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 Doki-doki Shinigami-san love plus ! [ Pv : Mobile Suit M.Z Wing / MyiamOuPattyOuSnowers ]

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Daiki


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Daiki "Asura" Godspell




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MessageSujet: Doki-doki Shinigami-san love plus ! [ Pv : Mobile Suit M.Z Wing / MyiamOuPattyOuSnowers ] Doki-doki Shinigami-san love plus ! [ Pv : Mobile Suit M.Z Wing / MyiamOuPattyOuSnowers ] EmptySam 23 Fév - 17:33

Cela fait quelques jours maintenant qu'une rumeur se profile autour du seul établissement éducatif de la ville de la mort : Le Lycée Death City. C'est un beau bâtiment au style très moderne et étrange aussi (comme toute la ville me direz-vous) mais ce n'es pas la seule chose étrange. Son physique a beau être bizarre, ce qui l'est encore plus, c'est qu'il accueille sans séparation les élèves de tout âges. évidemment, les maternelles ne se retrouvent pas avec les bacheliers par exemple : mais tous se relaient dans des classes et des professeurs différents. Le problème est qu'un tel travail est une véritable souffrance pour les professeurs et beaucoup d'entre eux démissionnent et ne reviennent pas. Le manque de personnel à fait de l'établissement un lieu d'insécurité, d'autant plus que les démons en ville se faisaient de plus en plus réguliers depuis un incident il y a quelques jours de ça. Et en parlant de démons... revenons à la rumeur : elle concernait une classe vide depuis trois mois. C'est une histoire plutôt populaire dans les classes d'adolescents trop normaux pour être intéressants ou dessinés par l'auteur (vous savez, le bonhommes en bleu quoi !) ; et c'était une rumeur plutôt macabre. Le soir venu, il n'es sensé y avoir absolument personne dans l'établissement (on est pas en japon hein, il y a pas d'internat ici !) ... mais alors que deux élèves s’introduisent dans le lycée pour récupérer un objet important oublié dans leurs casiers.. ils affirmèrent avoir entendu un véritable concerto dans la salle de classe de l'ancien professeur de musique disparu dans des circonstances parfaitement obscures. Mais quand ils affirmaient qu'il s'agissait d'un concerto ; ils ne bluffaient pas : Le piano, le violon, la flûte... tout y était, c'est comme si une centaine de personnes s'étaient rassemblés dans cette pièce ce soir là. Apeuré; l'un des deux élèves pris ses jambes à son cou et s'en alla, tandis que l'autre, curieux, s'approcha un peu plus de la porte de la salle. Une lumière sortait de dessous la porte, signifiant qu'il y avait bel et bien quelqu'un à l'intérieur. Mais lorsqu'il posa sa main sur la poignée... il eut un terrible impression, un effroyable sentiment de danger. La musique qui semblait si belle se transformait en mélodie stressante; une véritable menace pour son esprit. Il tentait d'expliquer ça à ses camarades le lendemain venu. il expliquait en détail ce qu'il avait vu, ce qu'il avait ressenti... il avait été pris droit dans la folie : des bêtes multicolores en forme d'oeil se baladaient en sol, sa respiration se coupait, et de multiples écharpes commençaient à l'entourer et à l'étouffer violemment alors qu'un homme à trois yeux le fixait avec un sourire démoniaque. L'espace d'une seconde, ce visage terrifiant sembla s'affiner aux traits d'une jeune femme aux cheveux multicolores et à l'air sombre... il n'eut pas le temps de voir le visage, ni vraiment pouvoir identifier de qui il s'agissait, car aussitôt que cette forme apparut, il repris ses esprits et s'en alla le plus vite possible. évidemment ses camarades ne le croyaient pas , et se contentaient de rire à sa détresse. Ce jeune homme sur les lieux avait tendance à être considéré comme un menteur : lorsqu'il était persécuté par ses propres amis, il se devait de raconter un bobard plus grand que leurs dires pour ne pas finir en proie aux moqueries. Une main se posa sur sa tête et frotta ses cheveux; forçant le jeune homme à lever les yeux en l'air vers la personne qui lui adressa ce geste qui peut être fortement considéré comme un geste amical. Il s'agissait de son aîné, un bachelier qui, comme tout les autres, ne croyait pas un traître mot de ce qu'il disait, mais se contentait de faire semblant d'y croire pour ne pas le vexer.

- Eh bien ! les filles ne parlent plus que de toi, Steven! la popularité te souris enfin ?
- Je pense qu'elles sont surtout en train de me prendre pour un cinglé... je te dis, je l'ai vu, ce type bizarre !
- Mais... vous étiez deux non? Marc était avec toi il me semble, enfin, d'après ce que tu as dis.
- Oui, et il a filé comme une petite fille apeurée... je l'ai pas revu depuis hier soir.
- ... J'ai quelque chose à t'apprendre dans ce cas mais.. assieds-toi avant.

Le visage du jeune homme à la chevelure châtain changea peu à peu alors que son ainé , lui, affichait un air des plus sérieux et des plus sombres, regardant son disciple sous pression tendre une oreille attentive et apeurée à la sombre nouvelle qu'il s'apprêtait à lui annoncer.

- ... Marc à été retrouvé ce matin, pendu devant la fontaine du lycée. Des enfants de Shibusen nous ont dit d'ignorer ça et de continuer à agir normalement le temps que l'enquête se poursuive... la plupart ignorent ce qu'il s'est passé.
- M-m-mais !!... pourquoi est-ce que tout le monde agis si normalement!? il y a eut un meurtre là !! ce n'est pas qu'une simple histoire !
- Il n'y a que les personnes présentes à six heures ce matin qui sont au courant... et on n'était que trois devant le lycée. Les deux autres ont été emmenés pour un examen psychiatrique avec un certain Docteur Stein... ils m'ont chargé de ne dire à personne ce qu'il s'est passé.
- ... Arrête de blaguer, toi aussi tu veux te foutre de moi hein?..
- Je suis plus que sérieux ! maintenant que je fais le lien avec ce que tu racontes à tout le monde... tout parait plus clair. Rentre chez toi et vas te reposer... je dirais aux professeurs que tu n'allais pas bien. Mlle.Arachne est compréhensive, et elle est au courant de l'affaire.
- ... M-merci.

Le jeune homme sous le choc tourna le dos à son ainé alors qu'il commença à marcher en direction de la sortie du bâtiment, passant à côté de tout ces élèves qui ignoraient complètement la disparition d'un camarade de classe, mis en pièces par une créature horrible à la puissance démesurée. Pourquoi? eux qui vivaient dans un monde tout ce qu'il y a de plus normal... pourquoi ces cercueils sont apparus? pourquoi le monde a basculé dans une telle tragédie en si peu de temps?. La belle lune blanche avait cédé à un monstre mesquin et moqueur. Le soleil avait échangé sa place avec un avatar terrifiant aux grandes dents. Le pire résidait certainement dans le fait que du jour au lendemain, le monde entier se soit mis à accepter toutes ces nouveautés comme si elles étaient tout à fait normales. Eux qui n'avaient jamais entendu parler du concept des âmes, de la folie, des démons.. les deux astres dans le ciel, c'était la même histoire : les gens s'y sont habitués comme si de rien n'était; c'était presque comme si le cerveau de tout le monde avait été lobotomisé et que personne n'avait remarqué la différence. évidemment il existait des gens qui prenaient très mal tout ces changements : la lune peut glacer le sang ,le soleil de même. Mais ces rares personnes choquées , ou sentant un apocalypse proche à la vue de ces choses, ne courent malheureusement plus les rues, et se contentent de suivre des suivis psychologiques organisés par une organisation qui se tapissait dans les ombres il y a quelques mois, et qui ne s'est révélée au grand jour il n'y a de cela que deux semaines. Shibusen, c'était son nom. Un grand type en noir avec un masque avait alors juré de protéger cette ville en son nom; mais plus rien n'étonnait le pauvre Steven qui avait inconsciemment commencé lui aussi à s'habituer à toutes ces bizarreries. Néanmoins.. l'idée qu'un démon se trouve en ces lieux, tapis dans l'ombre, attendant sa proie ; était une idée qu'il ne pouvait se retirer de la tête : il se disait que ce soir là, il était passé si proche de la mort qu'il devrait s'estimer heureux que la bête ai choisie de tuer la flippette plutôt que lui. C'est égoïste, mais c'était la meilleure façon de penser. Mais son regard était vide, il ne regardait le sol qu'à moitié car sa vue était complètement floutée par l'inattention ; ses pensées prenaient le dessus sur la réalité, et il commençait presque à rire nerveusement... ce sentiment de malaise qui se transformait en démence petit à petit, cette peur qui dévorait son âme comme elle l'a fait à tant de personnes.. mais il s'arrêta alors soudainement en manquant de se prendre de plein fouet la porte du casier des sections élémentaires (CE1 - CM2 ) ; il s'était perdu sans même réaliser dans le bâtiment; il se trouvait à l'inverse totale de la sortie, au contraire, il n'avait fait que s’empêtrer à l'intérieur du bâtiment. Ses mirettes aux reflets rosâtres se baladaient un peu partout : il y avait de nombreux enfants tous aussi excités les uns que les autres, se préparant à rentrer en classe... une ambiance chaleureuse qui le fit temporairement échapper à l'emprise de la folie. Mais il y avait bien deux personnes qui dépassaient de loin les tailles de ces petits hommes et petites femmes en devenir. La première personne était une dame plutôt grande, cheveux sombres, courbe agréables; vêtue d'un tailleur aussi noir qu'une araignée. Ses yeux étaient particulièrement étranges , mais il connaissait cette femme : c'est la directrice de l'établissement... ou plutôt, la seconde directrice (Il y a en tout plusieurs directeurs pour chaque classes, chacun s'occupe de sa propre section) ; Arachne Gorgon. Elle semblait être en pleine discussion avec une charmante élève à la chevelure mauve et aux yeux bleus. Mais lorsqu'il posa ses yeux sur elle... ce sentiment de mal-être s'accentua définitivement; il avait un léger goût de rejet dans la bouche et le choc l'obligea à s'appuyer contre le mur et s'accrocher aux rideaux des fenêtres sur lesquels figuraient de sympathiques têtes de mort icônes de la ville. Cette fille... il l'avait déjà vu quelque part; c'était exactement la tête qu'il avait vu quand il délirait. Alors que le jeune homme tentait de reprendre ses esprits, il fit l'objet d'une interruption de la discussion entre la femme arraignée et la mystérieuse jeune femme aux cheveux mauves. En effet, la directrice semblait avoir remarqué le jeune homme dans sa détresse et adressa un bref signe à son interlocutrice; une main levée, lui disant alors d'attendre son retour. La directrice fit alors face à l'élève apeuré et tenta de le calmer à travers des paroles calmes et harmonieuses.

