Durzo sentait le vent frais lui caresser la nuque, un léger frisson parcouru son corps. Il fit quelque pas pour se dégourdir les jambes, puis finalement se rassit sur un rocher. Cela faisait environ 3 quarts d’heure qu’il attendait.

Mais qu’est-ce qu’il lui avait pris de venir deux heures à l’avance ? Etait-ce l’excitation de cette nouvelle mission ? Nan… Rechercher un chaudron dans un manoir avec des fantômes farceurs n’avait rien d’excitant ; c’était même plutôt chiant.

Peut être était-ce parce que la petite Lily leur avait dit de se presser ? Peut être pensait-il qu’il y aurait un trésor dans le manoir comme dans les conte de fée ? Ou alors son envie de tout contrôler, de connaître le terrain ? Durzo n’avait pas de réponse. Il se remit alors à marcher, c’est alors qu’il commença à pleuvoir. Durzo courut se cacher sous la cime des arbres. Il ne manquait plus que ça se dit-il, il fallait qu’une averse lui tombe dessus !

Durzo s’allongea, faire un petit somme l’aiderait peut être a passez le temps. Malheureusement, 15 minute plus tard, il se réveilla en sursaut, juste à temps pour vois un petit fantôme s’emparer de Châtiment, son épée.

La, s’en était vraiment de trop, rouge de colère, Durzo se mit a la poursuite du petit fantôme sous une pluie torrentiel. Ce dernier tournait en rond autour du manoir en brandissant l’épée tout en hurlant de rire. Ce fantôme avait vraiment un don pour énerver Durzo. Il avait touché le point sensible, car personne ne devait toucher à Châtiment, sous peine de se faire raccourcir d’une tête.

Mais Durzo savait qu’un bonne épéiste devait garder son calme, il fit donc le vide dans son esprit. Puis cria tout à coup au fantôme :

« Je ne veux pas te faire de mal, rend moi mon épée s’il te plait. »

Le fantôme ne parut pas l’entendre, mais soudain il se retourna, un large sourire sur son visage, il lui répondit :

« Hihihihihi ! Je te la redonnerais à une seul condition : tu dois faire ce que te demande mes frères et moi hihihihihihihihihihi ! Alors peut être nous te redonneront ton arme hihihihihihihi !»

Durzo réfléchissait, qu’est-ce que c’est fantôme allait lui faire faire ? C’était vraiment bizarre, mais il était obligé de répondre à leur exigence s’il voulait revoir un jour son épée fétiche.

« J’accepte vos condition. » Dit-il d’une vois résigner.

« Youpiiiii ! Les amis, j’ai trouvé un nouveau camarade de jeu ! »

Durzo savait que ça allait mal ce passé, rien qu’à voir cette bande de rigolos cela lui mettait les nerfs à vif. Ce qui l’énervait encore c’est qu’il allait devoir leur obéir ! Il les regarda alors, ils étaient tous regrouper autour de l’autre petit fantôme et l’écoutaient attentivement. Quelque fois l’un d’eux éclatait de rire.

Puis, ils se tournèrent vers lui, un par un en pouffant de rire. Ils avaient apparemment décidé de ce qu’il allait faire de lui.

Le petit fantôme qui semblait être en quelque sorte leur chef lui dit en se retenant de hurler de rire :

« Tu vas devoir tous nous retrouver ! Tu compte jusqu'à 100 et après tu nous cherche ! »


1 heure plus tard, ils étaient tous réunit autour d’un bon feu que Durzo avait allumé un peu plus tôt. Il était trempé jusqu’au os et en avait vraiment ars le bol ; pourquoi avait-il fallut qu’il y en ait un qui se cache au fond de l’étang ! Ces fantômes était vraiment des imbéciles finit. Les fantômes, toujours péter de rire se réunirent et lui tendirent son épée :

« Merci a toi mon ami hihihihihihi ! C’était vraiment très marrant hihihihihihihi ! »

‘’Mon ami’’ Durzo était vraiment consterné, parce qu’en plus ils le prenaient pour leur amis ? Durzo afficha quand même un sourire niait pour leur faire plaisir tout en rengainant son épée. Il venait de repensé a sa mission, c’était le moment de soutirer des informations. Il prit une grande inspiration et leur demanda :

« Mes amis ! J’ai une demande à vous faire. Car voyez vous, je sais qu’il y a quelque temps, une sorcière a perdu son chaudron ici. Et voyez vous j’aimerais le retrouver pour le lui redonnez. Alors pourriez-vous me dire ou il se trouve ? »

Il y eut un silence, la peur se lisait dans les yeux des petits fantômes. Voyant qu’il avait fait une connerie, Durzo essaya de leur parler, mais ils se mirent tout a coup à crier :

« Sorcière ? Ahhhhhhhhhhh ! »

Et ils se mirent tout à coup à partirent dans tous les sens. Apparemment le mot « sorcière » leur avait fichu la trouille. Il ne restait que le petit fantôme qui était la, les yeux dans le vague.

