hôtel toujours en suivant la fille aux cheveux violets. Elle décida de prendre les escaliers, alors il prit l'ascenseur pour arriver en premier et faire comme si il ne la suivait pas. Il entendit la porte d'à coté s'ouvrir et se fermer en claquant. Il devait attendre un quinzaine de minute et décida alors d'appeler le service aux chambres. Il prit le téléphone et composa le numéro.

-Bonsoir, ici le service aux chambres que voulez vous ?

-Des chaines...oui des chaines et des cadenas. Du Duct Tape aussi.

-D'accord... on va chercher ça et on vous l'amène, ce sera rajouté à votre facture. Merci de venir chez...

Gabriel raccrocha la ligne et attendit sa commande en position de foetus sur le lit. Il en pensa qu'à une chose et c'est d'imaginer sa vie avec sa future amie. Il est si content en ce moment ce qui ne lui arrive que rarement d'être en passant. Il entend enfin le garçon de chambre cogner et va lui répondre.

-Bonjour monsieur, voici vos... chaines et tout le reste.

Il les prends sans un merci et claque la porte au nez du garçon. Il attend qu'il parte avant de s'introduire dans la suite de sa voisine. Il défonça un peu la poignez pour rentrer mais ça reste assez subtil. Il s'approche du corps dormant dans le grand lit. Il la fixe quelques secondes avant de se mettre à lui attacher les bras et les jambes à la base du lit. Il garde le Duct Tape au cas où qu'elle aurait l'idée de crier, mais pourquoi elle aurait cette idée avec la présent d'un ami ? Il passe toute la nuit à la fixer en guettant son réveil.

Toute la nuit il l'a regarda. Il avait hâte de la voir se réveiller et pouvoir enfin lui parler. Il s'allaient tout de même être ami pour un bon bout de temps alors c'est un peu normal. Il l'a fixa de ses yeux jaunes en attendant le moment du début de leur amitié. Il se demanda qu'allait être la première chose qui lui dira alors que le premier cauchemar. Elle se mit à se débattre violemment sur le lit, encore enchainée. Il se mit à devenir de plus en plus nerveux en pensant que son ami, sous le stress de leur nouvelle ''amitié'', ne fassent une crise d'anxiété. Elle se mit même à gémir un peu. Il décida de faire la seul chose qu'il croyait sensé, s'étendre à ses cotés et la réconforter avec la caresse d'un ami. Après quelques minutes, elle se calma ayant fini son cauchemar ce qui rajouta encore plus de confiance en Gabriel qui pensait que c'était grâce à lui qu'elle avait arrêter. Il répéta le manège toute la nuit avant de remarquer enfin le matin venu deux yeux posés sur lui.

- Qu'est-ce que tu veux? J'ai pas de pommes à te donner!

Dans sa tête la lumière qui s'alluma disait: elle veut des pommes. Il ouvrit le frigidaire et vida son contenu sur le sol jusqu'à ce qu'il trouve la pomme tant convoité. Il la déposa délicatement sur son ventre et repartit s'assir sur la chaise qu'il est resté sur toute la nuit. Il regarda ensuite un peu sa nouvelle ''amie'' avec un aire plutôt serein. Après quelques minutes de se fixage, il se rappela de la première phrase qu'elle a dit.

-Qui je suis ? Mais je suis ton ami voyons ! Ton ami Gabriel et le seul que tu as besoin. Je t'ai vu hier et j'ai tout de suite su qu'on serait ami pour un bon bout de temps. Je t'ai attaché parce que j'avais peur que tu est peur parce que je ne sais pas si tu as peur des chaines, mais c'est pas grave ! Les chaines ne vont rien faire à notre amitié. Je veut tout savoir de toi. Mon. Amie.