- Que t'arrives-t'il ? pourquoi n'est-tu pas en classe comme tout le monde?
- Je ! ...je... je... !!
- Calmes-toi, calmes-toi voyons ! tu veux que je t'envoie vers l'infirmière? tu es malade?
- Cette fille !! c'est un démon !!
- ... mais enfin... quelle fille?
- Quoi !?...

Lorsque le jeune homme leva à nouveau les yeux vers là où se trouvait précédemment Arachne... il n'y avait plus cette mystérieuse jeune femme à la chevelure mauve. Non, à sa place, se trouvait un homme barbu avec des lunettes; sans aucun doute le professeur des CE2 ; qui le dévisageait avec un air profondément insulté. Il ne savait plus ce qu'il devait croire .. il voyait cette jeune femme partout, absolument partout. La directrice tentait de lui parler; mais plus elle essayait et plus la folie envahissait son âme.. et ce jusqu'à ce qu'il s'écroule contre le mur face à l'enseignante qui tenta de le réveiller avec des claques, méthode qui malheureusement n'eut aucun effet.

Deux heures plus tard, Steven se réveilla dans un lit de la salle de repos, un baluchon d'eau sur la tête. Il tentait de comprendre ce qui lui était arrivé. La première chose qui lui vint en tête était la suivante : surmenage. mais bien que ce soit la raison la plus logique à son évanouissement, il refusait d'y croire. Il était pourchassé par quelqu'un.. oui, quelqu'un voulait sa mort, et ce quelqu'un n'était autre que cette jeune femme aux cheveux mauves qu'il avait vu ce soir là. Steven avait été le seul des deux garçons à être resté en vie de cette soirée ; son ami s'étant fait tuer ce matin, il était le prochain sur la liste. Passant une main sur son visage pour éponger sa sueur, le jeune homme tenta de tourner la tête vers les rideaux.... ou il apparut subitement, et de manière totalement spontanée, une grosse trace de main ensanglantée, du même style qu'une apparition de mauvais esprit. Il sursauta et hurla. Il était à peine réveillé et pourtant il sentait qu'il n'allait pas tarder à retomber dans les pommes.. et ça, il ne le devait en rien à la peur; mais plutôt à la seringue plantée dans son cou. Tentant de tourner les yeux vers l'autre côté du lit (c'est à dire, derrière-lui) il aperçu une silhouette aux cheveux longs, plantant une aiguille dans sa nuque avec un grand sourire aux lèvres, sifflant cet air musical qu'il avait entendu cette nuit là.

Il fut à nouveau réveillé, six heures plus tard cette fois. Et le réveil ne fut pas des plus agréables : de l'eau gelée jetée en plein visage. Ouvrant les yeux du mieux qu'il pouvait, il tenta d'identifier ce qu'il se passait ici. Il ne savait pas où il était mais une chose était certaine : il n'était plus dans l'infirmerie. Son cerveau n'était pas encore tout à fait éveillé, même après ce sceau d'eau jeté en plein visage. Il ne pouvait avoir qu'une vision très floue de ce qu'il se passait autour de lui... mais après quelques secondes d'adaptation, il entendit une voix mélodieuse s'adresser à lui; alors que sa vue commençait petit à petit à prendre de la précision. Maintenant il savait où il se trouvait : la salle de musique abandonnée. Il n'y avait pas de lumière dehors. La seule chose qui éclairait cette pièce étaient des bougies d'ambiance bleutées , donnant un rendu aussi sinistre que magnifique; tout dépend alors du point de vue. Il ne pouvait pas bouger, ses poignets et ses mollets étaient attachés à un pupitre... mais enfin il faisait sa première rencontre avec cette personne qui harcelait son âme depuis la nuit dernière. Face à lui... cette jeune femme aux cheveux mauves et multicolores sur les pointes. Il réalisa difficilement qu'il ne s'agissait pas obligatoirement d'une femme. évidemment, elle en avais la silhouette, les formes, le visage, les cheveux, les mains... mais pas les vêtements. cette personne était vêtue d'une chemise blanche simple comme celles que portent tout les lycéens de l'établissement, ainsi qu'un jean bleu délavé tout à fait normal. La seule chose féminine sur ses vêtements était certainement l'écharpe rose extrêmement longue qu'il ou elle portait. (si on ignore bien sûr d'autres détails flagrants ; comme ses ongles mauves ou les deux couettes). Cette personne se tenait face à un piano , et tenait une flute de pan dans la main droite; caressant le couvercle sale et poussiéreux du piano hors d'état d'usage.. qui que soit cette personne, elle prenait grand soin de ces objets délabrés.

- Tu n'es pas resté à écouter ma musique hier soir.. j'ai été plutôt déçu.
- C...c'était vous...
- Oui, j'ai tué ce gosse trouillard et je l'ai transformé en oeuvre d'art. Je t'aurais bien évidemment épargné si tu n'avais pas toi aussi pris la poudre d'escampette. Un artiste déteste lorsque son auditoire s'en va d'un seul coup pour aller apprécier d'autres plaisirs de la vie... cela m'a chagriné, tu comprends? quand j'ai sentit que tu posais ta main sur la poignée de la porte, j'ai immédiatement admis que tu aimais cette musique, et ce qu'elle symbolisait... je t'ai alors traîté pendant un court instant comme un amateur de l'art que j'exerce mais... *Daiki se retourna vers le jeune homme apeuré avec un air terriblement sombre, les pointes multicolores de ses cheveux brillaient comme du phosphore dans l'obscurité; tandis que ses mirettes azurées scintillaient à procurer un sentiment de mal-aise* tu m'as déçu.
- ... Je vais mourir hein?... merci... j'en avais marre de voir toutes ces horreurs affluer chaque jours. cette lune, ce soleil, tout ces morts...
- C'est ce que tes tripes me disent, mais ton coeur lui , m'affirme le contraire. Et tu désires aussi savoir pourquoi je tues... eh bien c'est simple. Je suis un peu irrité en ce moment. J'ai réalisé qu'il me manque quelque chose de très important pour parfaire mes oeuvre. Il me faut une muse. un objet ou une femme à la beauté exceptionnelle, capable de m'inspirer, orchestrer la disposition de mes pensées et de mon imagination. J'ai réalisé également que la peur est une couleur, et que cette couleur peut être utilisée et posée sur une toile... j'ai décidé alors de peindre la peur de ton ami en réarrangeant chaque parties de son corps, collant ses doigts à ses yeux, et plaçant son postérieur sur le haut de son crâne, m'arrangeant avec ses autres parties du corps pour faire de lui une araignée humaine. Il n'était pas digne d'être ma muse. Mais... garde en tête que je n'ai pas choisi de venir ici par hasard... non, j'ai été appelé, figures-toi.
- Appelé?.. ne me dites pas que ...
- Si. Un ami à moi travaillait ici lorsque je résidait encore en Erimery. Il était professeur de musique; et j'ai moi-même été son professeur. Il savait jouer de tout instruments, et il savait faire ressortir d'eux un potentiel débordant de couleur et d'harmonie. J'ai appris qu'il s'est récemment suicidé, il y a de cela trois mois. Une charge de travail trop terrible pour ses épaules; il a alors décidé de se transformer lui-même en oeuvre florale plutôt que de s'abandonner à une vie de chômage... un homme intéressant. Il n'es d'ailleurs pas parti tout seul , et a massacré toute sa classe.
- .... Alors c'était pour ça que toutes les classes ont été re-mélangées et que les élèves disparus étaient traités comme "transférés"....
- Cette classe était sûrement la meilleure, et il réside ici les instruments des défunts. Avant de te transformer en oeuvre d'art... je veux te faire entendre la douce mélodie de leurs âmes souffrantes... ils m'appellent au coeur de la folie, ils désirent un dernier concerto pour reposer en paix. Je suis un démon bienfaiteur, mais un démon avant tout... je t'offre alors le droit de mourir avec cette mélodie en tête.

Le jeune homme repensait alors à tout ce qu'il avait accomplis dans sa courte vie... la vérité est qu'il n'avait absolument rien fait. Son seul crime n'aura été que d'être là au mauvais moment, et ne pas être resté pour écouter cette mélodie qu'il s'apprêtait à entendre une bonne fois pour toutes. Il fermas doucement les yeux alors que l'écharpe du démon se divisait en plusieurs parties, toutes s'allongeant pour attraper chaque instruments sur les pupitres. Il s'assied alors sur le tabouret du piano plein de poussières, et lui tourna le dos; regardant sa proie avec un air reposé, portant la flûte d'une ancienne élève sur laquelle reposait encore ses races de sang à ses lèvres. La mélodie démarra alors avec la qualité d'un magnifique concerto. Tout les instruments manipulés par les bouts de l'écharpe se mirent à jouer en parfaite synchronisation.

