Quelque part, en Russie, la nuit précédant l'assaut d'Azulith...

Deux hommes se tenaient au coin d'un feu à l'intérieur de ce qui semblait être un entrepôts militaire, il neigeait beaucoup. Réchauffant leurs mains près du feu improvisé, ils étaient tout deux vêtus d'un vêtement militaire de couleur kaki, portant un Brassard d'une quelconque révolution. L'un était assis sur une caisse de transport en bois qui menaçait à touts moments de s'écrouler, tandis que l'eau était posé sur un tas de vêtements déchirés... le silence était de mise et seul le bruit des brindilles qui craquaient sous les flammes sonnait comme une véritable mélodie. L'un des deux hommes était âgé d'une centaine d'années et tremblait à chaque instant, tandis que l'autre devait avoir dans la quarantaine et une bouteille de Rhum était posée à côté de lui. Il sortit une cigarette et la porta à ses lèvres, l'allumant en approchant sa tête du feu en manquant de se cramer les cheveux... par miracle il réussi et replaça sa cigarette dans sa bouche en tendant la bouteille au vieu loup de guerre en Kaki, qui la saisit et en bus une gorgée. Après s'être râclé la gorge, le plus jeune commença à parler d'une voix lourde et évasive , admirant les flammes comme si elles étaient le centre d'occupation.

- Alors... c'est aujourd'hui qu'ils ...

Le grand-père d'un bon siècle retira la bouteille de ses lèvres et admira le liquide à l'intérieur avec un air mélancolique, sans prendre la peine de répondre à son jeune officier, celui-ci fronça alors les sourcils et insista dans un Russe un peu plus énervé.

- Après 75 ans, ils le lancent pour une minable conquête d'une Île!? c'est absur--
- GOTTFRIED *s'exclama alors le vieux chef sur un ton autoritaire, son officier se tut sous sa voix ancienne mais toujours aussi ferme. Le vieux se calma et baissa les yeux vers le sol, il semblait souffrir d'un problème de respiration* Soixante-quinze années se sont écoulées et je me souviens de sa conception comme si c'était hier... J'était jeune, plein d'ambition, comme tout les soldats.. je n'avais aucun courage alors je m'occupais tout simplement de la paperasse , c'est alors qu'ils ont décidé un projet farfelu et aussi secret que les abysses... c'est d'ailleurs là où nous avons été affectés, au départ nous n'étions qu'une centaine de soldats et de scientifiques brillants... quelques ouvriers afin de construire la base de création sous-marine.. je n'avais jamais vu une "Base" aussi grande.. plus de cent soixante-quinze mètres de long, et un plafond qu'on croirait être infini... j'avais encore du mal à croire qu'on était à des kilomètres sous l'eau mais la technologie japonaise était déjà très développée en ce temps là... Comme tout les autres soldats, je pensais qu'on allait tout simplement installer nos troupes, mener un assaut sous-marin, la vie de loup de mer..
- C'est là que...
- Intrigué, j'ai demandé à mes supérieurs hiérarchiques ce que nous allions faire ici même si la réponse me paraissais évidente, mais leurs réponses m'ont surpris, ils m'ont dit "Nous allons construire une main"... je n'ai pas compris sur le coup, je pensais qu'il blaguais... eh bien non, les soldats servaient de main d'oeuvre à l'aide des ouvriers et des scientifiques... en 5 ans de service nous avons terminé cette "Main" géante , je n'avais jamais vu quelque chose d'aussi grand, elle faisait bien six ou sept centres commerciaux de Luxe, Un doigt était comme un quartier...
- Je n'arrives pas à croire qu'ils vont vraiment...
- Ma femme et mes gosses, tous tués par des salopards d'Anglais, la seule chose qui m'animait et me retenais dans cette base sous-marine se reliait à cette Main géante... la technologie avait été faite par des Nippons, quand nous somment entrés dans cette main... c'est comme si c'était carrément une ville... il y avait tout pour y vivre... je me disais qu'au final ça ne serait qu'une base à la forme originale, et rien de plus.. et c'est là ou ils ont doublé la taille de la base, et nous ont dit d'en construire une autre.. Cinq ans plus tard, la deuxième main était là , identique à la première.... ils nous ont alors encore une fois agrandit la base , plus grande que d'habitude, elle s'étendait sous Londres toute entière.. ils nous ont dit "Construisez-moi une tête, et un Buste"... cette partie là nous a pris Vingt ans de notre existence, vingt ans de travaux acharnés, chaque jours, chaque nuits, alors que je voyais mes collègues de travail pourrir de maladies, de vieillesse, et je voyais de nouveaux arrivants qui bousilleraient leurs vies ici, mais je ne sais pas pourquoi, j'était toujours en vie... mais en voyant sur les écrans plafonniers ce que nous avions construit... je commençais à mieux comprendre, Une tête, un buste, deux mains... ils nous ont alors agrandit la base le nombre de fois nécessaire à chaque pièce, nous recouvrions alors plusieurs kilomètres sous la mer, en 35 ans, nous avions fait le Bras droit, le Bras gauche, le Bassin, les deux pieds... il était complet, et moi, j'était vieux... j'avais maintenant quatre-vingt dix-ans, ils m'ont proposés plusieurs fois de quitter cette base sous-marine, j'allais mourir de toute façon... eh bien non, quelque chose me retenait à cette terre, je voulais voir, à quoi servirait ce à quoi j'ai dédié toute mon existence, ce à quoi ma vie rimais... je voulais le voir à l'action. Cela remonte maintenant à dix ans, quand ils nous ont demandé de créer la toute dernière pièce...
- Mais... il y avait déjà tout les membres non? qu'est-ce qu'il manquait de plus?
- Une âme... nous avions étudié des années et des années pour trouver le moyen de "Construire" une âme mécanique qui pourrais donner une force "Autonome" et "Humaine" à cet engin de fureur et de destruction... une seule réponse survint, et elle n'était pas très bonne...
- Cette réponse c'est ?...
- Fabriquer une âme est impossible, Gottfried... Il lui en faillais une vraie, une pure... il lui fallait une âme bourrée d'une rage aussi longue qu'atroce...

Le vieil homme se releva difficilement en toussant beaucoup de sang, c'est alors qu'un peloton de six hommes se réunirent autour de lui, une arme à feu au main, le disciple écarquilla les yeux et recula, en tombant presque de la pile de vêtements déchirés, alors que le vieil homme fixais les flammes avec un air mélancolique.

- Je ne mourrait pas tant que la haine me maintien en vie... alors j'ai pris une décision... plutôt qu'attendre de le voir en action... je vais vivre son action... mon âme est constituée de toute une vie de haine... je serais le coeur d'Heimdall... *kof kof* re...retiens bien ces mots , Gottfried... si cette chose à été conçue pour quelque chose que tu ne crois pas être bon... tu devra m'arrêter... mais je n'aurais plus ce corps... adieu, mon disciple.
- FEU !

Les hommes tirèrent alors sur le vieil homme, qui s'écroula au sol dans un bain de sang, laissant s'échapper de son corps une âme bleutée pure, mais très étrange, elle semblait s'agiter et laissait s'échapper une masse éléctrique très puissante, ceci est la haine d'une âme... l'un des soldats s'approcha avec une boite de haute technologie et l'enferma à l'intérieur alors que les autres débarassaient le corps sous les yeux du disciple pleurant toutes les larmes de son corps, et partit en courant de la base....


------- Maintenant. Île D'Azulith, 16h15, Falaises.


Après une longue bataille, Les deux généraux, Ashtar et Kainé furent réunis après avoir tout deux traversés la ville en éliminant divers soldats, tout deux accompagnés d'une petite tribue de Civils s'étant battus corps et âmes contre les soldats de l'armée Russe. Déchainant chacun leurs pouvoirs exceptionnels, comme un noble ayant détruit une vingtaine de soldats à coup de canne épée, ou bien une enfant aux cheveux bleus ayant la capacité de ralentir les coups que tiraient ses cannons, ou bien encore ce Shokan de flammes qui ajoutait des braises en plus à celles déjà ambiantes. Nous en avons sûrement oubliés d'autre mais il ne faut pas la peine d'en dire de trop, ils vous raconterons eux même leurs progressions. Bref, les deux troupes s'étaient rejoins, et prirent tous le temps de faire connaissance un temps sois-peu avant de passer la porte sud. Leurs destination? Les falaises. Ce groupe était alors mené par Ashtar et Kainé, repoussant les assauts adverses jusqu'aux Falaises, où ils descendirent à l'aide de leurs troupes, et des chevaliers qui étaient déjà sur place. Les Russes étaient quasiment tous déjà à terre, prisonniers ou morts, mais les machines volantes et les Galions étaient quand à eux , de plus en plus nombreux. Les Galions de soldats arrivaient par centaines, transportant un nombre de soldat tout aussi grand que le bateau. Le Chevalier pourpre s'arrêta sur le quai , main sur le pommeau de son épée, regardant la flotte arriver en perdant petit à petit son sang froid, mais il ne laissait rien parrainage. Il se retourna vers la guerrière aux cheveux d'argents et lui fit part de ce qu'il avait en tête.

- Lady Silver, je crois que je ne vais pas avoir d'autres choix que de déclencher le Crowknight... y voyez-vous une quelconque objection, ou bien avez-vous une autre idée?

Apparement cette phrase n'avais pas du tout plus à la furie qu'était la jeune femme, et se mis alors à piquer une crise de colère en écrasant violemment le pied du chevalier qui serra les dents en essayant de garder l'honneur qui faisais de lui un personnage cool en ne laissant pas son visage se crisper, on pouvais juste voir une petite larme sur le coin de son oeil.