« Euh… Petit, tu peux me le dire » Dit Durzo aussi amicalement que possible

« Der…dernier étage… »Réussit à articuler le fantôme.

Puis il s’en alla en hurlant de peur rejoindre les autres qui étaient caché dans les bois. Bon, cette petite v=bande d’hystérique avait au moins servit a quelque chose, il savait que le chaudron se trouver au dernier étage, un peu vague mais sa lui éviterais de chercher dans les autres étages.

Maintenant il ne lui restait plus qu’a attendre Zento, il était presque l’heure.



Hrp: dsl si sa vous parait con ce que j'ai écrit, mais je savait pas quoi faire .....

Zento... Quelle Homme Indigne de Confiance... Il avait véritablement tout prévu... Ou bien peut-être est-ce parce qu'il connaissait parfaitement bien son Gardien. Zento avait donné Rendez-vous à son gardien à quatorze heure, mais il savait pertinemment que Durzo viendrait plus tôt que prévu au Rendez-vous. Alors Zento pour monter un coup à son bon ami le Gardien Durzo Blint, il décida de venir à onze heure du matin. Dans un manoir remplie de fantome qui n'ont qu'une envie, vous faire chier, Zento n'allait qu'avoir l'embarra du choix pour choisir quelle Châtiment il infligés à Durzo, son bon gardien...

Il était donc onze heure, et comme prévue, le sorcier mal attentionné alla au manoir de la petite Lily.
Zento était finalement arrivé devant le manoir, et il l'observât attentivement, et même si il l'eut pensé, nous pouvions entendre cela: ''Qu'est-ce-que je vais bien pouvoirs lui faire''. Et bien la réponse ne tardât pas à se présenter à lui. Soudain un petit groupe de fantôme se pointa devant Zento et ses yeux s'illumina. Le petit groupe n'avait pas l'air des plus amicale, mais Zento voulait les appréhender pour pouvoirs jouer un mauvais tour à son Gardien. Les fantôme se mirent alors à encercler le sorcier, et l'un de prit la parole:

-Hiiii Hiiii Toi Joue avec nous!!!

-Euhhh Jsais pas.... Uè essaye de voir avec ta soeur pour voir si elle elle veut bien....

-Non Non Je te veux toi!! Hiiii Hiiiii

-Créve débile. C'est moi qui ai besoin de vous!

-Nous ne te feront rien, si tu ne nous fait rien, dit le Fantôme d'un air négociateur.

-Pardon, répondit Zento, Comment ça ?

-Enfin non, répondit le fantôme, je voulais pas dire ça.

-Trêve de bavardage, si vous voulez vous battre, allez y, si vous voulez que je vous abatte dite le moi, mais arrêtons de discuter. De plus se que je vais vous proposez va vous intérrésez. Vous allez bien rigolez. En faite, dans quelque heure un mec va se pointer. Il à un air ringard, il est moche, il est bête et ces mon gardien... Il à une épée, elle représente tout son mode de combat. Si vous lui piquez, il ferra tout ce que vous désirez, tout! Et si jamais vous n'y arrivez pas, je vous aiderez avec l'un de mes pouvoirs, qui me permet de me rendre invisible. Alors sa marche les gars?

-Oui, répondirent tout les fantômes en s'envolant dans les airs.

Zento ne devait donc pas être vu pas Durzo pour que sont plans marche. Il alla alors se perchait sur un arbre, mais le côté lunatique de Zento le remporta encore une fois, et il passa de l'arbre, au toit du manoir.

Le temps passa, et voilà qu'un Homme qui se tenait droit, à peu près fière de lui. Cet homme avançait lentement. Zento claqua des doigts, et sur son visage, d'un coup apparut un sourire. Le claquement de doigts avait put se faire entendre des Fantôme, mais ne put être audible pour Durzo. C'est alors qu'un Fantôme apparut. Zento, lui dit d'attendre le moment où il ne sera pas en mesure de se défendre, et c'est à ce moment que vous lui grillerais son arme.

Ce moment ne tardât pas