[ Mélodie des défunts, je vous rends un dernier salut.]

Lorsque Daiki finis de jouer... il adressa un bref sourire au jeune homme... et un bout de l'écharpe se propulsa vers lui à une vitesse absolument démente.

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Le lendemain, tout se poursuivait parfaitement normalement.. c'est comme si ce gosse n'avait jamais existé. Son cadavre n'avait pas été retrouvé; peut-être qu'il n'était pas mort d'ailleurs... dans le bureau de la directrice, l'artiste était assis sur une commode, les jambes croisées, s'amusant avec une sculpture d'une araignée dorée qu'il s'amusait à contempler sous toutes ses coutures. Il avait l'air particulièrement détendu alors que la délicieuse femme aux cheveux sombres faisait face à la fenêtre avec un petit sourire aux lèvres , admirant du haut de son étage la magnifique ville de la mort , ses toitures bleues et ses rues pavées; ainsi que sa merveilleuse mer d'azur scintillant. Il va sans dire que ces deux là se connaissaient déjà, et qu'il est évident que la jeune femme n'ignorait en rien ce que le fameux "artiste" était venu faire en ces lieux. Elle se contenta de se pencher doucement sur elle-même, croisant les bras en dessous de sa poitrine en continuant d'admirer des ses yeux en toile d’araignée, les élèves entrer en classe comme si absolument rien ne s'était passé. Le silence fut alors troublé par la voix harmonieuse de l'artiste aux cheveux multicolores qui lui adressa un bref clin d'oeil qu'elle ne put évidemment pas voir, trop absorbée par ce qu'elle voyait.

- Toujours aussi délicieuse dame. Comment entretiens-tu cette magnifique silhouette?
- Tu dois bien te douter que je ne suis pas humaine n'est-ce pas? mais que me vaut alors la venue d'un artiste fou à lier? tu dois bien envisager que je n'accepterais pas un autre massacre dans mon école n'est-ce pas? je t'ai laissé t'amuser avec le premier venu parce qu'il ne posait aucun problème de le faire disparaître mais...
- N'ai crainte, je ne suis là qu'à la recherche d'une muse. J'ai pensé que les délicieuses lycéennes pouvaient être de parfaits exemples d'inspiration. Je suis aussi venu rendre hommage à un vieil ami.
- Cette savoureuse mélodie que j'ai entendu hier soir était donc toi ? je vois que malgré ton apparence, tu as gardé tes doigts divins.
- Je m'abstient de tourner cette discussion sur une facette qui pourrait tout les deux nous mettre mal à l'aise.. mais je vais prendre ça pour un compliment. Si tu es inquiète à propos de ce gamin d'hier... je me suis contenté de lui apprendre que parfois il faut prêter une oreille attentive aux souhaits des défunts... mais je ne l'ai pas tué. Je me suis contenté de lui sectionner un rein et je l'ai ajouté à la cantine du jour, avant d'amener ce gamin sur une île perdue. Je ne suis pas assez sadique pour servir ça à de pauvres enfants purs , alors je me suis contenté de le servir aux classes d'imbéciles. Tu pardonneras ma désinvolture , mais je me suis assuré que j'offrais un bon repas ragoûtant à des élèves dont l'amabilité n'es point leurs spécialité.
- Ainsi donc nous nous retrouvons avec trois classes absentes pour troubles de l'estomac... ce sadisme me rend presque amoureuse tu sais?
- Calmons-nous calmons-nous. Je suis à la recherche d'une muse, pas d'une femme. Je suis là ce matin pour te demander où est-ce que je suis susceptible de trouver chaussure à mon pied. N'aurais-tu pas une idée?

La sorcière aux araignées étouffa un petit gloussement; avant de se retourner vers l'artiste d'un geste gracieux et absolument divin qui manqua presque de lui faire tomber le mikado de la bouche.... ou bien dresser le mikado, c'est à vous de voir. Les japonais pissent le sang par le nez, mais lui, c'est un Erimeryen, pas un japonais.... if you know what i mean. La jeune femme s'approcha alors de l'artiste et passa sa main à côté de sa tête pour attraper un dossier traînant dans la case de rangement à côté de lui. Redressant sa main, elle feuilleta le dossier avec un petit sourire amusé. Il y avait dans ce dossier une liste d'élèves toutes aussi belles les unes que les autres , ayant participé à un concours de pose d'art commun organisé par l'école. Plus les pages avançaient et plus ces jeunes femmes étaient belles, rayonnantes. Mais il n'était là que d'apparences artificielles. La qualité d'une muse se doit être celle d'une femme aussi belle et forte en caractère de l'intérieur et de l'extérieur, rependant l'inspiration sur son passage. Ne supportant pas de voir la dame aux arraignées feuilleter les pages à sa place, il tendit le bras vers le dossier pour tenter de lui retirer des mains.. mais l'arraîgnée et bien plus vive que ce qu'on pourrait penser : en une fraction de seconde, elle saisit son bras et le tira d'un coup vers elle, de manière à ce que leurs visages ne se situent qu'à quelques centimètres l'un de l'autre. Ses yeux d'azur étaient alors encrés dans la toile de l'arraignée; et cette reine avait un total pouvoir sur les informations.

- Pas si vite; Arty... ou bien préférerais-tu que je t'appelles... Asura?
- Je crois que tu fais erreur. Ma mère m'a donné le nom d'Arty... et je suppose qu'il est de bon goût de respecter les choix de celle qui m'a mis au monde. Par ailleurs je ne suis pas étonné que tu connaisse cette prophétie qui à mon avis est plus que stupide. *la dame aux araignées relâcha soudain le bras du jeune homme à l'apparence de femme; laissant un petit gloussement sortir d'entre ses lèvres alors qu'elle lui tourna le dos*
- Je ne suis peut-être que la directrice d'une école mais mon réseau d'information dépasse l'entendement... tout ces cercueils n'avaient rien d'un hasard; et ce vieu fou de Von Karma n'était peut-être pas si perdu lorsqu'il a rendu publique la théorie des autres dimensions. J'ai eut l'occasion de voir le cadavre de celle qui était sensé être moi... et cet homme qui s'appelle Asura.. te ressemble beaucoup.

Daiki se mit à regarder la jeune femme avec un air des plus sérieux. Son sourire avait complètement disparu, il laissait place à un sentiment d'insécurité et d'inquiétude. Là, tout de suite, il était prêt à la tailler en pièces. Il n'attendait qu'un mot supplémentaire sur ce sujet pour commencer son écharpe et faire d'elle une bouillie d'araignées. Mais il en fut autrement. Arachne se retourna doucement et pris l'artiste dans les bras avec un sourire similaire à celui d'une mère protectrice... ou d'une petite amie sacrément cinglée.

- Tu n'as pas à craindre les menaces extérieures... je serais là pour toi.. pour toujours.
- ... Je pense que j'ai dépassé mon quota de courtoisie pour l'instant Arachne... *Daiki se dégagea de l'emprise de la directrice avec plus ou moins d'empressement et descendit de la commode et commença à marcher vers la sortie sans se retourner, laissant la sorcière le regarder partir avec un air presque rêveur.* Je n'ai guère d'intérêt pour les légendes... la seule vérité pour l'instant est mon besoin d'une fixation inspirante. Quoi que tu veuille faire , cela ne regarde que toi. *Daiki quitta la pièce sans ajouter quoi que ce soit*
- Tu reviendras à moi un jour... car nous sommes fais l'un pour l'autre. Le jour où ton inspiration deviendra incontrôlable, tu peindra ce monde de ta peur... et je serais celle qui t'épauleras à ce moment là. J'ai hâte ♥

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Dans les couloirs; le jeune homme se dirigeait vers une section bien particulière du bâtiment : le cours d'Art. Il avait bien pris soin de se camoufler afin de se fondre dans la masse. Prendre l'apparence d'un professeur stagiaire avec une dégaine si reconnaissable risquait d'être bien trop facile à découvrir. C'est la raison pour laquelle son physique androgyne avait le plus d'utilité : Il lui suffisait de porter une jupe et un chemisier et des bottines et l'illusion était parfaite. Il se fondit alors dans la masse des élèves dessinant ou peignant, à la recherche de celle qui deviendra sa source d'inspiration.

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- Poses cette télécommande, je dis !

- Huhuh, pas de bras, pas de télé, c'est mon tour !

- J'ai même plus le droit de regarder la télé sans qu'on vienne me briser les carreaux. Création indigne ! Même Steph s'est assis sur moi, une fois ! Si c'est comme ça, tu te démerde pour les passwords la prochaine fois que tu joueras à Backstab.

- Oh nan, me fais pas ce coup-là ! J'ai plus accès à internet, maintenant. Tu sais bien que depuis que Steph est devenu flic, il a développé une paranoïa si excessive qu'il fout des contrôles parentales partout ! Même sur le FRIGO ! Tu te rends compte !? Un putain de cadenas sur le frige', quoi !

- Qu'est-ce ça peut te foutre, t'as pas besoin de manger.

Une engueulade commune au domicile, rien de plus normal qu'un conflit à 2 heures du matin, devant la télévision, ici. Maze et sa paire de lunettes, bien que plus ou moins proche l'une de l'autre depuis pas mal de temps, n'ont de cesse de se brailler dessus pour des raisons qui n'ont le plus souvent, pour la plus grande part, aucune raison d'être. Mais ce soir-là, pour une fois, quelque chose réussit à stopper leur querelle, alors que le sujet n'était pourtant pas si prompt que ça à les faire réagir, surtout dans un moment pareil : A la télévision passa une courte publicité faisant appel aux plus courageux parmi les braves de venir s’enrôler dans la plus impitoyable des armées, celle du corps enseignant. En effet, l'établissement scolaire le plus proche (et surtout le seul) de la ville avait subit quelques malheureuses pertes de personnel et il devenait plus qu'urgent d'y remédier.

