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 There's no use trying, one can't believe impossible things. [Blood D. Walter]

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Havelock


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MessageSujet: There's no use trying, one can't believe impossible things. [Blood D. Walter] There's no use trying, one can't believe impossible things. [Blood D. Walter] EmptyLun 13 Sep - 5:54

There's no use trying, one can't believe impossible things. [Blood D. Walter] Bookb




Une ombre se déplaçait dans les couloirs, couverture de velours noir qui glissait avec aisance et silence sur les tapis rouges qui couvraient les allées du château. Une ombre discrète et rapide, mais incroyablement sombre, laissant émaner une aura qui terrifiait les gardes et les forçaient à la laisser passer. Certains croyaient à un esprit maléfique, d’autres simplement le fruit de l’imagination de ceux qui l’Avaient vus, provoqué par le manque de sommeil et l’Ambiance lugubre du château médiéval éclairé que par des bougies. Cette ombre, forme circulaire d’un noir d’ébène glissait sur le plancher et les murs, se faufilant sous les portes jusqu’à arriver dans la bibliothèque du château. Les rangés de livres et de grimoires, cette forêt de pages qui s’étendais sur des acres et des acres, soigneusement enfermée dans une sous dimension délimitée par les murs de la salle, démontrant la puissance des magique des maîtres du château. L’ombre s’étira, formant une silhouette masculine qui reprenait sa forme originelle rapidement. Un homme plutôt grand, portant un manteau, un chapeau et un masque, dont les longs cheveux rougeâtres rendaient facilement identifiable : le sorcier de l’aigle, Cross Marian. Il avait atteint la bibliothèque juste a temps, le sort jeté par son acolyte qui lui permettait de se déplacer sous l’apparence de ténèbres s’était dissipé juste au moment où il entrait dans la salle qu’il recherchait. Il se mit à marcher dans les rangées d’étagères après avoir réquisitionné une lanterne sur un bureau. Après avoir allumé la mèche, il se mit à scruter les titres des livres. Grimoires, livres de recettes, Encyclopédies de faunes et flore magique, Comment invoquer un Esprit Frappeur pour les Apprentis… Arrivant à la fin d’une rangée, juste au moment de passer à la suivante, il remarqua une petite plaque dorée sur l’étagère qui indiquait la catégorie de livre qu’elle contenait. Il se félicita d’Avoir trouvé cette astuce maintenant et non après des heures de recherches inutiles… après tout cette bibliothèque faisait bien des kilomètres carrés et des kilomètres carrés de superficie. Il mit bien trois heures a`trouver la rangée qu’il désirait et un sourire vint animer ses lèvres alors qu’il s’introduisait entre les deux étagères de la section "Chroniques". Les étagères de cette allée s’étiraient sur une distance incroyable, séparées par de petites plaques de bronze qui illustraient l’année, ou plutôt, le siècle auquel les ouvrages étaient reliés.

C’est après plusieurs autres heures de marche que notre Sorcier arriva devant l’étagère qu’il recherchait : celle qui englobait les livres datés d’il y a plus ou moins huit cent ans. Il y avait tout! Des livres détaillés sur Shinigami et ses Guerriers, la création des armes démoniaques, les Sorcières importantes de ces années… et c’Est le livre qu’il prit : Sorcières Répertoriées en XXXX. Un nouveau sourire vint animer ses lèvres alors qu’il se remit à marcher, pendant un long moment encore… Il doit avoir passé trois jours en tout dans cette bibliothèque sans se lasser, sans émettre un seul son autre que l’écho de ses pas qui mourrait lentement dans l’océan de livres. Il arriva à la fin de la rangée des Chroniques et étira le bras vers le dernier ouvrage de l’étagères : Sorcières répertoriées en YYYY, soit celles de l’époque actuelle. Il tira un tabouret placé près d’une étagère à lui et s’y assit. Les livres se placèrent devant lui, en apesanteur, et, d’un mouvement de main de la part de Cross, ils s’ouvrirent, trouvant la première entrée identique… Mabaa. Inutile, un autre mouvement de main. La dernière des sœurs Gorgone… Non, il l’Avait rencontrée une fois et il la détestait sans même lui avoir parlé plus de cinq minutes… Toujours a vouloir tout contrôler et prête à mettre la discorde partout où elle va comme la vipère qu’elle est… Mouvement de main, les pages se tournent… puis un autre mouvement de main en sens inverse et les pages reviennent à la sorcière du serpent… Une petite note comme quoi elle semble être la seule des trois Gorgones encore vivante ou active à ce jour alors que dans l’édition ancienne, il est stipulé qu’au moins deux des sœurs étaient actives et que l’une d’elle était ennemi public numéro un…