Gabriel venait de péter une crise de folie. Pas une crise où il tue tout le monde mais une ou il agis avec une mentalité incomprenable. On se demanderait qu'elle est la pire en fait ? À part cela, il s'approcha du lit et tenta du mieux qu'il pouvait d'enlacer son amie comme il le faisait pour la ''réconforter'' de ses cauchemars. C'était plus dure maintenant qu'elle était réveillée. Après la tentative échoué, il se remit sur sa chaise et la regarda une fois de plus. Il ne commançait même pas à avoir mal aux yeux après tout une nuit de cette activité si dynamique. Dans son visage par contre se lisait une joie qu'il n'avait connu depuis l'époque où sa mère vivait encore, mais cette fois cette joie était empreint d'une marque profonde de folie. Sur un ton joyeux il déclara:

-Et toi comment tu t'appelle ? Qu'est-ce que tu fait ? Tu as un petit chiot, j'aime les chiots. Je veux tout savoir de toi, on cache rien à un meilleur ami. Tu aime le bacon ? Je t'en fait tout de suite si tu veux ?...

Elle avait accepter son offre ! Il était très content de pouvoir faire quelque chose pour son amie. Il cuisais le bacon avec toute la puissance de son amitié et toute sa concentration. Ce bacon devait être parfait. Il écoutait le délicieux son du bacon aromatisé à l'érable cuire à feu doux sur le poêle. Gabriel commençait déjà à planifier la journée après leurs petits déjeuners. Ils pourraient se promener, se parler, tuer des humains et manger leurs âmes... Quel sensation de bien être était d'avoir une amie qu'on peut avoir confiance en elle. Il pensait justement à cela lorsqu'il entendit le boom de la porte qui s'ouvrais avec fracat. Il se retourna prestement pour découvrir le lit vide, les chaines encore attachées. Pendant une bonne trentaine de secondes il regarda le lit où était il y a quelques minutes sa précieuse amie. Ça lui tapa en plein visage, l'amie qu'il voulait tant connaître et partagé de bons moments c'est enfuie de lui. Il cria à s'époumoner un ''ahhhhh'' d'un tonalité infernal. La folie joyeuse vient de passer à celle qui est triste et haineuse. Il se mit à courir dans le couloir à la recherche de la fille aux cheveux mauves alors que quelques têtes curieuses sortait des chambres pour voir d'où venait le son bestial. Il ne savait même pas où était la direction qu'elle avait emprunter, il ne faisait que courir sans relâche à la recherche de celle qu'il croyait avoir confiance. Une voix se mit à lui parler encore une fois:

-Mon fils, arrête tout de suite cet...

-FERME LÀ ! Quand je vais la trouver je vais la mettre en pièces !

-Chéri, elle ne voulait pas se sauver, elle voulait... euhhhh... jouer à cache-cache ?

Il s'arrêta un peu à la penser que son amie n'aurait peut-être pas voulu s'enfuir, ce qui était en fait une ruse de sa ''mère'' qui lui parlait. Ce qui en fait, évitait de quelque sorte un massacre gigantesque.

-Elle joue à... ''cache-cache'' ?

-Oui ! En plein ça, comme quand tu étais jeune. Tu dois la trouver d'après moi elle est encore dans l'hôtel et tu devrais faire vite.

-Mais... si elle quitte l'hôtel ?

-Mon chéri, c'est une hôtel cinq étoiles. Vas au centre de sécurité et enferme tout le monde ici.

Cette nouvelle façon de penser aux derniers évènements lui remit un peu le sourire dans le visage. Pas autant que tout à l'heure, mais au moins il ne voulait plus tuer la fille. Il se mit à gambader joyeusement vers l'ascenseur et appuya sur le bouton d'envoi. L'ascenseur s'ouvrit avec un père et son fils qui avait un oeil au bord noir. Il entra dans l'ascenseur et appuya sur le bouton du sous-sol. Il regarda ensuite le père et le fils qui ne se sentait pas confortable même avec son père à ses côtés.

-Bonjour monsieur ! Qu'est-t'il arriver à votre garçon ? dit-il avec un ton radieux.

-Ce n'est pas de vos affaires *******.

Gabriel se pencha vers le garçon et se mit à discuter avec celui-ci.

-Bonjour ! Vient ici que je te raconte un secret. Moi aussi j'avais un mauvais papa, il nous faisait mal à tout les jours à moi et à ma mère. Mais un jour, j'ai fait quelque chose qui arrêta tout cela ! Maintenant, je suis content et heureux. J'ai une question à te poser, veux-tu que je fasse la même chose à ton père ou peut importe ce qu'il est ?