- Pff, une preuve supplémentaire que les profs sont que des tire-au-flan toujours en grève !

- Hey, déconnes pas, plusieurs rumeurs courent en ce moment, disant que l'un d'entre eux aurait carrément disparu, y'a pas si longtemps.

- Il a déménagé, et alors ?

- Non non, même pas de démission, rien. Les rumeurs disent qu'il s'est volatilisé du jour au lendemain en emportant carrément toute sa classe avec lui !

- Ce sont que des rumeurs, bordel. Et depuis quand tu t'intéresses à ce que disent les gens ?

- Depuis pas mal de temps j'dois dire. J'te rappelle que j'essaye de redécouvrir le monde, c'est pas toi qu'est mort deux fois et qu'à zappé près de la moitié de sa vie passée.

L'accessoire fluo se tut, il y eut un bref silence dans la pièce, comme si un sujet tabou venait d'être évoqué. Mais la robotte en profita pour ramasser les lunettes sur le canapé et de l'attacher à son front comme un bandeau afin de briser cette atmosphère, pour finalement déclarer quelque chose d'assez improbable tout en se dirigeant vers la porte de l'appartement d'un pas rapide :

- C'est pourquoi j'ai décidé qu'on irait ensemble dans ce lycée, qu'on y fasse un tour pour que je me remémore la gueule des vraies écoles et qu'on élucide le mystère de cette disparition dans la foulée ! On va faire d'un grille-pain deux toasts !

- Ben voyons, si ça t'amuses... Mais attends, tu vas pas y aller maintenant ! Il fait encore nuit !

- Justement !

Verrouillant la porte à octuple tour de clef (et oui, Steph ne plaisante pas), l'androïde déambula dans les rues sombres de la ville, éclairée par les lampadaires et les rayons de la lune au sourire diabolique. Sourire d'où circulait un flot assez important d’hémoglobine d'ailleurs, c'était plutôt effrayant lorsque c'était le cas. Cela ne présageait rien de bon...mais qui s'en souci ?! De toute manière, les meurtres étaient monnaie courante dans ce monde de brutes. C'est donc un quart d'heure plus tard que la gamine mécanique atteignit le portail d'entrée du lycée. Un léger vent glacial soufflait dans les feuilles des arbres de la cour, c'était plutôt calme et agréable, enfin, pour une personne humaine, bien entendu.

Comme la grille était évidemment close, deux choix s'offraient au robot : Escalader la barrière ou bien tout bêtement faire une porte elle-même. Malheureusement, la raison voulue qu'elle escalade un lampadaire APRES l'avoir violemment destitué de sa position initiale afin de s'en servir comme d'un pont pour passer de l'autre côté. Bah, toutes ces ampoules qui grillent pour rien, ça fera un peu d'économie, tiens !

Mais une fois dans la cour, le véritable problème n'était pas résolu. Comment entrer DANS le bâtiment, maintenant ? Certes, casser un mûr ou briser une vitre, ce n'était pas bien compliqué, mais ce n'était pas non plus la peine de faire plus de dégâts... Par chance, Yowaki repéra une fenêtre ouverte à l'arrière du bâtiment, donnant sur une salle de chimie. Les plans de travail n'étaient même pas rangés, des fioles et des produits de plusieurs couleurs différentes étaient disposés ça et là. Ce fut difficile pour Yowa' de maintenir son rôle de conscience sur Maze et la dissuader de s'essayer à de multiples expériences appliquée en mélangeant n'importe quel produit avec le premier flacon remplie d'un liquide inconnu qui lui passerait sous la main ! Puis elle quitta la salle et se promena un peu dans les couloirs en espérant se retrouver dans le hall, zone qu'elle eut du mal à trouver, même en suivant les panneaux qui étaient pourtant bien explicites.

- Alors voilà les escaliers que ces boutonneux empruntent tous les jours ? Même les couloirs bordéliques du Sub Wailord de Caleb étaient pas aussi glauques...

Poursuivant son chemin vers les étages supérieurs en quête de la fameuse salle de musique du professeur disparut, les couloirs de plus en plus longs se présentaient comme un véritable labyrinthe pour la robotte, ce qui était un comble quand on pense à son nom...mais elle finit par comprendre dans quel sens devaient se lire les flèches et ce n'était pas trop tôt, car elle avait faillit manquer quelque chose d’intéressant, et le gars qu'elle croisa, courant dans les couloirs tel un malade qui aurait vu un fantôme n'avait certes pas la tête à lui assurer le contraire ! Elle n'eut même pas le temps de l'intercepter, il s'était enfuit bien trop rapidement, mais cela lui indiquait qu'elle était sur le bon chemin. Et c'est en arrivant prêt de la salle de musique, d'où émanait un rayon de lumière indiquant la présence certaine d'une personne à l'intérieur, qu'elle vit un deuxième garçon, plus courageux, avançant lentement sa main vers la poignée. Maze se cacha derrière un muret, de façon à voir la scène, tout en restant à distance, mais quelque chose ne se passa pas comme prévu. Une sorte de zone de folie s'établit autours du gars, suffisamment puissante et portante même pour atteindre l'androïde. Alors que le garçon hurlait à pleins poumons, Maze ne put résister très longtemps à cette aura de folie impressionnante qui se dégageait de cette pièce, à tel point qu'elle ne tenait plus debout et s'écroula sur le banc le plus proche, littéralement assommée, alors que Yowaki s’évertuait à crier son nom, sans effet. Sans corps humain, l'âme de Maze n'avait aucune protection digne de ce nom contre la folie, surtout d'un tel niveau.

▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬

Elle se réveilla...ou plutôt, son système redémarra quelques heures plus tard, il faisait maintenant jour, les couloirs étaient donc blindés de peuple, étudiants et autres professeurs, ou ce qu'il en restait. La robotte ne passait pas inaperçue au milieu de tout ces adolescents. L’hétérochronie et les lunettes au vert brûle-rétine n'étaient visiblement pas coutume. Mais plus important, que s'était-il passé hier soir ? C'était clairement l'oeuvre d'un démon, toute cette folie concentrée. Et qu'était-il arrivé aux deux gars ? Ils n'avaient sans doute pas eut autant de chance qu'elle. Il était temps de débuter l'investigation pour laquelle elle était venue, à commencer par récupérer un maximum d'information sur la disparition de ce professeur de musique avant que les étudiants ne repartent en cours. Après quelques minutes d'interrogatoire, elle fut obligée de quitter le bâtiment, ou les surveillants auraient certainement pété une durite en voyant une gamine traîner dans les couloirs aux heures de cours.

Elle rentra par la suite à l'appartement pour établir un plan. Ce qui fut une bonne idée, entre autres, mais voilà, il y eut encore un imprévu...

- Au fait, tu te souviens de cet espèce de gadget que t'as depuis..."l'incident" ?

- L'artéfact oreillette ? Tu sais bien ce que j'en pense...

- Je sais, je sais, mais ça pourrait nous être très utile pour repérer ce démon, tu crois pas ?

- Euuuh, oui... sans doute... hmm.

- ...Bordel, me dis pas que tu l'as paumé !

Et c'est ainsi que l'après-midi briefing se transforma en ménage de printemps pendant plus de 12 heures, le temps de retourner l'appart' une première fois dans l'espoir de retrouver l'embryon démoniaque, puis, de tout remettre en place, rangé, nettoyé et réparé. Une mission si épique que c'en était presque héroïque...non pas du tout, en fait, surtout que la robotte était toute seule et que l'artéfact se trouvait seulement aux fins fonds du canapé... Au moins, l'appart' était nickel, maintenant.

Quelques heures plus tard, alors qu'il faisait à nouveau jour, soit environ 32 heures après la manifestation mélodique à laquelle Maze eut l'honneur d'assister, faisant preuve d'impatience, elle décida de retourner au lycée pour tenter de retrouver ce démon. Personne n'a dit qu'il frappait uniquement la nuit, après tout. S'incrustant donc une seconde fois dans l'établissement, l'androïde usa brièvement de l'artéfact, et la bonne surprise fut qu'un démon avait effectivement été repéré, dans l'une des salles de classe, se cachant parmi les élèves. La chose la plus prudente à faire serait de l'attendre à la sortie et...

- Hé, qu'est-ce que tu t'apprêtes à faire, là ?!

L'androïde défonça le mûr de la salle... Alors que la porte était juste à côté, même pas un mètre plus loin. Ce fut ainsi avec pas moins d'une vingtaine de paires d'yeux rivés sur elle que la machine fit son entrée en scène, interrompant la séance de peinture sur toile de toute la classe d'art appliqué.

- Bon, j'vais faire court ! Enfin, euh, j'vais être brève, quoi, pas faire cours...oh, vous m'avez compris ! Je sais de source sûre qu'il y a un démon dans cette salle et j'ai pas l'intention de le laisser filer sans lui dire bonjour.