- Espèce de malade! ça vous prends souvent ça!? une centaine de galions et vous voulez déjà bousiller dix ans de votre vie pour ça !? vous savez à quel point le Crowknight peut vous foutre en l'air! Un SoulBreaker c'est pas un truc à prendre à la légère putain !
- Dans ce cas, avez-vous une meilleure idée? aussi bons bretteurs que nous somment, ils nous tueront sans le moindre problème, ils ont la supériorité numérique et largement.
- Peut être qu'ils vont actionner le Canon d'Azulith non? la Brigade emmerdeuse est là-bas, ainsi que les Freelancers, d'après ce qu'à dit Therius, c'est des durs à cuir... ils auront au moins l'intelligence de le faire fonctionner non?
- Vous avez raison... après-tout, rien n'est impossible, nous ne pouvons que compter sur eu.. hein?

La terre se mis soudainement à gronder et des rochers tombèrent le long de la falaise avec lourdeur... un sourire s'aiguisa sur les lèvres de tout le monde quand le Canon géant situé au sommet du château se mis à se mouvoir et se régler aussi bruyamment qu'un tremblement de terre, il se chargea d'un bleu azuré et brillant, alors qu'on pouvais entendre de l'autre bout du pays "THE FIRE STILL BURN BITCH! HAHAHAHA!". le Canon se mis alors à feu, une énorme colonne bleuâtre détruisit complètement chaque engin survolant la ville, les réduisant en poussières... le Rayon se dirigeât alors vers l'eau et scinda la mer en deux, détruisant absolument tout les Galions alors qu'un tonnerre d'applaudissement des chevaliers se fit entendre, plus un seul Russe dans les airs ou sur la mer... c'était bel et bien terminé. Kainé se retourné et se préparais à retourner au château pour évaluer la situation, quand soudain un tremblement encore plus grand que le coup de canon se fit entendre... la mer tremblait, laissait sortir des vagues absolument déchaînées... la réaction normale est "C'est pas grave, c'est les effets secondaires du puissant canon à âme d'Azulith!"... Il n'en est rien. à des kilomètres de l'Île, l'eau se souleva avec une puissance atroce, quelque chose surgissais... les vagues étaient de plus en plus déchaînées et frappaient l'Île avec la violence de dix cyclones en même temps... surgissant lentement un énorme masse mécanique de la taille de six métropoles empilées les unes sur les autres, atteignant les deux-cent mètres de haut et bien plus de soixante mètres de large... une énorme magique se tenais debout devant l'Île qui maintenant paraissais si petite... Cette machine avait les pieds si longs qu'il pouvait se tenir debout dans l'eau, dans cette mer pourtant si profonde !!. Tout le monde eut les yeux grands ouverts et complètement ronds... alors que Kainé et Asthar se contentaient de le regarder comme un nouvel obstacle à franchir... Asthar soupira et regarda sa camarade d'un air des plus sombres... ses yeux devinrent subitement très jaunes, un jaune tout à fait anormal.. ses cheveux commençèrent à prendre une teinte plutôt sombre... il s'arrêta soudainement et redevint normal, genou à terre , se tenant la poitrine alors que Kainé s'empressa de se mettre à son chevet.

- Espèce de crétin ! tu sais très bien que tu ne peux pas le faire sans Bridget !! Dégages de là! on va bien trouver un moyen de s'en sortir !
- Lady Silver... mon incompétence est ... impardonnable...

C'est alors que contre toute attente... un énorme pilier de lumière descendit avec une puissance hors norme, éclairant le ciel d'un éclat doré... une chose tombait à la vitesse de la lumière, comme un boulet de canon et alla directement de planter en plein dans l'épaule du robot, provoquant de multiples explosions et déboîtant quelque peu le bras du robot géant qui ... semblait souffrir? de façon totalement inexpliquable le Robot tomba à genoux, son bras blessé tomba avec lourdeur contre le quai, provoquant de nombreuses vagues très puissantes alors qu'on pouvais au loin entendre un "FOOL" aussi audible que si la personne qui le disais était carrément à côté... tout le monde fixais la scène avec un mélange entre la confusion et la peur... toujours est-il qu'une colonne de fer reliait la main posée au Robot géant qui semblait ne plus bouger, sonné... Kainé se retourna alors soudainement vers tout les civils qui les avaient accompagnés et se mit à hurler d'une voix autoritaire.

- VOUS ! là ! montez là dedans ! passez par la main mécanique et grouillez-vous d'escalader cette colonne de fer, montez à l'intérieur, je veux PAS savoir comment c'est à l'intérieur mais si c'est un robot il y a forcément un bouton d'auto-destruction ou un truc comme ça, il y en a toujours dans les dessins animés !
- Ce n'est pas un dessin animé, Lady Silver...
- SILENCE LE CROULANT !... moi et Asthar on va l'empêcher de trop bouger, mais magnez-vous pendant qu'il est sonné! Allez! vite!

Les civils (vous) s'empressèrent d'entrer dans la main mécanique par le doigt, et découvrirent avec stupéfaction qu'il s'agissais d'une véritable ville, à l'intérieur, mécanique et technologique à souhaits, de nombreux robots habitaient à l'intérieur mais semblaient ne pas les remarquer. C'est alors qu'au loin, ils aperçurent l'ombre de ce qui semblait être un canard noir avec un chapeau, une canne aussi noire que lui , avec quelques signes dorés, qui semblait se tenir là avec un air Snob et avançais doucement vers le fond de la ville mécanique qu'était la main droite d'Heimdall, afin de rejoindre l'énorme ascenseur qui était en fait la cage de métal qui reliais l'épaule du Robot géant à son bras tombé...


FOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOL!


RÈGLES :

-- 10 Participants MAXIMUM (il n'est pas obligatoire que ça soit les mêmes qu'à la partie 1)
-- Si un personnage ne réponds pas après deux tours, il est considéré comme "Eliminé" et sera ignoré pendant le reste du RP
-- Vous êtes priés de faire un "Résumé" de votre post en "Spoiler" à chaque fin de post pour expliquer rapidement les actions importantes que vous avez faites afin que je ne perde pas mon temps à lire des pavés.

BUT :

-- Vous êtes entrés dans la Main du géant robot Heimdall, qui est en fait une ville habitée par des robots. Votre but est de traverser la ville et rejoindre l'ascenseur mécanique pour vous hisser jusqu'à l'épaule d'Heimdall, et ainsi trouver un moyen de l'arrêter de l'intérieur. Votre post s'arrête quand vous faites la rencontre d'un étrange bonhomme noir avec une canne qui ne cesse d'harceler un pauvre robot de maintient.

Spoiler:

Après plusieurs heures de combat passées afin de repousser l'invasion Russe. Le chevalier répondant au nom d'Asthar, accompagné d'une petite troupe de combattants plus étranges les uns que les autres, semblait avoir rejoint une de ses connaissances, elle aussi accompagnée d'un groupe de différents personnages. Une femme plutôt nerveuse avec une voix bien portante... Elle devait appartenir à la garde d'Azulith, elle aussi, vu son uniforme et son aise à brailler des ordres sur tous le monde.

Nous voilà donc, sur les falaises, au bord de l'île, non loin des quais, où les derniers vaisseaux ennemis venaient tout juste d'être désintégrés par ce qui devait être la plus puissante arme d'Azulith, et où, peu de temps après, une impressionnante machine géante, à apparence plus ou moins humaine, surgissait des mers, sans doute prête à détruire la cité. D'une certaine façon, la machine se retrouva à genoux, toujours dans l'eau, avec un bras presque détaché de son corps, suite à l'impact d'une sorte de faisceau lumineux qui frappa violemment son épaule. Sans attendre, l'ordre d'infiltrer la machine, par cet énorme bras mécanique échoué sur les quais de la cité, fut donné aux combattants. Dans un geste héroïque, ils acceptèrent évidemment tous...

Ils étaient dix, dix combattants, pour la majorité sortis de nulle part, prêt à défendre une cité qui n'était, certainement, même pas la leur. Parmi eux, il y avait une fille, aux cheveux bleus, coiffée d'une paire de lunettes vertes fluorescentes ainsi que d'une sorte de triptyque vert clair par-dessus son oreille gauche, bien que cette même oreille semblait absente... Elle portait également une écharpe au rouge flamboyant, qui virevoltait derrière elle, grâce au vent, ainsi qu'une veste sans manches, bleue et blanche et d'une jupe, également bleue, un peu plus foncée, et enfin d'une paire de bottes blanches montantes jusqu'au niveau de ses cuisses. On pouvait souvent la voir en train de parler à ses lunettes... Et souvent, elles lui répondait !

- T'as vu sa taille ?!

- C'est pas ce qui m'étonne le plus... Ce robot est bizarre. On dirait qu'il souffre d'avoir perdu un bras... Un peu comme toi, lorsq...

- Oui, je sais, j'ai aussi remarquée...

Elle se mit donc en route vers le bras droit mécanique de ce géant de fer. Quelques minutes plus tard, le groupe d'aventuriers était arrivé devant l’immense construction métallique. Par chance, quelques brèches avaient été créées, par la chute du membre au sol. Le groupe entra par l'un des doigts. L'intérieur était effroyablement grand et constitué de ce qui semblait bien être une véritable ville, avec des millions, peut-être même des milliards de robots qui y affluaient. Cela pouvait facilement faire penser au système sanguin d'un être humain... Les robots ne semblaient cependant pas réagir à la présence des aventuriers, pour le moment... Si le temps n'était pas compté, la fille aux cheveux bleus serait bien restée pour contempler cette scène. Elle regardait tous ces robots avec un air mélancolique, tout en se dirigeant, avec les autres, calmement, mais néanmoins rapidement, vers la colonne de métal reliant cette ville au titanesque robot qui ne bougeait toujours pas.