Le garçon regarda longuement les yeux jaunes remplit de folie avant de remuer la tête de haut en bas et dire : Oui.

Gabriel sortit de l'ascenseur dont ne restait qu'un enfant et une purée rouge. Il prit la direction de la salle de sécurité comme lui avait conseillé sa mère. Il atteignit une porte plutôt épaisse supposé protéger la sécurité. Pfffffff, ça paraissait qu'il n'avait jamais eu affaire à un bras, un fou, une arme ou encore le bras d'un fou qui est une arme. Après d'avoir facilement défoncer la porte, il prit l'effet de surprise pour tuer le gros chef de sécurité et le vieux qui s'occupais des caméras. Il remarqua le micro qui permettait de communiquer avec certaines parties de l'hôtel et décida de l'utiliser sur tout les hauts-parleurs.

-Ma chère amie ! Quel bonne idée de faire une partie de cache-cache ensemble. Tu as décider le jeu alors je choisi les règles. *Il se met a faire des bruits de grimaces dans le micro.* Premièrement nous jouerons qu'avec l'hôtel. *Il appuya sur le bouton quarantaine.* Deuxièmement... Hé ! Je te vois sur la caméra là ! Je sais où venir te chercher maintenant. Bon je disais, pourquoi pas une partie dans le noir ? Bon et bien aller bonne chance !, dit-il avant d'appuyer sur le bouton d'arrêt d'urgence qui coupe toute source d'électricité...

Gabriel gambada gentiment jusqu'à l'endroit où il avait aperçu la fascinante femme au cheveux mauve sur les caméras de surveillance. Petit fou de choux (Gabriel) n'avait pas pensez qu'elle aurait pus s'en aller pendant ce temps. Que voulez vous, un Akuhei n'est pas toujours très très logique. Par chance, il n'avait rencontrer personne sur le chemin jusqu'à destination. Par chance pour les autres personnes bien-sure. Le malade mental qu'il est s'assit dans la position du penseur avant de réfléchir. *Mais où pourrait-elle bien être ?* Il pensa, enfin autant qu'un fou le peu, pendant de longues secondes qui parurent de longues minutes juste avant de trouver LA place où il pourrait trouver à coup sure la jolie demoiselle...

Après un passage en vitesse dans les toilettes des filles, Gabriel commença à perdre patience et à défoncer quelque portes. Ça ne lui a jamais traversé par l'esprit que tout le monde s'en va au lobby quand qu'elle que chose ne va pas en vacance. Il se défoula alors une bon bout de temps avant de commencer à ressentir des étourdissement devenant de plus en plus puissants. Les étourdissements se transformèrent peu à peu en mal de tête et de plus en plus en coup de marteaux piqueurs. Il tomba vite à genoux en gueulant et en sueur avant de faire un black-out de deux ou trois minutes. En se réveillant, il avait oublier une bonne partie de ce qu'il avait fait, la folie devait c'être calmer un peu. Il se rappela de sang et de cheveux mauves. La seule chose qu'il savait c'est que, d'après l'état des portes des chambres à voisinant et les fenêtres complètement fermé, c'est qu'il avait péter une autre crise. *Oh merde,oh merde,oh merde... Je devais pas attirer l'attention comment je vais faire maintenant pour foutre le camps d'ici ?*

Il sentit alors son ventre gargouiller terriblement fort et de faire un bruit d'égout. *Bon, si il faut que je commence quelque part, je vais aller bouffer un truc.* Il descendit au lobby qui était juste à côté du restaurant et tenta de se faire le plus petit possible dans la foule. Il vit un petit garçon en train de pleurer et se remémora un flashback. *J'ai tué... faite qu'il me voit pas, faite qu'il me voit pas, faite qu'il me voit pas.* Il tenta de passer encore plus petit qu'il ne l'était, mais peine perdu, l'enfant l'avait vu. Il se mit à trembler et brailler encore plus qu'avant et tira sur le manteau de réceptionniste. Gabriel se mit à courir vers le restaurant qu'il eut tôt fait d'arriver. Il ouvrit rapidement la porte, la referma et s'accota à celle-ci pour pouvoir entendre tout bruit venant de l'extérieur. Mais alors :

- Merde!
- Merde?