Déclara la robotte, du haut d'un tas de décombres de mûr éparpillés au sol, avant de se déplacer entre les soit-disant artistes en herbe, usant toujours de l'embryon pour repérer sa cible, ce n'était qu'une question de secondes avant qu'elle ne le trouve...
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Alesana Odinglaz


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you may think your clever but you're not



Pour je ne sais quelle raison et par je ne sais quelle miracle me voilà de nouveau à cette étrange cité du nom de Death City, ville de laquelle je n'ai pratiquement aucun bons souvenirs étant donné mon petit séjour à l'ombre et mes retrouvailles avec Janthine qui se terminèrent sur une note peu concluante. Les seules choses bien qui me soit arrivé ici se comptent sur le bout des doigts tel que mon petit massacre au cimetière d'automobile ou ma rencontre avec Misha et... Et c'est tout. J'ai plus de mauvais souvenirs que de bon lorsque je pense à cette ville en fait, qui l'eu cru, même moi ça m'étonne. Mon retour ici se passa en pleine nuit, les gens riaient, la lune riait, je riais et la chose la plus belle la dedans c'est que j'ignorais pourquoi, j'étais seulement... Heureuse? Si par ça vous entendez prendre ma revanche sur le flic m'ayant laissé croupir en taule alors oui, j'étais très heureuse de remettre les pattes à Death City. Chacun de mes pas résonnaient contre le sol de pierre alors que j'observais les alentours d'un oeil à la fois attentif et distrait. Je ne connais pas vraiment la ville pour être honnête et retrouver le poste e police pour faire bouffer ses tripes à l'autre binoclard ne sera pas une mince affaire apparemment et je suis bien trop fière pour demander mon chemin à ces primates sans poils. Poursuivant mon inexorable quête à la recherche de ce fichue poulailler je me retrouve sur les talons d'un duo de jeunes m'ouvrant l'appétit plus que de raison. Le voyage pour revenir jusque dans cette ville m'avait donné faim et il semblerait que les matelots de tout à l'heure n'ai pas suffit à calmer mon estomac.


you better get the coffins out, trust me kid that's where you're sleeping tonight



Hmm, un petit casse dalle ne fais de mal à personne après tout? Et c'est avec cette pensée optimiste que je passe en mode chasseur pour ne plus quitter des yeux les deux tourtereaux devant moi. Lequel des deux devrais manger en premier? La fille m'a l'air d'être une gueularde à en juger par la conversation à sens unique qu'elle entretient avec ce type qui se contente d'hocher la tête à la fin de chaque phrase. Si je veux rester discrète j'ai intérêt à la faire taire avant qu'elle ne l'ouvre, j'ai pas vraiment envie de retourner moisir en prison moi. D'un autre côté si je tue la gonzesse en première sous les yeux de l'autre il n'est pas exclus qu'il se mette lui aussi à crier, qui sait comment peuvent réagir ces bêtes lorsque l'un des leurs se fait trucider et devant eux et qu'il savent très bien qu'ils ne peuvent rien faire pour empêcher ça. Les Hommes sont vraiment les animaux les plus intéressant à observer, y'a pas à dire. Soudain un changement s'opéra dans leur rythme de marche, ils s'étaient stoppé à la vue d'un évènement peu courant en train de courir, de l'endroit où je me trouve j'entend vaguement des cris affolé mêlé à des pleurnicheries de môme poursuivit par un prédateur inconnu. Le jeune couple haussa les épaules en même temps une fois l'imbécile en pleur passé puis continuèrent leur petite promenade nocturne tandis que je suivais des yeux le chemin parcouru par cette victime voulant semer un poursuivant invisible.


it's a story that you've heard a thousand times



Mon regard se stoppa sur un immense bâtiment doté d'un portail et de gigantesque murs empêchant tout êtres de passer. Tout ceci devenait vraiment intéressant pensais je tout en zieutant discrètement les deux sacs à viande qui aurait dû me servir de repas ce soir, me disant que pour une fois ils auraient du bol que je les laisse filer. Je souris comme à mon habitude et me dirigea d'un pas lent vers cette étrange bâtisse. M'y voilà enfin et apparemment je n'étais pas la seule à avoir des vues sur cette gigantesque maison à en juger par le lampadaire recyclé en pont que je m'empressa d'emprunter pour pénétrer ce qui semblait être une grande cour parsemée de quelques d'arbres. J'en approche un, caressant le tronc de ma main gantée avant d'y planter mon épée histoire qu'elle me serve d'appuie pour grimper dans ce truc plein de feuille. Les arbres c'est pas ma tasse de thé, pour moi sont tous de grosses plantes pleines de feuilles, fruits et/ou fleurs mais il y à une chose que je sais sur celui ci c'est qu'il n'est pas fruitier. Je m'installe sur une branche après avoir récupéré ma lame et baisse la visière de ma casquette avant de me laisser allez a un petit somme, si par contempler la galerie des horreurs façon Folie est considéré comme un petit somme pour vous.


this tale will never stop being told



Moi qui pensais être réveillé par mes habituels cauchemars c'est la lumière éblouissante du soleil qui me tire de mon prétendu sommeil en me frappant d'un de ses rayons en plein visage, me faisant à la fois grogner et grimacer. Assise sur ma branche je bascule en arrière en baillant tout en restant accrocher grâce à mes jambes, s'en suit une petite pirouette visant à me laisser atterrir sur mes quatre pattes tel un félin après une chute. Je me redresse en époussetant mes mains l'une contre l'autre et me rend compte que le bâtiment d'hier soir se retrouve maintenant assaillit par une multitude de jeune tâche haut en couleurs me refilant plus la gerbe qu'autre chose. Non mais, sérieusement, c'est à ce demander où va la jeunesse de nos jours quand on voit des monstre pareil. Maintenant que je suis là autant en profiter pour visiter cette foutue baraque tien, après tout c'est pour ça que je suis venu dormir dans ce tas de feuille en premier lieu. Alors que je progressais dans les couloirs bondé les gens s'écartaient sur mon passage en me détaillant silencieusement, attendant que je soit suffisamment loin d'eux pour jacasser dans mon dos. Eh, si ces crétins savaient que je les entendais est ce qu'ils continueraient à jaser? Et si j'ajoutais à ça mon épée? Un large sourire se dessine sur mes lèvres tandis que je ricane tout bas faisant de moi la cible d'innombrable paires d'yeux de toutes les couleurs et de tout les genre et savoir ça me faisait d'autant plus rire.


you may think you've won but I promise you it's not over



Sans m'en rendre compte mes oreilles se mirent à capter des ragots autres que ceux raconté sur ma personne. Un mort. Chouette, j'aimerais bien savoir si c'est moi qui l'ai tué, c'est vraiment dommage que je ne garde pas un petit souvenir de chacune de mes victimes mais comprenez moi, certaines de ces choses n'en valent juste pas la peine, leur façon de crever est juste si laide que je préférerais ne pas me souvenir d'eux. Un autre sujet attira mon attention malgré moi, d'étranges disparitions, manque d'effectif et toujours plus de morts bizarres. Cool, je ne sais pas où j'ai atterri ni ce qui se passe vraiment par ici mais tout ça me plais de plus en plus! Plusieurs femelles se sont enfuit à ma vue avant de revenir quelques minutes plus tard accompagnée d'un mâle portant des lunettes, ces harpies clamaient de vive voix que j'étais dangereuse à cause de mon arme et que j'avais rien à faire ici, bordel, je leur aurait bien enfoncé la lame dans la gorge pour les faire taire ces deux pipelettes. À ma grande surprise l'homme me prit pour un professeur d'escrime supposée remplacé le précédent ayant prit la poudre d'escampette il y a un mois de ça. C'est en souriant que je soutenue son hypothèse, principalement pour me moquer de ces abruties que je prendrais un malin plaisir à éventrer dans un coin à mains nues si jamais elles se rameutent avec un autre adulte. Les trois repartirent au son d'une cloche alors que le type me convia à faire de même, je ne sais pas de quoi il parlais et je m'en contre fiche comme de mon premier meurtre.


this is the part where you are supposed to scream



Les couloirs jusqu'ici noir de monde s'étaient vidé aussi rapidement qu'un corps éviscéré à la petite cuillère me facilitant amplement la tâche quand à mon histoire d'exploration. Le manque de proie à taillader calmer doucement mon envie de viande pour l'instant mais me rendais un tantinet nerveuse... C'vrai quoi ça fait une paye que j'ai rien bouffer et j'ai abandonner ma chasse d'hier soir pour me promener dans un bâtiment hanté où les gens me confonde avec un instructeur de combat à l'épée. Quelle merde! Hahaha, quelle histoire de fous, il ne tient qu'à moi de prouver à tous que je suis la plus cinglée dans ce cas. Sourire aux lèvres et marchant allègrement dans ces couloirs déserts je fredonne un air populaire avant de m'arrêter. Je désigne alors une porte au hasard et choisi de l'ouvrir, ceux se trouvant dans cette pièce seront les heureux gagnant d'un séjour en enfers grâce à moi! Oh mais ça c'est sans compter sur une odeur qui vint me chatouiller les narines pile au moment où je voulu entrer dans cette pièce. Un parfum familier que je ne pourrais oublier grâce à l'intensité du combat qui nous opposa il y a longtemps de cela. Chevelure blonde aussi longue que la mienne et une paire de saphir me fixant avec horreur, oh oui, je crevais d'envie de revoir ce regard posé sur moi. Qui aurait cru que ce serait dans un tel endroit d'ailleurs? Ma main relâche la poignée de la porte pour saluer celle que j'attendais de revoir avec impatience afin de finir le boulot que j'avais jadis commencé.


it's a chance to save the world or lose the girl



- Blondie, quelle surprise! Dis moi, comment vas ta soeur? Toujours morte en train de nourrir les poissons dans l'autre monde? T'es tu enfin décidée à me laisser t'aider à la rejoindre aujourd'hui?
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Elle ne s'en souvenait pas. Elle ne cherchait pas à s'en souvenir. Pour quoi faire ? Rien, strictement rien. Se souvenirs de ce genre de choses est tellement inutiles pour elle. Il faut dire qu'elle préférait se concentrer sur les souvenirs qui la concernait et non pas ceux d'un bâtiment. Pourquoi se rappeler du fait qu'il y avait une école là-bas ? Ça ne lui servirait pas à grand chose. A rien, même. Alors, pourquoi diable, lorsqu'elle passa devant cette bâtisse, son regard tomba lourdement dessus ? Pourquoi son cerveau lui siffla d'aller y jeter un coup d’œil. C'était quoi, une école, non ? Oui, bien sûr, c'était dis plus haut. Mais bref, qu'est-ce qu'elle allait bien pouvoir faire dans une école ? Sûrement pas grands choses. Mais bon, pour éviter de devoir un copyright à un renard pédophile en disant qu'elle se retrouvait là-bas par hasard, nous n'aurons qu'à dire qu'une illumination vient à l'esprit de la jeune blonde qui se demanda s'il n'y avait pas quelqu'un qu'elle connaissait là-dedans. *wut ? Mais j'ai rien dis moi !* Elle l'avait donc pensé d'une manière si voyante qu'on aurait pu voir une ampoule autour de sa tête. *Now, tu m'ignores. Je le dirais Alice, elle te foutra une patate en temps que Deadpoolette.* Alice ! Voilà, qui sait, peut-être qu'Alice se trouvait dans ce lieu étrange qu'était l'école. Parce que oui, soyons sérieux, vu la mentalité de Snowers, je doute fortement qu'elle soit allée à l'école un jour. Même à la maternelle. Mais bon, on n'y peut rien, et ça lui donne une excuse pour être comme ça. Alors, elle est pardonnée. Mais pour en revenir à nos moutons, Snowers a quand même eut l'idée d'aller voir à l'intérieur de cette grande bâtisse. Ce bâtiment qui semblait assez agréable.