Après sûrement quelques bons kilomètres de marche, le groupe fit la rencontre d'un personnage encore plus intéressant qu'eux dix réunis : Un espèce de petit bonhomme noir, avec un long nez pointu, un haut-de-forme qui était vraiment grand (il était certainement aussi grand que son porteur...), un nœud-papillon et une canne. Ses habits étaient aussi noir que lui, à l'exception de sa canne qui possédait un jolie décalco couleur or de fleur. Il avançait d'un air distingué, sereinement, dans la même direction que le groupe, tout en harcelant toujours le même petit robot... Qu'avait-il après lui ? Qui sait...

- "FOOOOOOOOOOOOOOL!"

La fille aux cheveux bleue se sentait obligée d'intervenir. D'une certaine manière, elle n'appréciait pas que l'on maltraite ceux qu'elle considérait comme "Ses semblables"...

- "Cessez d'importuner ce pauvre petit ! Quoi qu'il vous ai fait, il ne mérite certainement pas d'être poursuivit et insulté ainsi, sans relâche !"

Résumé :

FOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOL!
* Il pourrait au moins porter un pantalon...*

Alors! Récapitulons! Kumo était venue ici par bateau. Elle avait été témoins de l'attaque faite par des russes. Elle avait suivi un groupe composé de gens complètements inconnus tout en butant un tas de soldats de différentes manières. Elle avait trébuché sur un caillou random. Puis le groupe dont elle faisait parti avait rejoins celui de la folle furieuse qui lui avait permis de savoir ce que ça faisait de voler. Et après... grosse flotte détruite par un super gros canon, énorme robot sortant de l'eau et un énorme rayon allant le frapper en plein sur l'épaule, détachant presque son bars du corps métallique! Le robot, contre toutes attentes, semblait souffrir! Et la folle furieuse avait ordonné aux dix civils d'aller dans ce putain de monstre (qui étrangement, rappelait quelque chose à la weapon) pour aller appuyer sur le bouton d'auto destruction. Ok, pas de problèmes, tout ce qu'il fallait c'était grimper au moins 200 étages à pieds en escaladant des murs bizarres pour se rendre à la tête et appuyer sur le bouton rouge qui provoquera l'auto destruction... pour crever après dans une explosion impressionnante! C'était le raisonnement de Kumo qui avait finalement décidé d'y aller pour une bonne cause: les ratons laveurs ressemblent à des voleurs.

Bref, Kumo fût surprise de découvrir l'intérieur du robot géant, qui était en fait une sorte d'énorme ville qui abritait des millier voir des milliards de robots! C'était impressionnant! Après avoir marcher un bon bout de temps, le groupe fit face à un personnage semblable à un canard tout noir et portant un vêtement aussi noir. Sur sa tête trônait un très grand haut de forme et dans ses mains, une canne noire aux jolis motifs floraux dorés. Mais il n'avait pas de pantalon. D'où la remarque de Kumo au tout début de ce post! Tout près il y avait comme un ascenseur mécanique. Super, pas besoin d'escalader pas les parois internes du robot géant alors! Même pas besoin de penser à faire de l'exercice... trop facile!

Le canard carbonisé (oui, surnom complètement inutile et totalement con) harcelait un pauvre petit robot sans défenses. C'est alors qu'une fille aux cheveux bleus s'avança pour prendre la défense du robot. Kumo regarda le groupe. Il y avait un type bizarre au teint verdâtre qui se massait les temps l'air de se demander ce qu'il foutait dans ce bordel. La weapon décida de se jouer une chanson de Michael Jackson dans sa tête pour attendre qu'il se passe quelque chose. Elle hochait la tête sur le beat de thriller. Sauf que... c'était tout de même pas le moment de chanter du Michael Jackson alors qu'une cité était menacée de se faire détruire par un robot qui ressentait la douleur! Donc la weapon décida d'aider la fille aux cheveux bleus dans le grondage du canard carbonisé.

Spoiler:

.. Il est des temps immémoriaux où mes frères et mois combattions bras-dessus bras-dessous sous une seule et même bannière. Nos forces s'épuisaient, notre courage était en proie aux hautes herbes. De multiples chevaliers perdirent la vie , mais un seul ne perdait pas courage, lançant des javelots plus rapidement que l'éclair, rien ne l'arrêtait... je ne pouvais que rester là, sur mon siège, le regardant opérer avec cette rapidité d'esprit, ce courage , ce magnifique caleçon... c'est ainsi que j'ai expérimenté ma première expérience vidéoludique sur Ghouls&Ghosts.

Comment expliquer son arrivée? Eh bien elle ne s'explique pas. Il était gentiment en promenade sous-marine quand soudain il est entré dans un espèce de grand édifice et l'explora... qu'est-ce qu'il y a d'étrange à se promener sous l'eau? comment ça le staff est à cours d'idées stupides? Don't understimate our stupidity! Bref, ce n'est pas tout à fait exacte, cette "Chose" noirâtre était arrivée ici par pure je-n'en-sais-rien-ne-me-posez-pas-de-questions-bande-de-punks-curieux. Toujours est-il que dès son arrivée il marcha en laissant sa canne très stylisée cogner contre le sol avec grâce , puis il s'arrêta tout simplement devant un robot de fonction qui s'occupais d'une sorte d'Accueil, le style de cette ville était très "Rouille & Cuivre", le style Steampunk pour les connaisseurs. Dans tout les cas cette ville n'était pas toute jeune mais au moins assez technologique pour que les robots d'opération fonctionnent encore, mais la chose la plus étrange que Caliburn ai pu remarquer dès le début, était qu'aucune d'elle ne semblait écouter ses histoires Ô combien épiques et intéressantes ce qui avais le don de le mettre hors de lui ! le rendre FOU DE RAGE! SI FOU QU'IL EN GLISSA UN ÉNORME "Zut alors." obscène! Il termina par reprendre son air des noble désintéressé et passa son chemin jusqu'au robot suivant qui pianotait sur un clavier d'un bâtiment, c'est alors que Caliburn sentit l'envie romanesque de raconter des histoires des plus épiques monter en lui ! Il posa alors sa canne au sol et commença a articuler sur une voix autoritaire et Ô combien agaçante.

- Je me souviens très bien de ma première rencontre avec un robot, c'était en 1252, Mes frères d'armes et moi nous battions férocement contre l'assaut des Robots ultra-technologiques, nous ne pouvions plus avancer, nous étions pris au piège! coincé dos à ce mur de taule, la machine à téléportation ne fonctionnait plus et nous n'avions plus que nos larmes pour essuyer l'odeur de nos cadavres putrides qui ne tarderaient pas à faire office de notre véritable corps... mais l'espoir revint quand Marty McFly et son "Doc" arrivèrent dans une machine à 100 000 Niggawatts, une machine africaine de haute technologie! nous somment montés à l'intérieur, puis ... je me suis fait un café.

La puissance d'emmerdement et d'illogique était telle que le robot s'était arrêté de travailler pour regarder le snob et ... croyez-le ou non, la machine grimaçais avec cette tronche que vous connaissez tous si bien qu'Excalibur en avais fait une véritable marque de fabrique ! le robot fini par "Tenter" d'ignorer cette chose noire mais n'avais d'autres choix que d'écouter ses histoires à dormir debout... c'est alors que, pendant son récit épique, Caliburn fut dérangé par une voix féminine ardente qui avais un brin de "Non-naturel" , Caliburn ne pris même pas la peine de se retourner et continuait de fixer sa cible robot, partageant un duel de regard avec elle.... Oeil pour Lentille, dent pour circuit... mais il fut une fois de plus dérangé par les hurlements énervants d'une deuxième voix féminine qui commençais à lui taper sur le système... mais il ne laissait rien paraître, il continuait sa bataille de regards avec le robot qui, difficile à croire, commençais à prendre des airs de gamin oppressé ... il y eut un grand silence, puis l'inévitable et l'incroyable arriva...

- P-Pitié foutez-moi la paix... je suis juste un robot de fonction j'peux pas vous aider moi... et j'ai jamais demandé à venir au monde moi, BWAAHEHEHAHAEHH....
- Imbécile ! *Caliburn lui lança un coup de canne dans la tronche* Il y a toujours une raison pour laquelle on vient au monde!!
- C-C'est vrai...!?
- Oui, toujours ...
- Oh merci, je commençais à songer à la déconnexion...
- .... Sauf pour les Robots.
- ....

Le robot fini par attraper son canon à Plasma, le colla contre sa tête et tira, la tête mécanique s'évapora en cendres alors que le corps métallique finit par s'écrouler par terre devant des paroles si démotivantes. évidemment cela provoqua les foudres de la robotte, mais avant même qu'elle ne s'énerves, Caliburn se retourna dans un magnifique 90° et les flanqua sa canne en pleine tronche en la traitant d'imbécile, puis il fini par se retourner et fis dos à tout le monde, commençant silencieusement à marcher ... chaque pas de ses "Pattes" émettait un petit son cocasse ressemblant à un "Pwok" puis il s'arrêta quelques mètres plus loin, toujours dos à tout le monde dans ce silence dont seul le son des rouages steampunk étaient audibles... il se mis soudain à sautiller et à danser en chantant une chanson qui non-seulement n'avais pas de rimes mais qui en plus ne voulais absolument rien dire.

- Caaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaalibuuuuuuuuurn ! Caaaaaaaaaaaalibuuuuuurn ! From the united-states! Im-a-looking for him, I'm going to australiaaaaaaaaaaaaaaa! ♪... ceci est un son que mon frère d'arme a composé pour moi, des paroles d'une grande profondeur que je n'oublierais JAMAIS !

Simultanément, tout les robots du quartier saisirent leurs pistolets et se suicidèrent sans attendre une seconde de plus, il n'y avait désormais absolument plus personne pour gérer le département d'accueil de la main... Caliburn semblait ne même pas y faire attention et se contenta de se remettre à marcher vers l'immense brèche au loin, qui n'était autre que la fissure reliant le câble mécanique-ascenseur à l'épaule de la bête, il semblait absolument s'en foutre que des humains marchaient derrière lui, il s'occupais de son propre buisness en chantant sa chanson, à chaque fois qu'il passais devant un robot, celui-ci se suicidait inévitablement... il finit par arriver en face d'un homme à moitié homme à moitié robot... ce type ressemblait affreusement à Arnold Schwarzschild... en fait c'était même peut-être lui. Il portait un fusil à pompe dans la main et regardait la "Chose à canne" avec un regard des plus sadiques et froid. Il semblait être le gardien de la brèche , il émanait de lui une âme extrêmement puissante, le combat risquais d'être Ardu .... il pointa son fusil à pompe sur la Chose et se mis à parler sur un ton extrêmement grave et lourd.

- Sarrah Connor ...?
- J'ai connu, une Sarah Connor, c'était en 1812, il y avais une pluie battante et les guerriers de Zaft s'étaient tous fait déscendre mais quand nous avions pris nos Gundams ils ont moins fais les fiers!
- STOP, ARRÊTEZ !
- J'avais pris le Gundam Pandragon, mais je n'était pas apte à l'utiliser, mais heureusement que j'avais mes dons de coordinateurs pour sauver le monde, sans ça je n'aurais absolument rien pu faire. Nous avions mené alors une bataille acharnée contre les forces spatiales et mon Gundam fut détruit par le Gundam Zoufwesh de l'armée de KaÏrA Sh00PiiNg qui était une armée de singes semblant comprendre le langage humain à certains points, c'est alors que j'ai dérivé dans l'espace et que j'en suis mort ... mais devinez quoi...
- Non non, je vous en prie, c'est bon je vous laisses passez mais pitié STOP !
- J'AI SURVÉCU !
- NAAAAAAAAAAAAAAAAAN

l'homme finit par se donner un coup de fusil en pleine tête et son corps s'écroula au sol... Caliburn lui marcha dessus et fit appel à l'ascenseur, silencieusement.


[BUT]
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Montez dans l'ascenseur mécanique du câble afin de monter jusqu'à l'épaule, votre réponse se termine quand les porte s'ouvrent à l'épaule. C'est un ascenseur de style "Ancien" et donc ce n'est pas le genre d'endroit renfermé mais plutôt ceux auquel tu vois bien le panorama, il vaut mieux pour vous ne pas avoir le vertige.

But secondaire : Essayez de tenir une discussion avec Caliburn

Et par d'étranges récits aussi surprenants par leur epicness que par leur logique tout à fait irrationnelle, il réussit, parfaitement, il réussit à pousser un robot au SUICIDE ! Cette créature n'était définitivement pas normale. Il était certainement doté d'un pouvoir de suggestion, ou d'hypnose, qui sait !? Mais, même, comment réussir à influencer un robot qui normalement ne réfléchit pas !? C'était complètement fou ! Bien-entendu, la fille aux cheveux bleus n'arrivait pas à accepter la "mort forcée" de ce petit robot. Elle voulu faire part de sa désapprobation, mais l'espèce de coin-coin noirâtre aux airs de noble et snob ne lui laissa même pas le temps de réfléchir à ses paroles. Un bon coup de canne dans la joue calma ses ardeurs presque aussi tôt. Si cette fille était encore humaine, elle n'aurait probablement pas pu se retenir, même après que cette imitation comique et parodique de bourgeois ne l'ai remit en place. Bien que, d'un autre côté, si elle avait encore été humaine, elle n'aurait probablement pas réagit aux manières de cet oppresseur à noeud papillon...

Etant donné qu'il semblait avoir la même trajectoire que le groupe, ces derniers le suivirent, jusqu'à un ascenseur. Tout en faisant une chorégraphie musicale des plus grotesques en chemin. Des explosions retentissaient par la suite dans tout les sens aux alentours. C'était les autres robots qui mettaient fin à leur souffrance, les uns après les autres, en se faisant sauter la boîte à toast, avec leurs propres flingues de service. Même l'énorme armoire à glace en titane, qui était sûrement le gorille gardien de l'ascenseur, ne put résister à un baratineur aussi noble et distingué, le pauvre... Les aventuriers qui suivaient ce désastre en noir devaient certainement avoir les dents qui grincent... Mais ils devaient également emprunter ce monte-charge, pour se rendre à l'épaule de cette forteresse. Subir les discours insensés du canard était donc INEVITABLEMENT au programme !

En entrant, la plate-forme était évidemment répartie de façon à former deux groupes : D'un côté, le canard, de l'autre, les autres... Excepté une petite fille aux cheveux bleus qui se mit à gueuler sur le canard d'un ton étonnamment sérieux :

- Alors c'est toi qui retient mon auditoire espèce de canard robotisé ? Nan mais pour qui que tu te prend alors que t'a même pas de laser-qui-sort-des-yeux-bioniques ?

Remarque tout à fait respectable. Cette fille avait tout à fait raison ! Le droit de parole ne devrait pas être laissé à n'importe qui ! De plus, les yeux bioniques font absolument tout du charisme d'une personne et... attendez, non, tout ceci n'a aucun sens ! Et d'où elle sort, cette gamine ?! Elle apparaît, disparaît, puis reviens n'importe quand, assurant que le groupe était son public attitré... Oh damn, on aurait cru qu'il allait se passer dans cet ascenseur une sorte de concours du plus grand causeur illogique au possible...

- T'en fais pas pour les robots, ils n'avaient pas d'âme, ils n'ont pas réellement souffert...

- Comment tu peux le savoir ? T'as vu comment ils ont réagit ?! Ils paraissaient tellement humain... Et moi aussi je commence à disjoncter, avec ce truc, là ! Nan mais, regarde le ! Il est capable de te regarder de haut, alors qu'il est plus petit que n'importe qui présent ici ! Cela dit, je ne cache pas que ses histoires sont plutôt intéressantes...

- Quoi ?! Oh nan, c'est pas vrai...

Et voilà, elle avait fini par buguer, au final. Racontant elle aussi des histoires complètement absurdes à propos d'animaux. Comme quoi les canards étaient définitivement des créatures hautement respectable et qu'il était absolument honteux et impardonnable qu'ils n'aient pas de haut de forme ni de monocle dans ce jeu où il fallait abattre ces pauvres bêtes en leur tirant dessus pour qu'un chien galeux viennent les récupérer...

Le monte-charge progressait, pendant ce temps. Mais le colosse de métal était si grand qu'il était difficile de dire combien de temps ils allaient encore devoir passer là-dedans... Aussi la fille perdait progressivement la tête, au sens propre, puisqu'elle était désormais en train de la frapper contre les murs du monte-charge, le faisant trembler de l'intérieur.

- Aaaaaah, tout ça m'a donné envie de faire un peu de head-banging, tiens ! Vous devriez faire comme moi, bande de sacs à viande ! Ca fait circuler le sang !

Résumé :

Je regardais le canard… Si on pouvait appeler cela un canard en train de parler à un colosse du genre Terminator… Après que l’énergumène en noirs et aux allures snob, comme Henry, lui est parlé… Le robot c’est juste suicider à cause du haut taux de connerie débité à la seconde par ce petit machin noir… Je n’entendais qu’une partie, trop absorbé par la l’architecture du lieu… C’était droit, tout en ordre et tout mécanisé… Donc un endroit rêvé pour quelqu’un dans mon genre… Sauf que deux choses me poussait à détruire ce lieu : de un, si je ne suivais pas les ordres de cette femme, je risque de me faire couper en petite rondelle ou haché menue… L’un et l’autre n’étant pas une bonne option. Et de deux, mon gout pour la destruction m’interdisait que ce genre de lieu existe… Oui. La deuxième raison est assez space, mais veuillez pardonner ma folie destructrice ! Le coup de fusil à pompe me ramena à la dure réalité… Je regardais le cadavre, puis le canard. N’ayant pas tout suivis, répétition mais m’en tape, je me demandais bien ce qu’avais pus dire ce machin haut de trois têtes ! Mais d’après la tronche des autres… Non… Je ne souhait tout compte fait pas savoir. Puis une gamine tout aussi grande que le canard déboula et se mis à dire que ce dernier lui volait la vedette… QU’ELLE VEDETE ? Je regardais la gamine… Elle me disait quelque chose… Une histoire de saucisson, de cochon, d’âne se faisant bouffer et d’un désert me remontait à la mémoire… C’était bien elle ! J’espère juste qu’elle ne se souvient pas de moi. Je n’ai pas envie qu’elle me ressorte des tas et des tas de calculs complètement inutiles ! Mais bon… Le canard avait l’air de s’en foutre royalement comme tout bon snob se respectant… Il avançait pour appuyer un bouton. Une porte s’ouvrait devant nous… Il montait… Le reste du groupe le suivait ! Pourquoi diable les autres montaient avec ce machin ? Ce que j’en pensais… Tous fou ! Non pas comme moi… Aller dans un espace clos avec ce canard snob racontant des conneries… Surtout que d’après ce que j’ai pus voire, c’est mortel au sens propre… Et vue comme je suis patient, ironique bien sur, je risque de peter un câble ! Calme… Je dois me calmer… Bon… Réfléchissons calmement… On à fait le tour de « l’entrée », ou plutôt l’intérieur du bras du mécha géant. Donc… Cet ascenseur est le seul moyen du passer à l’étape supérieure ? Et puis… Nan… Je vais le prendre, et faire comme si il n’existait pas… Ne pas écouter, rester dans mon coin… Pitié… Faites que personnes ne soit assez bête pour engager la conversation avec lui !