Il se retourna en sursaut sur la vue de deux filles... dont l'une avait les même cheveux violets que ceux de sa mémoire.

- Bon...bonjour, vous auriez pas de quoi à bouffer ?

Il regardais les deux filles qui lui disaient de foutre le camp juste avant de recevoir un homard en pleine poire. L'expérience entre l'homard et Gabriel fût un moment très gênant autant du coté de l'Akuhei que de celui de crabe. Alors que le crabe commençait à pincer le nez de Gabriel avec fureur, la fille qui avait l'air la plus gentille lui enleva le crabe, et peut être un bout de nez par le fait même, avant de le remettre dans l'aquarium. Il se prenait le nez de douleur lorsque la fille le prit et l'embarqua sur son échappé avec ''Cheveux mauves''. Elle était beaucoup plus forte qu'elle en avait l'air de l'apporter comme ça dans ses bras comme une poupée de chiffon.

Se laissant à son sort, il se mit à profiter un peu de la vue qu'il y avait pendant la promenade. On aurait dit le sous-sol de l'immeuble, l'endroit où une colonie d'araignée attende juste une proie facile pour pondre leurs oeufs dedans. Sa porteuse s'arrêta en demandant à l'autre si ils pouvaient le gardé. Je suis un chiot moi ou quoi ? Cheveux mauves n'avaient pas de l'air très contente à le voir dans les bras de la gentille jeune fille. Elle le lâcha brutalement sur le sol avant de se mettre à le piétiner. La chute fut suivi du même mal de tête que tout à l'heure. Il voulait crier mais dès qu'il ouvrait la bouche la douleur s'intensifiais. Sa folie décidant de vouloir faire la fête ressortait petit à petit. Les filles partaient au moment même où Gabriel reperdait la tête. Le fou de retour pensa tout de suite à cette réflexion:

-Elle... a une autre amie ?

Il péta une crise de nerfs avant de partir à leur poursuite dans les escaliers qu'il grimpa deux part deux. Mais comment avait elle put faire ça ? Il lui avait donné des pommes, fait du bacon et même jouer à cache-cache avec elle. Il arriva à un cul de sac donnant sur trois porte, une devant surement abriter cette mauvaise amie. Les portes indiquaient; salle de cinéma, magasin de souvenir et bureau des administration. Quel porte choisirais t'il ? En fait, il défonça la celle du milieu et y rentra sans même regarder de quoi elle s'agissait.

-Où es-tu fausse amie qui trompe ceux qui lui sont chère ?

- ICIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII!

Gabriel ne se préoccupa pas qu'une personne d'une telle idiotie aie répondu à la question qu'il a posé. La fureur le parcourant lui dictait seulement de retrouver la source du bruit et de retrouver les deux personnes qu'il avait pris en chasse. Il regarda vite fait la rangé vide et se remis à leurs recherche après deux trois coups de pieds balancés sur les pauvres petits sièges de velours. Il se balada un peu à travers les allées avec beaucoup de difficulté ayant un éclairage aussi noir que dans le derrière d'un ours. Après la balade sans récompense, il prit un sac de popcorn encore plein et se mit à le bouffer à la vitesse de l'éclair. Mais pour qui elle se prend elle? Elle croit d'avoir besoin d'ami autre que moi? J'ai pourtant tout fait pour elle! Je me souviens encore de notre première rencontre. Les chaînes lui allaient à ravir, elle aurait dû les garder. Bon, faut que je la retrouve et la punisse pour m'avoir trahi en tant que meilleur ami. Mais attend c'est quoi ç... Une chose venait de lui faire face et se mit à le câliner tendrement. Après cinq secondes d'ajustage à la noirceur, il aperçut avec grande surprise que la personne le tenant tendrement dans ses bras n'était nul autre que celle qu'il cherchait! Son cerveau atteint par la folie pris très bien l'information et se mit à transmettre l'ordre de la câliner comme si ça vie en dépendait.