Elle y était donc entrée comme si de rien n'était. Bien sûr, elle n'allait pas hurler sur tout les toits qu'elle n'était pas d'ici et que c'était une grosse stalkeuse. Elle n'allait pas non plus hurler qu'elle cherchait une blonde aussi bête qu'elle, qui se nommait Alice elle-ne-savait-pas-comment ou une autre connerie dans le genre. N'est-ce pas ? Avant que cette tête de mule réponde, on va continuer de parler. Les couloirs étaient donc blindés comme n'importe quels couloirs dans un établissement scolaire. Bien sûr, on ne perdra pas notre temps à d'écrire des bonhommes gris qui sont utilisées dans pas mal de manga, soit comme personnes, soit comme extra-terrestres. Il n'empêche que voilà, dans ces murs bien colorés, il y avait en face pas mal de personnes ce qui d'un certain côté n'était pas plus mal pour repérer les personnes importantes dans ce RP. Là voilà donc qui marchait, bla bla bla. Que c'est beau ici, n'est-ce pas ? Enfin, c'est moins beau quand, au fond d'un couloir, face à une porte entouré de peinture jaune, se trouve un point rouge. Non parce que bon. Jaune et rouge, c'est pas vraiment le meilleur assortiment possible, sauf si l'on veut penser à des ketchup frites. Potatoes ? Aussi. Avec le beau sourire niais de Bob l'éponge par dessus. Mais il n'empêche que pour continuer le récit, la jeune blonde se dirigeait vers ce point rouge sans réelle raison, et son cerveau lui disait de faire demi-tour où de faire une crise cardiaque tout de suite. Quoi, que risquait-elle ? Vingt mètres. Elle marchait toujours en direction de cette chose inconnue, sans se soucier de quoi que ce soit. Quinze mètres. Son cœur commençait petit à petit à lui dire de prendre ses jambes à son coup. Dix mètres. Un magnifique doute s’insinuait en elle petit à petit face à cette chose.Cinq mètres. Elle aperçut une personne. Deux mètres. Elle hurla. Ou glapit. C'était la même chose de toute façon. Elle se tenait face à cette folle. Qui ça ? La fille aux cheveux rouges, ou roses, de l'autre fois. Celle qui avait failli l’emmener voir les poissons. Celle qui avait failli lui arracher les yeux. Et celle qui, sans le savoir, l'avait rapproché d'Alice.

Elle allait lui foutre son poing dans sa jolie petite tronche. Tout simplement. Surtout que cette imbécile parlait alors que Snowers se retenait de pleurer, de hurler, de s'énerver. Une fille ne sachant pas quel sentiment prendre à ce moment là. En tout cas, il n'empêcha pas qu'elle se rapproche encore un peu devant le sourire méfiant de l'autre qui s’apprêtait sûrement à lui sauter dessus pour lui arracher les yeux de ses orifices oculaires. Sans attendre, la blonde lui attrapa le col pour lui foutre un beau coup de boule, alors qu'Alesana lui avait mis un magnifique coup de poing dans le ventre. Catch féminin ? Sûrement, mais pas dans la boue en tout cas, car les deux avait désormais trop mal pour penser à ce genre de chose. Et puis, Snowers n'allait tout de même pas dire ce qu'il en était réellement. Si ? *Et pourquoi pas ? Let's go !* Tu sais ce que tu fais au moi-.

    « En fait, Rosette, ma sœur – qui n'en est pas une – n'est pas morte, dommage pour toi, non ? »

Oh, bien sûr, cette rencontre n'allait pas être tournée à la parlotte, loin de là, après tout, les narratrices – car oui, impliquons celle d'Ale' dedans – savent très bien que ces deux là rêvent de se tuer avec beaucoup d'amour, de joie, de cris et d'agonie. Et voilà, elles en étaient donc là, ces deux crétines qui se retenaient de s'étrangler sur place. Se retenaient ? En fait non, Snowers lui avait littéralement sauté au cou alors que l'autre venait de lui griffer la joue dans une tentative qui avait pour but de lui arracher ses prunelles. Et pourtant, ni l'une ni l'autre ne s’arrêta pour autant. Blondie entrain de tenter d'étrangler son ennemi alors que Rosette essayait d'atteindre ses yeux. Ni l'une ni l'autre n'y parvenait car en réalité, Snow était entrain de tirer les cheveux d'Alesana plus qu'autre chose et elle, était entrain de lui faire de belles marques sur le visage et sur les avants bras. Oui, cela aurait pu continuer ainsi pendant longtemps en sachant fortement que les formes grises ne bougeraient pas d'un poil et qu'ils feraient juste semblant de chuchoter en regardant – même s'ils n'ont pas de yeux – on ne sait trop où.

Mais ce n'était pas grave, elles n'avaient pas besoin d'eux pour se fritter la gueule. Alors qu'elles avaient chacune reculés pour se préparer à frapper fort, par une force totalement inconnue et inutile généré par la fille derrière le PC, les deux glissèrent en avant, et elles ne se roulèrent non pas une pelle mais un magnifique coup de boule avant que le menton de notre blonde ne vienne heurter violemment la poignet qui s'ouvrit alors que la rose entra – sans le vouloir – dans la salle après cette micro-altercation.

Et que voyaient-elles désormais ? De nouveaux individus colorés ! *Nanana, individus masqués !* Non, pas masqués, colorés. Et non ce n'est pas la même chose alors maintenant, ta gueule. Donc, pour en revenir à nos moutons – bon dieu que j'aime cette expression – les deux demoiselles, ou femmes, s'étaient relevés sans prêter attention, toujours prête à aller étriper l'autre avec le plus d'amour possible dans ce monde parce que tout de suite, quand on veut étriper quelqu'un et qu'on dit « avec amour » derrière, ça passe toujours mieux. C'est comme l'effet des cœur dans les « connards ♥ » ou les « va te faire foutre ♥ » c'est tellement tendre et plein d'amour. Bon, Alesana et Snowers ne sont pas du tout pleine d'amour envers l'autre mais c'est de la haine pure et dure, de la froideur, des vents. Du mal. De la haine. Tout simplement. Une haine sans merci qui n'attend que de pouvoir se montrer pour aller trucider l'autre dès que possible. D'ailleurs, qu'attendaient-elles ? Mais rien, c'est pour ça qu'elles s'étaient déjà ruées dessus pour se tuer avec joie et bonne humeur. Mais, voilà, ce sont les « protagonistes » de ces Rps, alors il était évident que toutes tentatives de tueries se vouerait à un magnifique échec. Leur échec. Car ni l'une ni l'autre ne parvient à étrangler son ennemi. Ennemie jurée ? Peut-être, mais seul l'avenir leur dira, et là, l'avenir est occupée dans sa cuisine entrain de bouffer des crêpes avec le passé. Donc, pour l'instant, il ne reste que le présent.