Nous nous callions tous d’un côté… Au moins, tout le monde avait compris que tenter de parler a ce machin serait un signe de mort... Bah oui… Se suicider doit rester la meilleure solution après un de ses discours… Je me mis vers le rebord, histoire de regarder l’extérieur et ainsi me concentrer sur autre chose. La vue était imprenable. D’abord, la ville robotique. On pouvait voir un ordre parfait, chaque machine se relayant dans les taches. Tout était gerbant ! Je détestais cet endroit ! Tout avait besoin d’une nouvelle déco… Une touche de Chaos par ci… Ou par là… Voilà que la Folie recommençais à m’atteindre… Après être resté longtemps avec des Akuheis, ils m’avaient contaminé avec leurs Folie… Depuis, elle venait de plus en plus souvent. J’espère juste que la tragédie avec ma sœur n’allait pas recommencer avec Celia. Je voyais de la lumière, pas comme celle des loupiotes qui nous éclairais depuis un moment, venant de l’extérieur. Je jetais un coup d’œil en haut, il s’agissait de la brèche qui séparait le bras de l’épaule. J’attendais pour voir la ville. Tout était en flamme… Encore.

Spoiler:

Je me contentait tout simplement d'ignorer tout ces importuns qui encombraient l'air que je me plaisait à humer dans cet ascenseur mécanique, une odeur marine... qu'étais-je venu faire ici? eh bien pour le savoir nous devons remonter à des millénaires en arrière lors de la guerre du golf. Nous étions sur le champ de bataille que nous avions ironiquement nommé le "Green" et nos armes ressemblaient plus à des clubs de golf qu'à des armes, l'ennemi était plus grand et plus costaud que nous, je l'imagines encore bomber le torse et remuer du cul, prêt à frapper la balle avec la force d'une ogive nucléaire... il s'approchait de moi, son insigne en plastique sur la veste à losanges semblait briller comme pour m'indiquer le nom de cette bête féroce assoiffée de jeux pour gente gens sportifs mais non-trop dégourdis.. ce rustre ne comprenait rien à cette bataille sans pitié! il ne comprenait pas le fait que je tapais les balles avec ma canne ! et surtout, il ne comprenait pas pourquoi je ne me contentait pas de frapper dans les balles en plastique, mais pourquoi je frappais violemment les balles du gérant du Green qui hurlait telle une jouvencelle en période de floraison. Quoi qu'il en soit nous nous égarons et je vous propose de massacrer un phoque pour passer le temps.

Caliburn semblait être dans son propre trip', il n'entendait rien de ce qu'on pouvait lui dire, malgré l'agitation dans cet ascenseur pas forcément très stable à destination de l'épaule, il regardait de haut toute cette hauteur qu'il prenait, et à un moment , on aurait presque pu croire qu'il avait un regard grave... nan je déconnes, toujours cette tête de canard insensible qui vous regarde de façon stupide style Dolan Pls. Toujours est-il que la raison de sa venue en ces terres était simple, il était venu récupérer quelque chose d'important. C'est après dix bonnes minutes de montée en ascenseur que celui-ci passa dans un grand sas lumineux , cela devait être le début de l'épaule, ou le reste non-arraché du bras. cette fois-ci on avait plus facilement la notion d'ascenseur, mais ça n'était pas le problème, non, il y avait des trous dans le bras, et chaque trou représentait une ville, avec ses propres robots, ses propres coutumes... cette chose géante était vraiment un assemblage de villes à lui seul. L'ascenseur finit par atteindre son stade de plus haut, arrivant face à ce qui semblerait être un immense couloir courbé, un couloir pleinement ouvert sur le côté , laissant la lumière entrer avec une grande puissance, la lumière du soleil qui ne tarderait pas tant que ça à se coucher. Les portes grillagées s'ouvrirent et Caliburn ouvrit la marche (impériale mwuhoho) en laissant traîner sa canne, ignorant ses compagnons de bonne fortune pour marcher droit devant dans cet énorme couloir qui équivaudrait bien en largeur la taille d'un foutu gymnase, et ne parlons même pas de la longueur... ce couloir? ah, ce n'était rien de plus qu'une toute petite partie de l'épaule, et leur destination , c'était la tête. D'énormes tremblements se firent sentir , des secousses succédèrent aux simples tremblements, envoyant tout le monde valser contre la paroi métallique, tandis que Caliburn semblait défier les lois de la gravité en restant parfaitement stable.... Heimdall bougeait, son imposante carcasse semblait s'être remise de cette colonne de lumière qui l'avait frappé de plein fouet plus tôt. Voyons ce que cela donne à l'extérieur.


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Le robot géant poussait un hurlement qui ne semblait être que des couinements mécaniques à première vue, mais à force que ces cris s'entrechoque, la chose devenait de plus en plus glauque, on pouvait distinctement entendre d'une voix déchirée , mélangeant la masculinité à la féminité, liant tout cela à l'inhumain et le monstrueux... il hurlais "Tuez-moi". à ces mots, sur le port, la jeune femme aux cheveux d'argent serra les dents, continuant de presser sa main froide sur les blessures ré-ouvertes du général de l'armée d'Azulith qui semblait vouloir se relever et en découdre, bien entendu avec sa force herculéenne elle arrivait à le clouer au sol. Les artilleurs du port lancèrent de vains coups de canons pour le ralentir, mais les explosions furent plutôt hasardeuses et provoquèrent des dégâts moindres. La guerrière relâcha le général qui tentait vainement de rester debout , tandis que la furie dégainait ses deux épées, concentrant sa longueur d'âme alors que ses lames devinèrent rouges comme le sang. Heimdall fit quelque chose de totalement inattendu... son bras découpé remonta le long des fils d'ascenseur, comme s'il se ré-assemblait tout seul !! il continuait à demander à ce qu'on le tue, mais ne faisait rien pour les laisser faire... le bras se rattacha tout seul à l'épaule, et de sa main sortit un énorme canon semblable au canon d'Azulith... il allait tout faire péter. Certains chevaliers fuyaient comme des lâches, d'autres se préparaient à être balayés, mais avec honneur... Kainé tenait ses lames de façon à former un cercle, l'une en avant tournée vers la droite, tandis que la deuxième était derrière et tournée vers la gauche... la canon se chargea d'une lumière rose intense qui s'accumulait encore et encore... et d'un seul coup le puissant laser partit, prêt à balayer le port. quand soudain l'âme de Kainé brisa ses limites, s'enflammant et prenant une taille inimaginable.

- Soul Breaker !!

Le coup de laser géant arrivait, quand soudain Kainé donna deux simples coups de lame sur la masse d'énergie concentrée et, à la grande surprise de tout le monde, il fut non-seulement découpé plusieurs petits morceaux, mais en plus les mini-tirs partirent directement dans la mer.. Le soul Breaker de Kainé avait frappé, son apparence avait considérablement changée, ses cheveux s'étaient allongés d'un éclat cristal et flottèrent libre au vent, ses yeux prenant la couleur du cristal, ses lames avaient toutes deux déployées d'immenses ailes d'ange , et son armure brillait elle aussi d'un éclat angélique, il émanait d'elle une très grande longueur d'âme apaisante... aussi ironique soit-il, le Soul Breaker de la furie est le pouvoir du calme.. "Silver Empress". Cette femme était désormais le seul bouclier de la ville, à elle seule elle repousserait chaque assaut de ce monstre d'une taille si titanesque. Elle restait néanmoins silencieuse, priant dans sa tête pour qu'ils fassent vite.

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Revenons à Caliburn... l'épaule avait arrêté de secouer depuis ce puissant coup de canon, bien que ses invités avaient manqué à plusieurs fois de passer par la gargantuesque fenêtre sans vitre à cause du coup de canon, tandis que la chose continuait à marcher , faisant clapoter ses pattes bruyamment sur la surface métallique.... après plus de cinq ou six minutes de marche, il s'arrêta soudainement, levant sa canne en l'air devant quelqu'un que l'on ne pouvait voir que de flou... tout blanc et tout petit qui levait aussi sa canne en l'air... cette chose avança... ce n'était autre qu'Excalibur, l'épée de légende ! Les deux se ressemblaient comme deux gouttes d'eau si l'on oublie la couleur, sauf que l'un avait l'air d'avoir bu 59 tasses de café, alors que l'autre semblait s'être enfilé 59 tasses de thé... l'un avait l'air particulièrement éveillé tandis que l'autre avait des yeux d'hypnotoad et l'air blasé qui fut trahis par sa voix quasi-identique et toute aussi dynamique que son cher collègue épée.