Il remit le livre récent à sa place et fit un signe du doigt à l’ancien de retourner à sa place. L’espace autour du sorcier se tordit et s’étira alors que dans un tourbillon flou il revenait à la section d’il y a 800 ans. Il replaça le livre dans l’Espace vide et se mit a chercher hâtivement un autre titre qu’il trouve rapidement : Les Sœurs Gorgone. Il ouvrit le livre et parcouru les pages à vive allure avant de tirer une moue déçue et refermer le livre… et l’ouvrir a nouveau. Sur la dernière page, il y avait cette simple phrase : "Leurs parents demeurent inconnus". Il posa sa main sur l’étagère, sur le bois de l’une des tablettes.


"Gorgone."

Encore une fois, l’espace se mit à tourbillonner et, devant lui se trouvaient des montagnes de livres, classés par date. Tous ces livres mentionnaient au moins une fois le mot "Gorgone" dans leurs pages. Cross prit le premier, un vieux grimoire poussiéreux dont le titre était écrit en lettres dorées sur la couverture de cuir "Légendes de Sorcières" qui s’ouvrit plus ou moins en son centre. Le titre de la légende était écrit en rouge vif et décoré d’un papillon. "Blood G. Gorgone". C’est après plusieurs heures de lectures et de recherche dans cette bibliothèque magique qu’il s’assit, rigolant de satisfaction en s’Allumant une cigarette.

"Il était temps!"

Il n’eut pas le temps d’apprécier son tabac, une horde de gardes avaient fait irruption dans l’allée où il se trouvait, arrivant en criant à l’intrus. Cross se leva, dégaina son pistolet et tira quelques coups avant de se changer en aigle et de sortir de cet enfer de papier en brisant une fenêtre. Sa destination? L’Irlande.

S’éloignant des villes, des banlieues, des villages, des campagnes, des champs et se dirigeant vers les montagnes et leurs forêts, s’Avançant toujours un peu plus loin, regardant devant lui en se concentrant sur ce qu’il venait chercher. Il ne remarquait pas que, plus il s’enfonçait dans la forêt, plus il y avait de papillons bleus… Ce qu’il remarqua par contre, c’est qu’à un certain moment, il y avait tant de papillons, dans de battements d’ailes qu’il ne put que regarder autour de lui. Il y avait tellement d’ailes bleutées, tellement d’écailles d’insectes que les créatures ailées formaient carrément une arche cyan! Cross la traversa… puis ce fut noir…
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MessageSujet: Re: There's no use trying, one can't believe impossible things. [Blood D. Walter] There's no use trying, one can't believe impossible things. [Blood D. Walter] EmptySam 18 Sep - 20:24