Et le présent, il allait donner quoi, hein ? Avec ces deux personnes que les deux filles ne connaissaient pas. D'ailleurs, s'ils étaient en couleurs et en HD, ils attendaient quoi pour montrer un peu de peur ? Oh, mais c'est vrai, voir deux filles s’étriper, c'est tellement plein d'humour. Alors voir Snowers et Alesana se sauter à la gorge, c'était encore mieux.
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Tout d'un coup, tout le calme de la pièce dans laquelle il se trouvait se retrouvait perturbé par l'arrivée de trois cinglées qui visiblement ne savaient pas comment se tenir dans un court d'art. La pièce était pleine, beaucoup plus de filles dans cette pièce que de mâles... et c'est naturel : les femmes ont toujours eut plus de tendresse et d'application envers l'art que nous autres gorilles que nous sommes. Mais cet argument n'est bien sûr valable que pour les femmes, et non-pas ces deux femmes-gorilles s'apprêtant à nous rejouer une scène de DragonBall Z version réelle. Mais avant de retourner à nos moutons, visitons un peu la salle : c'est une grande salle classique au parterre riche sur lequel figure souvent quelques petits carrés bleus (à ne pas confondre avec un damier). Celui-ci est exclusivement composé de dalles de céramique blanches , éclatantes de beauté, parfaitement propres. La salle en elle-même mesure bien la taille d'une petite classe normale, mais celle-ci parait cruellement vide vu l'espacement entre tout les chevalets des apprentis-artistes. Des journaux figuraient sous ses pieds et ceux de son chevalet, sans doute des mesures de précaution pour ne pas tâcher le sol? il n'avait aucunement l'habitude de travailler avec des mesures de sécurité, ce qui était quelque peu déroutant. De plus, sans l'inspiration d'une muse, ce qu'il peignait était cruellement vide, et manquait de punch. (même si ce qu'il était en train de peindre était limite du Mona Lisa... Arty est un mec compliqué) Reconnaître un jeune homme à la chevelure multicolore était quelque chose de bien trop facile à remarquer; tous se seraient retournés et l'auraient inévitablement insulté (vous vous attendiez à quoi? on est en Amérique là, si vous portez du rose, vous peignez les ongles et participez à un court d'art tout en ayant des Dragonballz dans votre froc, vous serez inévitablement traités de fags. Contrairement aux japonais qui ... bah... sont weird as fuck); et il est donc évident qu'il avait opté pour des vêtements mettant plus en valeur le corps de sa bien aimée. Pas d'uniformes ici, ça lui aurait donc évité d'aller massacrer quelqu'un pour récupérer le camouflage avec la musique de fond d'un bon vieux Metal Gear. Le camouflage était parfait! T-shirt blanc à rayures mauves, jupe grise classique et chaussures à lanières parfaitement à la mode qui vous donnent envie d'enfoncer vos pieds dans la gueule du premier venu en hurlant "THIS IS SPARTA !". Son camouflage était donc parfait , désormais (si on oublie les trois ou six bracelets qu'il porte aux poignets et la chevelure multicolore qui vous hurle "OBVIOUS KISHIN IS OBVIOUS")... mais n'ayez crainte, il avait pris soin de cacher son identité avec un objet ayant servi à cacher Superman pendant des années de son identité de Bruce Wayne, et Batman de son identité de Clark Kent : des lunettes ! rouges vif, plutôt légères et pas encombrantes, posées sur son front et lui attribuant une couverture à effet de 100% et lui donnant +9 dans son bipède dans la catégorie "Thief" , avec ça il pourrait même voler une bagnole sous le nez de quelqu'un sans se faire repérer une seule fois. Bref, il est maintenant temps de revenir à nos moutons.

Une gamine avait déjà perturbé la classe dans défonçant le mur comme si de rien n'était, obligeant la plupart des élèves à se retourner avec un air incrédule et circonspect, incréspet et circondule devant cette jeune fille au visage d'enfant et aux lunettes flashies qui venait de détruire un précieux assemblage de taule qui permet EN GENERAL de séparer une salle des autres... mais l'époque des portes qui s'ouvrent avec une poignée est révolue. Demandez à qui vous voulez ici, on vous répondra que la plupart des RPs démarrent avec forcément une porte, un mur ou une grille cassée, au choix. Aucune tendresse dans ce monde de brute, Daiki se disait en lui-même qu'il allait bientôt devoir leur inculquer l'art d'ouvrir une porte... avec leurs tripes. Mais étrangement, même cette violente action de la gamine ne suffit pas à perturber notre artiste qui ne porta le regard sur elle qu'une mini-seconde avant de retourner à son "oeuvre plate et sans goût" (après Mona Lisa , il s'attaque à Starry Sky) avec un air concentré, cachant une profonde déprime quelque part. Mais alors qu'il pensait pouvoir se reposer tranquillement au calme, une jeune femme à la chevelure rouge et à la beauté incomparable sous ses airs de monstre assoiffé de sang venait d'entrer dans la salle (elle avait utilisé la porte, ça c'est déjà un bon point) et se mis directement à aguicher une blondinette au répondant exceptionnel... jusqu'à ce qu'elles ne commencent à se taper sur la tronche, bousculant plusieurs chevalets d'élèves apeurés qui voyaient leur cours complètement perturbés par trois importuns qui ne savaient comment se tenir. En temps normal... Daiki aurait posé son pinceau et leur aurait appris que le silence est d'Or aussi bien dans une bibliothèque que dans un court d'Art... mais pas aujourd'hui, il n'avait pas la motivation d'aller leur faire subir un tentacle rape avec ses vêtements. Il se contentait de les entendre gesticuler et grogner alors qu'il terminait sa troisième oeuvre "plate et morne" (The Birth of Venus) et posait le tableau à côté des deux autres en soupirant. Les élèves ne savaient plus trop sur quoi porter leur attention : le fait qu'une gamine déboulée de nulle part leur sorte trois tableaux historiques en à peine quatorze minutes en considérant ça comme de la "merde", ou le fait que trois autres cinglés venaient interrompre le cour pour s'échanger des pains. C'est alors qu'une élève toute mignonne et niaise se pencha de son tabouret et regarda l'artiste droit dans ses yeux océan ; lui adressant un sourire parfaitement charmeur qui commença à captiver son attention.

- Misao est vachement patiente ! ça fait une heure qu'elle attend nue sur l'estrade pour qu'on la peigne ! tu ne la trouves pas belle? elle a du mal à se trouver un copain!
- ... Hmmm... ses yeux me font flipper, et elle a l'air du genre de fille qui une fois morte, viens te hanter et tue tout tes amis uns par uns.
- C'est un peu radical mais tu as sûrement raison... mais les gens n'arrivent pas à se focaliser sur elle à cause du bruit... peut-être que je devrais prendre ma batte et ..
- Hhaa... non ce n'est pas la peine, je .. je vais m'en occuper! * Oiiiii ! cette fille est dangereuse, elle a un regard de cinglée, la mignonnerie n'était qu'illusion ! *
- Awww merci ! merci beaucoup ! ça aidera Misao à se mettre en confiance !
- Hahaha, ouais... *Confiance? quelle confiance !? cette nana crache du sang par les lèvres et me regarde avec un air révulsé, elle a 100% de chance de devenir un fantôme démoniaque si quelqu'un la bute! comment tu veux apaiser sa colère? calmer les deux abruties ne suffira pas! c'est évident que quelqu'un a fait quelque chose de pire !! ... et depuis quand on peint des adolescentes à poil ici !?*

Cela dit... il ne savait pas réellement à qui il obéissait, tout de suite. étais-ce à la gamine qui se ramène dans un court d'art avec une batte , ou étais-ce à cet espèce de gamine transparente sur l'estrade? aucune des deux ne l'inspirait assez pour être sa muse alors il allait devoir s'occuper des deux furies. Bizarrement, la première gamine (celle aux cheveux bleus) s'était complètement fondue dans la masse et avait même pris un tabouret et un chevalet, commençant à peigner. Qu'est-ce qu'elle peignait d'ailleurs? la curiosité envahis alors Daiki alors qu'il se levait de sa chaise et penchait la tête vers le tableau de la robotte et constata une magnifique pièce d'art de ... son style. Des circuits électriques ... oui, des circuits électriques. On aurait même dit un plan d'assemblage de toaster version Ikea. Visiblement dégoûté de s'être fait une fausse-joie, Daiki repris son but initial et se retourna, commençant à marcher vers les deux furies qui prenaient de l'élan pour se coller un gnon fatal... et c'est à la vitesse de la lumière que le démon multicolore s'avança entre les deux, positionnant ses mains des deux côtés. L'effet fut immédiat : elles ne purent pas s'arrêter et n'eurent pas le temps de l'esquiver; et par conséquent... Deux bitch-slaps simultanés se firent sentir. Un grand "CLAP" magnifique, tel le bitch-slap que vous distribuez à votre bitch lorsqu'elle n'est plus assez obéissante. Bizarrement les deux s'étaient calmées et posaient leurs mains sur leurs joues avec un air choqué... et la scène ne faisait que gagner en bizarrerie. Il y eut un grand silence dans toute la salle alors que l'artiste poussa un long soupir et enlaça les deux furies avec l'air d'une mère qui viens d'engueuler ses enfants. Le background s'emplis d'un ton rosé et de petites bulles, il englobait les deux gamines dans un enfer de douceur duquel elles ne pouvaient pas s'échapper... la folie du Kishin est toujours aussi surprenante, bien que la sienne soit plutôt stupide à souhaits.

- Arrêtez de vous battre... je vous ai déjà dis cinq millions de fois que si vous avez un différend, songez à si vous en avez vraiment besoin ou non !

évidemment il savait que ce qu'il disait n'avait foutrement rien à voir avec la situation actuelle... mais le sermon fonctionnait à merveille, et la folie ambiante ne faisait que s'installer de plus en plus fort. ça n'avait absolument rien d'une folie stressante, mais plutôt attendrissante. Tout les élèves quittèrent leur chevalet et se mirent à enlacer l'artiste , la blonde et la rousse dans un groupe-hug... enfin, jusqu'à ce que les nerfs des deux furies ne recommence à ravoir le contrôle et se mettent d'un coup à reculer de cette emprise de groupe... ou plutôt de cette hypnose que le Kishin exerçait sur les élèves, et à un moment donné, sur elles. Elles tiraient une tête pas possible, le genre de tête à dire "Qu'est-ce qu'il vient de se passer bordel!?" ou ce genre de trucs. La cloche sonna alors, et la plupart des élèves se retournèrent pour ramasser leurs sacs et s'en aller... tandis que le modèle sur l'estrade venait carrément de s'évaporer dans un mur; ne laissant que les quatre spécimens étranges dans cette pièce. Et autant dire que l'ambiance était lourde ici : la blonde fusillait du regard la rousse qui fusillait du regard le Kishin qui ne fusillait absolument personne et sortait une pelote de laine et commençait un tricot sans prendre attention à la tension présente dans la pièce.. la robote ne disait absolument rien et semblait plus captivée par son oeuvre que par autre chose. Faisant un petit pas en arrière, l'artiste poussa un long soupir en portant à nouveau ses yeux sur le démon à la chevelure de flammes et ... buggua complètement l'espace d'une minute. Figé complètement sur place, clignant des yeux rapidement alors que le rouge montait doucement à ses joues. étais-ce possible !? est-ce que cette cinglée pourrait être la muse qu'il recherchait ? Jetant le tricot en arrière, le kishin aux cheveux multicolores arbora un petit sourire alors qu'il prenait une pose d'artiste évaluant un chef d'oeuvre, déshabillant la jeune femme du regard de haut en bas : Des vêtements sombres, une chevelure sensuelle à la couleur du sang. Des yeux pénétrants et obscures. Une peau douce et parfaite, des mains fines mais brutales, des hanches séduisantes, une proportion du corps parfaite pour sa taille... ce n'était pas de l'amour... c'était de l'obsession ! Son coeur s'emballait, il ne savait plus dans quel ordre agir. Il pensait "Dois-je tous les tuer, puis la kidnapper? personne ne nous entendra !" puis "Non, c'est beaucoup trop tôt, et les deux autres peuvent sûrement encore me servir" ... comment allait-il convaincre cette femme de devenir sa muse? il n'en savait rien, pour l'instant il allait devoir conserver sa couverture d'élève normale. Néanmoins... il ne pouvait pas leur laisser le luxe de s'en aller loin de cette pièce. Il sourit alors niaisement et utilisa la voix la plus douce et féminine qu'il connaissait pour tenter de les mettre en confiance, pour leur faire croire qu'il n'était là rien qu'une élève normale un peu trop curieuse.