- FOOL !
- FOOL !
- Enfin libéré de ta cage , je suppose que tu est venu me prêter allégeance, comrade !
- FOOL ! La seule raison de ma présence ici est pour récupérer mon style.
- FOOL ! Je me souviens des affaires de Style, ce meurtre prémédité Ô combien flagrant avec lequel moi et mon ami Hercules Poivrote avions élucidé cette affaire sans fourrer notre nez dans les histoires des frères bogdanoff qui m'ont l'air d'être bien plus que des frères, en tout cas il faisait froid et la bière n'avait plus le goût de bierre mais bien celui du fer! Hahaha ! hahahahaha !
- Il me semble avoir vécu une histoire similaire avec un singe dans un frigidaire qui me suppliait de jouer à la marelle sur un tassement de graviers extraterrestres. Mwuhoho ! mwuhohohoho !
- Hahaha ! Hahahahaha !
- Mwhohoho ! Mwhohohohoho !
- Hahaha ! Hahahahaha !
- Mwhohoho ! Mwhohohohoho !
- Hahaha ! Hahahahaha !
- Mwhohoho ! Mwhohohohoho !
- Exactly.
- Exactly.

Sans donner la moindre explication, les deux épées de légende tournèrent carrément le dos aux visiteurs sans aucun doute particulièrement troublés par cette mise en scène totalement brainf*ckesque, et ne purent faire rien d'autre que suivre ces canards jusqu'à la sortie de l'épaule, débouchant alors dans la plus grande ville que pouvait abriter cette créature de métal, ils se situaient tout en haut d'une énoooooooorme corniche et faisaient face à cette magnifique et grande mégalopole au style très Steampunk. Ils se trouvaient maintenant dans le thorax, et devraient remonter par le cou pour détruire l'unité centrale se trouvant dans la tête... comment Caliburn savait ça? eh bien Xenoblade est un bon jeu et il a eut beaucoup de temps devant lui donc... sans même attendre leurs invités ils sautèrent en duo du haut de la corniche pourtant situé à une quarantaine de mètres du sol, retombant allégrement sur leurs pattes en foutant un vent à leurs invités. Mais là commencèrent les emmerdes, des robots de garde , gros comme des armoires à glace arrivèrent devant eux, peu commodes, et avec beaucoup de robots derrière eux... ils n'avaient pas d'autre choix que de leur échapper !

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BUT : poursuivez votre progression vers la vallée du cou, ne tuez que les petits robots, les baraqués sont trop forts pour vous, vous n'aurez pas d'autres choix que fuir. Votre RP se termine lorsque vous arrivez face à ce qui ressemble à une grande voiture de sport , là où se trouvent les deux épées de légende.

Et voilà que maintenant un deuxième canard s’en mêlait ! De plus, ils se ressemblaient étrangement… Avaient la même façon de penser. On voulait nous faire crever ou quoi ? Sérieux ! Déjà qu’avec un seul on a envie de se flinguer… Deux… C’est la réunion entre une bombe atomique, non c’est trop basique cette bombe ! Une bombe à neutron ? Mouai, mais non, cet exemple n’est pas assez puissant pour décrire le niveau titanesque des deux canards ! Une collision entre deux planètes serait peut être la meilleure façon de décrire la rencontre ! Et encore, le taux de connerie qu’il raconte à la seconde est plus apocalyptique d’une rencontre planétaire ! Mes mots sont pesés bien sur… Mais le truc le plus absurde depuis que je suis monté dans cette espèce de golem géant, c’est que ces deux machins ont sauté de la corniche ! Il y avait quoi ? Un peu plus d’un quarantaine de mètre ? Mouai. Ils sont aussi assez stupides pour ce suicidé ? Tant mieux ! Cela va nous faire des vacances, maintenant qu’ils ne sont plus là ! Et mort aussi ! Enfin, je crois… Avec ce qu’ils nous ont fait depuis maintenant, il y a de grande chance pour qu’ils en sortent vivant de cette chute… Bon tant pis, on les oublie, c’est pas une grande perte. Bon, en fait, on était pas si bien en paix que ça ! Aussitôt les deux disparut une horde de robot était venue nous submerger ! Non non non… Ne me dite pas que les deux machin tenaient en échec les robots juste par leurs présence ? C’est quoi ce délire ? Les robots sont équipés d’espèce de radars détectant la force comme dans Dragon Ball ? Dans un sens cela pourrait paraitre logique… L’un des canards a réussie à abattre un terminator rien qu’avec ses paroles…Compréhensible… Dans tout les cas, maintenant qu’on en était là mieux valait se battre pour s’en sortir. Les autres se mirent à attaquer, ils avaient du penser la même chose que moi. Restant bien droit comme un piquet, pourquoi ? Aucune idée ! Je chopais les deux poignets de mes lames replié qui se trouvait dans mon dos, une fois bien en mains, je mis deux coups secs dans le vide pour enclencher le système de dépliement. Les tenir dépliés me donnait de salle envie… Mais bon, c’est dans ma nature, je n’ai plus que cela dans ma vie… Détruire. Puis, une image de Celia s’infiltrat dans ma tête…

« Je n’ai peut être plus que cela dans ma vie tout compte fait… Mais c’est dans ma nature. »

Je fis un Ksss. Même avec elle, je serais toujours ainsi, on ne change pas une personne du jour au lendemain. Même avec le temps, il y a des chances que mes envies ne s’altère pas. C’est mon quotidien après tout. J’enfonçais ma tête dans mon col, seul mon œil droit ainsi qu’un peu de morceau de peau était visible, le reste était caché par le chapeau et les cheveux. Je relevais mon bras droit et plia le coude de façon a ce que l’une de mes triples-lames se trouve à côté de ma tête. En même temps, je fis tourner mon autre triple-lame dans mes autres mains, on aurait dit qu’il y avait presque une symétrie entre mes deux bras… Pourquoi faire tout cela vous allez me dire ? Bah, juste pour la classe… Enfin j’crois. Puis je me lançais à mon tour sur les robots.


La ville semblait s’être calmée… On ne voyait plus de soldat russe dans les rues, le géant de fer ne bougeait plus d’un pouce, ce qui pouvait signifier du bon non ? Par contre, de là où j’étais je pouvais voir aussi le manoir, qui servait de siège du royaume d’Azulith. Beaucoup de partie avait été détruite, plus rien ne montrait à quelle point le lieu était un endroit paisible… Ce n’était qu’un pale souvenir d’antan. De là où j’étais, dans un bâtiment servant d’infirmerie, je pouvais voir le haut du manoir, il y avait une espèce de faille… On aurait dit la même chose que quand nous les sorcières… Je me dis encore sorcière, même après avoir perdue mes pouvoirs… C’est assez ridicule, mais tant nostalgique. Cela ressemble assez étrangement à la faille qu’on utilisait pour aller à Witchland. Mais bon, il ne fallait pas espérer. Depuis ma fenêtre, je regardais à nouveau le monstre de fer qui avait un bras pendue. Avec le lien qui avait été fait, je savais qu’Edge était là bas. Pourquoi ? Pour arrêter ce golem ? Non, arrêtons de penser à cela, je devrais aller aider… Et je repartis aider aux soins, les blessés venaient de partout, un enfant cherchait ses parents, un vieil homme qui appelait sa femme, une jeune femme amputé, c’était moche à voir, mais je n’avais que cela à faire.


Tout de suite, je fus intercepter par un de ses fichus grand robot. Y avait vraiment rien à faire contre eux ! Mes lames arrivaient à peine à faire une rayure sur leurs protections de métal ! Bordel quoi ! Ils sont fait en quoi ? En diamant renforcé avec de l’adamentium ? J’suis même pas sur qu’une de mes flammes puisse fondre leurs coques. Faut faire quoi contre eux ? Les pousser d’la corniche ? Pas moyen non plus, ils sont tellement imposants qu’on peut même pas les faire bouger d’un pouce ! Bordel ! J’esquivais de peu l’un des coups d’un des mastodontes, heureusement qu’ils sont lent avec leurs… Imposante carrure ! Dire qu’un robot est gros fait trop bizarre, donc on dit pas. Je passais plutôt au petit, je levais l’une de mes lames au ciel. Pourquoi ? Bah j’avais prevue le coup, dans mon positionnement tout à l’heure j’avais aussi activé l’une de mes techniques enflammé. Le fait que mes alliés est détruit quelques petits robots, j’avais pus utiliser la chaleur de leurs systèmes internes et de leurs explosions, pour certains pour préparer l’une de mes attaques. J’abaissais la même main à présent, six boulles de flammes destructrices pulvérisèrent six robots dans une mini-explosion. Ha ! La destruction ! Quand tu y a pris gout, c’est bon c’est finie ! Je sautais sur un autre robot, celui-ci allongeât son bras tel Luffy… Moi j’dis rien à foutre, je fis chauffer à blanc ma lame, pointe en avant je perçais le bras du robot jusqu’à remonter a ce qu’il servait de tête. Je me mis à rire. Je me retournais, il y avait encore un paquet… Tant mieux ! Je ne voyais plus les autres. Ksss… Tant pis. Puis je sentis quelque chose m’agripper par le col ! Bordel ! On m’a choppé comme un traitre ! Enfin je dis cela, mais c’est aussi mon genre… Je tournais ma tête, c’était Henry qui me trainait… Bon bah tant pis pour les robots !