C'était une journée bien banale pour le vieux jeune homme qu'était Blood. Une de ces journées sans autre intérêt que passer son temps à regarder les nuages, ou bien à fumer grâce à un narguilé d'étranges plantes dont seul le sorcier avait le secret pour faire pousser et pour les mélanger. Ainsi, allongé sur son cousin champignon géant, il regardait le ciel. Il était le milieu de la nuit. Ainsi, on pouvait observé que le sorcier se trouvait littéralement au milieu de la nuit. D'un coté, il y avait un soleil éclatant qui illuminé la partie gauche de son corps, et de l'autre coté c'était une pleine lune qui brillait dans le ciel. Durant ce grand moment d'action éclatante, d'étranges lettres de fumées s'élevaient. Blood chantonnait une étrange litanie. Cela faisait I N U R M, U N I R M, tout du moins d'après les lettres de fumée qui s'échappait de la bouche de l'énergumène. Son esprit était pourtant ailleurs... Il avait ajouté un peu de « cadeau des dieux », autrement dit énormément d'opium à son cocktail du jour... Il se rappelait des jours heureux avec sa femme, ou ses filles.
Oui, il était nostalgique, pourtant, ce plaisir se muait petit à petit en tristesse. Il se souvint pour son plus grand malheur de l'accouchement de sa femme, ou encore de la révélation sur la vraie nature de ses filles aux desseins incestueux. Pire encore, il revoyait ce sang invisible sur ses mains rougir et luire. Oui, le sang de millions d'innocents massacrés à travers le temps passé. Il était alors Blood G. Gorgone, la tornade écarlate, le porteur de mort, le pestiféré, le cavalier de l'apocalypse, ou bien encore le diable personnifié. Tant de noms, mais cela était bien normal, lorsque l'on a créé maladies et parasites tuant l'homme et que l'on prenait plaisir à mutiler le corps des vierges. A cause de ces agissements inhumains, on avait mutilait son passé de sage, à cause de sa faiblesse on avait jeté une nouvelle fois la pierre sur les druides et les mages. Avec pareil père, ses filles ne pouvaient devenir autre chose que des monstres à son image. Le pire dans cette histoire ne sont pas ses agissements, mais sa fuite en avant. En confinant sa vraie nature, et la faisant fermenter des siècles, rien ne pourra jamais s'arranger. Il devait domestiquer sa magie, c'est pourquoi il avait peu à peu reconvertit ses pouvoirs. Il n'était plus le maître d'insectes porteurs de mort comme le scolopendre, il était le maître de créatures porteuses de rêves comme le papillon. Ce n'était que le début de son combat, il faisait enfin face à lui même, même si il n'avait pas le choix. Après tout passer des centaines d'années enfermé dans son monde intérieur était d'un ennuie profond, c'est pourquoi il était forcé de s'occuper quelque soit la manière. Durant ces commentaires, l'esprit de Blood cessa de vagabonder, quelqu'un s'était approché. Depuis quelques temps ce petit monstre passait son temps à faire des farces aux habitants des îles britanniques, avec une préférence pour l'Irlande et sa superstition celte. Il se complaisait à jouer avec de pauvres gens, en évitant de les faire souffrir bien évidement, et en les laissant, une fois le jeu achevé, endormis sur le lieu où ils avaient disparus quelques heures. Qui était cette fois? Quelqu'un d'inhabituel apparemment, un être aux pouvoirs magiques semble-t-il. Cela éveilla l'esprit taquin et enfantin du pauvre Blood. Il était tout proche de la porte vers son monde: Le Wonderland.