- Je ne vous ai jamais vu en cours, vous êtes nouvelles? j'aimes beaucoup votre style ! Et si on faisait un peu connaissance! ♪

... Mais ça ne semblait pas les emballer, et elles s'apprêtaient à se faire la malle... jusqu'à ce que des tissus ne se mettent à leur chopper les jambes et que Daiki ne reprenne sa phrase avec un air des plus sombres.

- ... Ce n'était pas une question. C'est un ordre.
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Maze Wing


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Bon sang, c'était plus addictif que ça n'y paraissait, la peinture, enfin, dessiner quelque chose qui nous tient à coeur fait toujours plaisir, bien sûr, surtout si on sait manier un crayon ou un pinceau. Mais le problème était plutôt le fait que Maze n'avait pourtant pas la tête à peindre les plans d'assemblage d'un toaster réfrigérant à micro particules, double plaque chauffante, rétro-réacteur, générateur à percussion et porte tasse à café lorsqu'elle arriva dans cette pièce. C'était comme si quelque chose l'avait poussée à se mettre à la peinture, comme ça, tout à coup, était-ce la folie liée à ce démon pour lequel elle était venue ? C'était plus que probable. C'était même certain, d'ailleurs, puisque quelques minutes plus tard, alors que la cloche avait sonnée, annonçant le changement de classe, tous les autres futurs Picasso s'étaient rués vers la sortie comme des veaux en rut en emportant leur prof avec eux, ne laissant plus que deux exemplaires de sauvages modernes féminins, ce qui semblait être une gamine sur qui serait tombé le rayon peinture du Bricorama quand elle était petite, ainsi que la robotte, toujours obsédée par son invention tout droit sortit du plus profond des méandres de ce qui lui servait d'imagination. Cependant, elle se retourna lorsqu'elle entendit qu'il n'y avait plus de bruit, puisque quelqu'un s'était finalement décidé à séparer les deux catcheuses du fond...en les suspendant par les pieds comme des lolis sur le point de se faire tentac-...

- Hey ! Moi aussi j'veux faire un tour de manège !

Persuadée que le démon aux cheveux multicolores ne faisait que jouer avec les deux filles, Maze en venait presque à le confondre avec une structure de jeu, ce qui était parfaitement idiot.

- ...Tu sais, j'suis pas convaincu qu'elle soit en train de leur faire découvrir les joies du transport avec la tête à l'envers... Ca ressemble surtout à un kidn-

- 'Porte quoi ! Ca se voit, tout de même. Regarde ce magnifique sourire sur leur visage !

- C'est parce qu'elles sont à l'envers que ça ressemble à un sourire, idiote !

- Oh... :(

Et pendant ce temps, le démon, qui n'avait visiblement rien à battre du robot, sortit calmement de la salle, avec ses deux trophées prisonniers de ces écharpes tentaculaires. L'androïde ne sut pas tout de suite ce qu'elle devait faire, rester dans la salle et terminer ses croquis de grille-pain futuriste ou suivre la gamine pot-de-peinture ? Le choix, une fois de plus inexpliqué, fut de jouer au stalker et de suivre ce kidnappeur awesome. Le démon en question dégageait une étrange aura mystérieuse et attirante, c'était sûrement pour ça qu'elle s'était décidée à le suivre, même si ce dernier ne semblait pas dénier un seul fuck à ce que la robotte reste derrière, prête à aller n'importe où pourvu que le démon y soit aussi...
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Alesana Odinglaz


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voices won’t go away, they stay for days and days


Cette salope avait eu de la chance que je lui sois tombé dessus dans un si petit espace sinon ça ferait longtemps qu'elle serait à mes pieds et coupé en deux! Une drôle de gamine, avec une coiffure me rappelant une barbe à papa écrasé dans un des coins les plus crade d'une fête foraine quelconque, se mis à nous faire la causette. Pff, inutile. Je zieute blondie, bien déterminée elle aussi à régler notre petit différent sur un ring bien plus grand cette fois, et m'apprête à donner congé sauf qu'au moment de tourner les talons je me sent soulevé dans les airs et me retrouve sans comprendre la tête en bas de nouveau face à cette fille ayant totalement changé d'expression. Mes envies de meurtre, d'étripage et autre barbecue humain s'évanouir tous d'un coup pendant que je fixais les yeux de la petite, comme hypnotisé par une force inconnue. Une aura terrifiante émanait d'elle; ça c'est sur, et je me calmais tout doucement tout en conservant mon masque d'indifférence, même la présence de blondie ne me faisait plus rien. Tandis que je croisais les bras et fermais les yeux en attendant qu'elle ne me libère je sentais vaguement mon corps bouger et lorsque j'ouvris à moitié mes paupières pour voir murs et fenêtres défiler devant moi et à l'envers bien sur. Je ne sais pas du tout où on allez et je m'en fichais royalement, tout ce que je voulais actuellement c'était de reposer mes pieds sur terre et d'enfoncer la tête de blondie dans cette même matière...


you better run, better run, better run, yeah I’m coming after you



Bon, c'est pas que je m'ennuis mais en fait si, je m'ennuis, je m'ennuis grave même. J'ai essayé à plusieurs reprise de défaire se truc noué à ma cheville mais rien n'y fait et ça me les brises bien. Un sifflement agacé plus tard et je choppe mon épée pour trancher cette saloperie et retombe sur mes pattes comme un félin avant de pointer ma lame sous le nez de cette chose rose bonbon que l'on appelle fille. Sérieuse au départ je me met rapidement à sourire et sectionne d'un coup de chainsword le lien retenant ma chère et tendre blondie puis range ma lame après l'avoir libéré, me voyant plus comme son chevalier servant que son bourreau à l'heure actuelle. Hehe, quelle blague. Remarque, je serais le premier chevalier cannibale de sexe féminin, c'est pas si mal je suppose. Me retenant d'éclater de rire en la voyant tomber sur le cul je redirige mon attention vers le petit être à la chevelure colorées et plonge une nouvelle fois mon regard dans le sien. Un bleu envoûtant presque aussi appétissant que les pupilles de ma blonde, néanmoins il y à un je ne sais quoi chez cette fillette qui me met mal à l'aise et qui m'empêche de m'imaginer la torturer de toutes les manières les plus folles et imaginables. C'est tellement... frustrant! Et bizarrement ça ne me donne même pas envie de la cogner, seigneur, serais je malade? J'espère bien parce que si ça m'arrive avec quelqu'un d'autre que cette gonzesse je risque de mettre un terme à ma carrière de chevalier cannibale alors que je ne l'ai même pas encore démarré.


what should my next weapon be?


Je me retourne un instant en entendant des bruits de pas et remarque une autre fille aux cheveux décolorés, décidément c'est la journée ou quoi? Il y à quelques chose qui me plais beaucoup chez elle par contre, ses yeux bicolores, c'est bien la première fois que je rencontre quelqu'un atteint d’hétérochromie, comme c'est excitant. Et pourtant je ne ressent pas le besoin urgent d'empoigner mon épée et de lui sauter à la gorge... Bordel, je suis réellement malade. Je suis sure que c'est à cause de ce foutu câlin collectif forcé de tout à l'heure et j'ai du choppé les microbes d'un de ces sacs à viandes non vaccinés. Eh bien, l'appétit vient en mangeant n'est ce pas? Peu être que le goût du massacre reviendra lorsque je lui aurais fait bouffer mon épée par la voie anale? Il n'y à qu'un seul moyen de le savoir et c'est de le faire, j'approche de Getero en palpant la garde de ma chainsword, prête à l'empaler comme une baleine par un harpon mais me stop à mi chemin. Cette fille... Je me rue sur elle pour l'acculer contre un mur, collant presque mon nez au sien pour la détailler attentivement dans un silence des plus troublants. J'hume son parfum et recule d'un pas : aucune effluve de sang, cette nana n'est pas humaine pas étonnant que ma rage meurtrier soit si calme quand je la vois. Ses yeux m'intéresse d'un seul coup bien moins qu'au départ maintenant que je sais qu'ils ne sont point organique. Après m'être fait un telle fausse joie je me retourne vers blondie et miss rainbow en marmonnant des paroles sans.


just sit down, rest with me


- Ne jamais faire confiance aux machines qu'elle disait ma mère. Saletée de Getero qui me trompe avec ses beaux yeux et son coeur de fer, bordel... Qu'est ce que vous regardez vous?
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