Finalement, le monte-charge arriva au niveau du cou de la montagne de fer. La vue était affreusement vertigineuse, du haut de ce colosse. L'affreux canard générateur de mauvaises ondes fut soudainement rejoint par un autre canard, blanc, cette fois-ci, mais tout aussi éreintant à l'écoute, puis ils s'en allèrent ensemble, comme deux bons amis qui se retrouvent après plusieurs mois, voir plusieurs années, ou peut-être, carrément quelques décennies, sans s'être vu. C'était plutôt mieux ainsi, déjà qu'une seule de ces bestioles pouvait rendre un toaster suicidaire, imaginez l'effet concentré de deux de ces machines de destruction massive ! C'est ces abominations qu'on devrait envoyer sur les champs de bataille, l'ennemi se collerait une balle rien qu'en les voyant arriver ! Ca ferait des victoire faciles et rapide. M'enfin bref, tout à coup, juste après leur départ, toute une tripotée de robots baraqués comme des gorilles bodybuildés boostés à la testostérone firent leur entrée fracassante dans la salle. Tous le monde chargea droit dans le tas, tous aussi téméraires les uns que les autres, tous, sans aucune conscience du possible danger, tous...nan. La gamine aux lunettes fluo était restée dans l'ascenseur, toujours à faire ses exercices de stretching, particulièrement concentrés au niveau de la nuque, s'aidant de la paroi du monte-charge pour y appuyer sa tête. C'était surtout drôle de voir le mûr se gondoler au fur-et-à-mesure, alors qu'elle ne semblait même pas ressentir la moindre douleur. Ce fut finalement Yowaki qui la ramena à la raison en lui indiquant que les énergumènes provocateurs de haine et de mépris était déjà partis depuis un moment. Remarquant ensuite les robots de combat. Un mini-robot vint voir la fille pour gentiment lui faire ses salutations à coups de laser. D'accord, massacrer des robots, c'est pas cool, mais quand ils sont hostile, là, y'a plus le choix. Il passa finalement de la case "Alerte ! Intrus !" à "Obsolescence non programmée et provoquée" en l'espace de seulement quelques secondes, après qu'elle lui ai rendu ses politesses en lui arrachant tout aussi gentiment les câbles optiques. Ensuite, il fallait également qu'elle se présente aux autres membres du staff des robots, voyons, la politesse avant tout ! Oh, et puis tiens, en accompagnant le tout d'une petite démonstration de ses talents au combat, pourquoi pas ?! Elle arracha rapidement une des barres de la porte de l'ascenseur et se déplaça calmement vers la mêlée, sa nouvelle arme improvisée sur l'épaule. Elle toqua l'épaule d'un des costauds, du bout de son bâton. L'interpellé se retourna vivement et tenta de décocher une bonne droite au visage de la gamine, qui esquiva en se baissant tout bêtement. Elle passa sous les jambes de son opposant et lui enfonça sa loooongue barre de fer dans le...dos, après lui être montée dessus. Creusant un trou suffisamment grand pour y passer la main et effectuer quelques bidouilles discrètes et pas franchement légales à l'intérieur. Enfin, le résultat fut tout de même qu'elle réussi à prendre contrôle de l'armoire à glace ! En profitant pour l'obliger à coller des pains à ses propres congénères et faire un ménage un peu plus efficace. Malheureusement, ça ne dura pas très longtemps, car la monture commençait à surchauffer et donc menaçant d'exploser à tout moment, la gamine fut obligée de l'abandonner, conseillant au passage aux autres personnes présentes de se barrer d'ici le plus rapidement possible. L'espèce de bourgeois aux airs d'aristocrate ne prit pas cinq minutes pour comprendre et attrapa le gars au chapeau bizarre par le col et se mit à courir. La fille aux lunettes, elle, agrippa la fillette surexcitée et l'autre jeune fille aux cheveux rouges par le bras et tous ensemble, foncèrent vers la sortie la plus proche. Peu de temps après, une explosion plutôt conséquente fut produite, à cause d'une réaction en chaîne d'explosion de robots, bref, un joyeux boxon, encore une fois. Ils arrivèrent enfin dans une énorme salle, après un long couloir. A en juger par les consoles présentes tout autour de la pièce, c'était très certainement la salle des commandes, le centre nerveux...la tête du colosse. Et maintenant, qu'allait-il arriver...?

[The world is full of ... Fools !]

Cela faisait déjà un bon moment, que j'attendais cette bande de cloportes inutiles qui se pavanaient derrière moi, sans doute étaient-ils en train de faire face à cette bande de boites de conserves inutiles qui ne font d'éloge qu'à mon dos quand je leurs tourne? qui sait. Ils finirent tôt ou tard par me rejoindre, faisant une fois de plus honneur à mon dos qui avais maintenant bonne compagnie. Que ce soit cette petite robote, le vieux shnock ou ce type pas frais et aussi vert que ce que vous irez déféquer après un bon plat d'harricots verts, tous étaient regroupés derrière moi, blessés , évidemment. Mon frère d'arme se trouvait à côté de moi, et nous adoptâmes la même position. Tenant nos cannes face à cette immense salle des machines qui n'arrêtait pas de trembler, après-tout, nous nous trouvons encore et toujours dans un Gundam de la taille d'un pays, mwohoho. Mais les yeux globuleux de mon compère, et mes yeux en spirale n'avaient de cesse d'admirer une chose, que nos invités ne semblaient pas avoir de suite remarqué. Oui, nos yeux étaient omnibulés par une douce chaleur bleutée, géante, pendante en plein milieu de cette salle des machines, enchaînée par des câbles et diverses chaînes aussi rouillées que la carcasse de la bâtisse. Cette lueur bleutée dont je vous parle, ne provenait pas de tout un étalage de machines modernes, ou tout ce que vous pouvez bien penser... Non, elle provenait d'une âme, d'une âme d'une taille colossale, clouée en plein milieu de cette salle sphérique. Les robots aux postes de commande semblaient avoir été déconnectés, et bien que je sois en mesure de diviser par zéro, je ne comprenait pas vraiment pourquoi une âme si grande se trouvait à l'intérieur d'un objet non-biologique. Peut-être est-ce parce que je m'en cogne, en fait. Derrière-moi, mes followers s'interrogeaient sur cette immense âme qui émettait des pulsions meurtrières , tel un battement de coeur. Je pouvais l'entendre hurler, le propriétaire de cette âme, relâchant sa haine, la transformant en activité afin de créer quelque chose avec lequel il pourra exprimer la colère qu'il accumulait pendant des dizaines et des dizaines d'années... Un homme ayant souffert toute sa vie, et ne pouvant camoufler sa souffrance que par des travaux acharnés. Cette voix, que je pensais être le seul à entendre, se diffusa dans toute la pièce, éclatant à nos oreilles (que je n'ai pas) comme une explosion d'artifices sonores. Aidez moi , Je me vengerais , Je vous rejoindrais, bientôt..., ces mots, mêlés à d'autres, ne pouvaient que reproduire le ressentiment de cette personne à qui l'âme avait été retirée.

- C'est ... affreux. intervint le noble démon
- Ce type a du subir des choses horribles... c'est bien que je pensais, les humains sont des ordures, putain ! , s'exclama le Shokan en proie à la rage.
- Cet homme a vécu toute sa vie avec tant de haine ..? tenta de comprendre la robotte.

Je restait silencieux, fidèle à mon image de protagoniste mystérieux, et sombre.

- Mon cul! t'es le type qui couvre moins de mystères ici!
- Moui', tu n'as pas tout à fait tord. Mais il serait impoli de l'achever alors qu'il n'a pas tout à fait déversé sa haine, n'est-il pas mon frère?
- Mmhhhhh....
- Mmhhhhh....
- Mmhhhhh....
- Mmhhhhh....
- C'est bon, Stop !
- IDIOTE! nous méditons! Cela me rappelle une histoire similaire, un jeudi d'un mois polaire d'été, où le temps était inversé et que j'avais pris congé chez un compagnon d'infortune ou nous dégustâmes de délicieux féréro rochers jusqu'au petit matin. Littéralement, nous avons mangé des rochers sur lesquels nous avions inscrit "Féréro" au marqueur indélibile, je ne sait pas pourquoi, mais j'eut un léger mal aux gencives.
- Vous n'avez PAS, de gencives ...
- IDIOTE ! c'est parce que tu n'as pas assez exercé ton Nen, je peux déjà apercevoir ses lignes spirituelles en train de recoudre des dents !!
- ça part n'importe comment, messieurs, pouvons-nous redevenir série---
- Il a raison.
- Il a tord.
- C'est exactement ce que j'ai dit !
- N'est-ce pas? Hahaha ! hahahahaha !
- Mwuhoho ! hohohohoho !

Un brouillard noirâtre et épais émana alors de mon enveloppe corporelle, tandis que celle de mon frère d'arme commençait à rayonner d'un éclat doré à la beauté incomparable. Nous regardions l'âme se lamenter sur son propre sort, alors qu'extérieurement, l'immense colosse de fer continuait à mettre la ville à feu et à sang, détruisant de son long bras le port, envoyant de nombreux chevaliers à l'eau. Piétinant les faibles et embrasant ce soleil de flammes sordides. Nous avions fait le souhait d'être les meilleurs, et nous le somment, nous, les armes de légende.... c'est ainsi, que nous avions fait une promesse qui changera à jamais notre destinée.

[ I swear !]

- Dans deux ans ! sur l'Île shabondy !
- Dans deux ans! sur l'Île shadondy !
- Arrêtez de vous foutre de nous, on est pas dans One Piece là !