-Je suis désolé mon amie. Pardonne moi, pardonne moi, pardonne moi. Je veux pas te faire de mal c'est juste que, lorsque je te vois avec d'autre personne, j'ai envie de les détruire encore et encore, comme les messieurs qui t'en voulait. Je vais te protéger et t'obéir à jamais moi ton am... ton grand frère! Grand frère va protéger petite sœur coûte que coûte. Plus jamais personne t'approchera et on pourra s'amuser à jamais. Maintenant, excuse moi de t'avoir fait peur, s'il te plaît, s'il te plaît, s'il te pl...

Il sentit une chose sauter sur son dos et se mettre à lui tabasser la tête. D'après ce que Gabriel vu dans le pénombre, c'était une chose que seul le démon pourrait créer avec des cornes et des dents d'un mètre de long. Bon... c'est vrai que lorsqu'il subit trop d'émotion forte la folie se met à augmenter de façon exponentielle. La chose démoniaque était en fait Doris ayant enfin compris que Gabriel était un méchant. Sur le coup, il stoppa l'étreinte qu'il avait sur sa chère petite sœur et se mit à tourner frénétiquement en rond tentant en vain de repousser le monstre des enfers. Il fonça dans un mur avant d'avoir l'idée de plaquer sans arrêt son dos, avec Doris y comprit, contre le mur pour la faire décroché. La pauvre tomba sur le sol après le vilain combo fois trente-cinq. En se retournant il dit :

-Tu vois petite sœur, j'ai dit que je te protéger...

Elle est sur moi... Elle me dit ces mots avec tant d'hargne me déchirant le cœur petit à petit. Ma petite sœur, elle part avec son amie... Non, tu ne peux pas me faire ça. Reviens, ne part pas. Ne part pas... Tels étaient les pensés de l'Akuhei, désespéré. Il chérissait cette personne même si leur rencontre ne s'était passé que depuis peu et elle, avec tant de haine, venait de lui avouer qu'il était la personne qui la dégoûtait le plus en ce monde. La douleur sera gravé à jamais dans le cœur de Gabriel, n'ont pas à cause des coups, non pas à cause des mots prononcé, mais seulement par le rejet total d'une personne qu'il aime. Il reste quelque minutes incrédule dans le cinéma à genoux. La folie se fit plus forte, mais différente des autres fois. Pas une rage folle comme avec son père. Pas une excitation folle comme lorsqu'il mange des âmes. Pas de la joie folle lorsqu'il vu pour la première fois le visage de sa petite sœur. On aurait dit que son âme eu disparu de son corps, complètement dévoré par la folie. Son corps se leva de lui-même et se mit à marcher. Marcher encore et encore. Il ne vu point la police arrive, alors qu'il marchait. Il ne vu point le petit garçon lever un doigt vers lui en pleurant, alors qu'il marchait. Il marchait sans bût sans conviction.

Il s'arrêta dans une petite ruelle épuisé et finit par dormir sur le sol. Son rêve était étrange. Il y avait une grande forêt dont tous les arbres étaient mort. Il marcha le regard vide dans ce lieu sans aucun but, avec la simple intention de marcher toujours plus loin. À travers l'énorme couche d'arbre, il entendit une voix. Non, un rire. Un rire crystallin, redonnant vie à cette épais paysage de mort. Plus il s'approchait du bruit, et plus la forêt redevenait vivante. Il arriva finalement à l'endroit d’où venait le bruit qui émervaillait son rêve, une personne aux long cheveux mauves se tenait sous un arbre. En fait, c'est mal dit. Elle ne se tenait pas, elle était pendue et se balançait toujours en riant. Sa petite sœur. Il tenta de la décrocher, mais elle se blançait obstinément plus loin pour l'empêcher. Le rire devenait de plus en plus mauvais, de plus en plus fou. Gabriel se mit au sol et se boucha les oreilles. Le son était insoutenable. Il ouvrit les yeux sur l'hôtel et encore sa petite sœur pendu. Elle pointa vers le sol avant de faire un signe de silence avec ses doigts.

Il se releva le visage tout en sueur. Il se mit à revenir sur ses pas à pleine vitesse et fut vite arrivé à l'hôtel. Là-bas, il la vit cerner de policiers et de journalistes à la recherche de scoop. Gabriel fixa un objet devant lui, au sol, avant de le prendre. C'était une carte des plus normales, avec une photo,l'adresse et tout. Il y avait aussi un nom...

- Kumo... Kô.