Ignorant ce crapaud baveux derrière-nous, nous firent quelques pas en direction de la géante âme bleue, levant nos cannes vers elles, alors que son éclat de haine n'avait de cesse de la rendre instable, nous comptions en terminer dès maintenant, afin de mettre fin à la souffrance que cet homme a du endurer pendant de nombreuses années, nous sonnerons aujourd'hui le requiem et le baptème de sa plus grande création, qui se verra glorifié en tant qu'Antagoniste, et détesté aux yeux du peuple. Mais c'est ainsi que nous devons l'honorer, que sa haine soit à son tour haïs est le plus grand honneur que l'on puisse faire à quelqu'un qui a dédié sa vie à la colère. Cela dit, il paraissait évident que si la machine s'arrêtait maintenant, elle s'écraserais inévitablement sur le royaume, tuant absolument tout le monde. évidemment j'avais prévu ça, et c'est également la raison pour laquelle j'avais amené ces avortons avec moi... ou bien étais-ce parce que je voulais délecter ma curiosité afin de savoir si Oui ou Non mon frère d'arme était bien ce pilone s'étant écrasé dans la nuque de la machine vivante? Qui sais. Excalibur se retourna et posa sa canne fermement au sol, alors qu'une nouvelle secousse se fit sentir, manifestant inéluctablement une nouvelle attaque de la machine envers ces pauvres citoyens du royaume anglais. Tout le monde regardait l'arme de légende avec on-ne-peu plus d'attention.

- Moi et mon confrère allons sortir de l'appareil, nous empêcherons la machine de s'écraser sur le peuple... mais vous, êtes chargés d'une toute autre mission.
Qui est ?...
IDIOTE ! ça ne vous regarde pas !
- Tout à fait.

Nous nous retournâmes et nous quittons alors la salle, laissant ces braves gens à l'intérieur de la salle des commandes, alors qu'ils devaient très certainement être en train d'étouffer leur haine pour leurs avoir collé un vent qui n'a point été aussi puissant depuis les ouragans qui ont ravagé l'Amérique. Mais j'était intimement convaincu qu'ils comprendraient le message, cette mission qui leurs avait été confiée. Excalibur et moi-même montâmes alors au sommet du crâne du robot, ou les vents étaient forts, et la fréquence des secousses n'en était pas plus amicale. Je jetait un dernier coup d'oeil spiralien à ce magnifique soleil de fin d'après-midi, puis fis un signe de tête à mon ami et frère d'arme, qui s'éclaira d'une lumière dorée de la justice, prenant alors la forme d'une magnifique épée ailée que j'attrapa dans ma main ... ou patte, c'est pareil. Eh oui, vous l'aurez deviné : bien que je ne sois pas arthur, je suis tout à fait en mesure de manier Excalibur, l'épée de légende. Je me tourna et me mis sur le bord du crâne d'Heimdall, attendant que les petits jeunes puissent faire ce qu'ils avaient à faire.


[All that pain should have an happy ending.]

Pendant ce temps là, dans la salle des machines, les quatre invités se regardèrent, se réunissant face à cette immense âme rongée par le chagrin. Et bien que la petite Cirno jouait avec tout les boutons de l'appareil (qui ne fonctionnaient pas étant donné que le robot n'était maintenant contrôlé que par l'âme géante) Maze réfléchissait et collectait les données , afin d'essayer de comprendre pourquoi les deux lames légendaires leurs avait fait si rapidement faux bond. Kite , impatient, s'apprêtait à s'en aller sans rien dire... mais ce fut Henry qui eut le plus rapidement saisis le message, et se dépêchât de cogner son poing contre la paume de sa main.

- J'ai compris ! ces deux bonhommes sont de véritables génies !
- Ou bien c'est toi qui réfléchis trop et t'as pas saisit qu'ils nous ont lâché comme des gants troués sur le bord de la route ! ils se sont fait la malle je te dis !
- Non, je sent leurs âmes, ils sont au dessus de nos têtes..
- L'est pété l'clavier.
- Maintenant tout est plus clair ... il attend que nous détruisions l'âme, pour qu'il puisse détruire la carcasse de l'engin !
- Tu vas p'tet m'expliquer COMMENT ils comptent couper en deux une machine qui fais la taille d'un continent!? faudrait s'appeler Sangoku bon sang!
- Justement, je n'en sait rien, j'ai tout de même le sentiment que nous devons le faire.
- Ouais ! on fait tout péter ! boom ! ... mais c'est vachement gros, quand même. Même le cul de Suzan Boyle est sûrement plus petit que cette grosse bouboule bleue.
- Elle n'a pas tord... il faudrait une sacrée puissance, et des duos parfaitement bien construits.
- Justement, je pense que Caliburn avait parfaitement constitué les duos, je ressent une folie profonde en ce type en vert, Si je combine mes forces aux siennes, nous pourrons sûrement créer une folie assez puissante pour paralyser 50% de l'âme, il vous suffirait, à toi et la petite, de frapper sur la partie anesthésiée
- C'est possible ça?.. on parles d'une âme là, pas d'un organe.
- Evidemment, l'Anesthésie donne de mauvaises informations au cerveau, en d'autres terme, nous recevons la même douleur, mais nous ne la percevons pas !
- C'est plus clair maintenant ! Si l'âme a de mauvaises informations, elle ne pourra pas se protéger, et donc elle sera plus faible ! Cependant ... je doute que cette gamine ai un quelconque pouvoir, et je ne peux pas cogner aussi fort que Steph, sans arme...
- Hey !! tu me sous-estime ou quoi!? c'est pour ça que je hais les adultes, toujours persuadés et sûr et certains que leurs calculs sont bons, même quand on dit qu'ils ont tord! j'suis une arme moi! mais évidemment t'en aura rien à battre parce que t'es une calculette, et les calculettes sont les soldats véreux du prof de math diabolique.
- Je .. m'excuse pour ça, alors, je te crois ! tu veux bien me laisser te manier?.. il y a beaucoup de risque pour que nous ne soyons pas compatibles mais, essayer ne coûte rien.
- M'Okay !
- Ok, on y va. Faisons monter notre insanité le plus haut possible, puis frappez!

Cirno pris alors sa forme arme dans un éclat bleuté, tombant dans les mains de l'automate... mais quelque chose n'allait pas : Les mains de l'automate commençaient dors et déjà à fortement brûler. Heureusement pour elle, son apparence mécanique ne lui donne pas la même douleur qu'un humain normalement constitué, mais cela voulait clairement dire qu'elle ne pourrait pas tenir l'arme dans les mains encore longtemps. Henry et Edge levèrent leurs mains en duo vers l'Âme géante, leurs corps s'embrasant petit à petit de flammes tantôt rouges et tantôt noir, libérant un flux concentré vers l'âme bleue qui, zone par zone, commençait à se peindre d'une couleur putride. La moitié de l'âme devint alors rouge et foncée, le moment du signal était prêt.

- Maintenant! Petite robotte !
- Yaaaaah !!

Du revolver sortit une grande salve bleutée qui transperça l'âme géante, l'explosion la déchirant en plusieurs parties... Tout dans la salle des machines se mit à exploser, alors que nos justiciers du jour tombèrent au sol, propulsés par l'explosion.


Lorsque l'explosion de fit entendre dans la salle des machines, je ressentit que l'âme de cet homme avait disparue, et que la machine perdait toute conscience, s'écroulant lentement , très lentement dans l'Océan. Ce fut donc à mon tour d'agir. Sautant en arrière du crâne de la machine, tel un suicidaire à qui on aurait pas donné ses RTT, je plongeais dans le vide, prêt à m'écraser face à l'océan... mais non, une paire d'ailes dorées apparut alors dans mon dos, m'aidant à me redresser face à la machine qui s'apprêtait à tomber... j'était complètement en face d'elle, et elle tombait avec une certaine lourdeur. Excalibur rayonnait entre mes mains, et je compris que c'était le moment de lancer l'assaut. Tenant la lame à la manière d'une arme japonaise prête à être dégainée, j'évaluais ma cible, alors que sûrement toute la ville comptait sur mes efforts pour l'arrêter... le débris mécanique géante n'était plus qu'à quelques mètres de moi, ce fus le moment...


[PERSONA ! FOOL'S ARCANA, MWUHOHO !]

- ATOMIC LEGEND

Dégainant la lame après avoir bien volé le concept original d'Atlus, un énorme rayon de lumière découla de l'épée de légende,un coup horizontal si puissant lancé au niveau de la tête d'Heimdall que celui-ci fut décapité sur le champ , emportant vers la mer les Invités, après-tout, il valait mieux les lancer à la mer plutôt que de les scinder en deux. Le corps sans tête était tout prêt, j'enchaînes alors par un coup vertical, le Rayon était si grand qu'il scinda la carcasse métallique en deux tranchées poussées par le vent de l'attaque, les deux corps métalliques s'apprêtèrent à s'écraser sur le ville, il ne restait plus qu'une chose à faire ...

- IZANAGI !
- Arrêtez de plagier Persona 4! merde ! s'écria une voix au loin.

Je donna un dernier coup d'épée, de ma propre longueur d'âme cette fois. Le coup n'envoya alors pas un rayon doré, mais une énorme vague de vent noir comme la mort, un vent si puissant qu'il renvoya progressivement les deux débris gigantesques en arrière, les faisant retomber dans l'océan. Mais ne pouvant prendre le risque de provoquer un Tsunami, j'utilisa la téléportation de mon frère d'arme, Excalibur, afin de me téléporter à certains endroits des deux carcasses, pour les couper en plus petits morceaux possible. Les débris métalliques tombèrent alors lourdement dans la mer... tandis que les invités eh bien... je suppose qu'ils sont morts.

C'est ainsi que je me posa sur le quai d'Azulith , après un tonnerre d'applaudissements et un bon procès d'Atlus, repartant avec mon frère d'armes pour des contrées inconnues, afin de devenir .. le plus grand des dresseurs !

*ferme le livre*

Pour en savoir plus sur comment se sont terminés les événements d'Azulith, ne manquez pas de lire l'event originel et l'épilogue !