Un miroir d'eau se forma devant l'étrange garçon albinos. On y voyait la victime errant dans la forêt. Cela allait-être des plus amusants, car confronter des personnes à des épreuves est pour ce sacripant comme regarder une émission télévisée qu'il supervise. Ainsi, où allait-il envoyé celui-là? Un menu classique avec le tunnel des souvenirs, une étranges porte et des hors-d'œuvres agrandisseurs ou réducteurs? Ou bien un menu personnalisée? La deuxième option était tellement plus tentante que l'ordinaire aventure raconté dans le roman de Blood. Non pas de Lewis Carrol dans cet univers, tout du moins officieusement. Quoiqu'il en soit, Blood choisit le menu personnalisé. Il fallait cependant aider ce jeunot à ne pas se rendre compte de la situation. C'est pourquoi les centaines de papillons qui l'entouraient, se mirent à laisser tomber une étrange poudre bleuté. Ces écailles en tel quantité allait lui faire perdre ses repaires et son jugement, donc rendre confus sa mémoire sur le lieu et comment il allait entrer au Wonderland. Tandis que tout se passait selon les désirs de ce petit machiavel, ce dernier remarqua le livre que portait le sorcier... Cela lui rappela quelques décennies passées, où il réussit à trouver un livre parlant de lui qu'il compléta un tout petit peu, pas trop bien sûr et où il ajouta son sigle proche de sa légende. Un petit papillon bien entendu. Si il avait fait cela, c'était afin que personnes n'oublie jamais ses crimes, que le Kishin avait éclipsait à cause de sa folie. Tiens, le rouquin semblait se tenir la tête? Il a peut-être des vertiges? Il faut dire inhaler une telle quantité de cette poudre peut-être mauvais pour la santé, déconseillé à la femme enceinte ou à l'enfant de moins de vingt mois. Je sais, je fais un peu d epub pour ce produit qui pourrait arriver sur le marché. Imaginez: vous êtes fatigué, vous revenez du travail et vos mômes se ruent sur vous tel des vautours sur une carcasses. C'est alors que vous sortez votre flacon spécial de poudre magique, avec elle vous planez sans avoir d'addiction ou bien d'effet secondaire. Ce serait génial, mais le problème est Shibusen et sa politique d'action envers les sorcières.
C'est ici la fin du délire ordinaire de ma narration, il est temps de passer aux délires de ce personnage. Le pauvre sorcier était tomber au milieu de la nuit dans une tempête. Une mer noire ne cessait de le pousser d'un bord de l'autre, et rien ne semblait pouvoir l'aider, c'est alors que... Un bateau se dessinait à l'horizon, un miracle? Non, le jeu avait à peine commençait pourquoi Blood en précipiterait la fin? Non, il fallait sauver l'homme à la mer. Pour cela un bateau mouche approcha. Oui, un bateau mouche. Vous ne me croyez pas? Qu'est-ce que cela vient faire ici en pleine mer? Et bien, c'est un bateau donc cela vogue sur l'eau. En ce qui concerne la particule mouche, prenait le au sens littéral. En effet, c'est bien une mouche géante qui approchait du jouet de Blood. Une belle grosse mouche dont les ailles servaient de voiles, ses pattes de gouvernail, ses poils de sièges et sa tête de barre. Qui était le capitaine de cet étrange navire? Et bien c'était un vieux loup de mer aux poils ras de couleur grise. Vous m'avez bien compris, c'était un loup avec une casquette de marin, une pipe et un perroquet sur l'épaule. Ce perroquet était un véritable béni-oui-oui, il répétait tout ce que disait le vieux capitaine en pire. On pouvait aussi appeler cela un lèche-bote, ou encore un fonctionnaire syndiqué. Il se plaint tout le temps, contredit les autres et argue tout le temps que le chef est le meilleur et qu'il a raison. Ce genre de petit être perfide d'une trentaine de centimètres avait aussi un diplôme d'avocat du diable, au cas où il devrait se recycler. La vie de perroquet n'est pas bien facile pour un bonhomme en smoking de petite taille qui est attaché au service d'un vieux marin. Quoiqu'il en soit, l'animal voyait un pauvre homme à la dérive et il hurla:


« Milles millions de sabords! Un flibustier de carnaval à la mer!

-Oui, un toquard à la mer! »
Répondit d'instinct le perroquet.

Il avait bien de la chance, c'était un véritable samaritain ce vieux loup, un véritable saint-pierre, sans pour autant être un poisson d'eau de mer. C'est pourquoi, on lui lança une corde avec un anneau de couleur fluo. Puis on le hissa jusque sur la pont du navire mouche. S'était-il noyait? Pas de panique, le vieux loup de mer avait son brevet de secourisme et surtout une boîte d'épinard. Ainsi, accompagné d'une musique absolument idiote, la boîte de conserver craqua et un affreux amas de feuilles vertes puantes et amères se fraya un chemin dans la gorge d'un sorcier apparemment peu consentant. Qui pourrait l'être avec de la verdure qui bougeait comme si elle était encore en vie? Ou toout du moins vivace, personnellement j'ai déjà eu un cas d'invasion de choux et je peux vous dire, que j'ai eu du mal à finir mon assiette sans vomir les tripes et boyaux servis avec. Quoiqu'il en soit, une fois le sorcier revigorer, le vieux loup de mer lui parla en ces mots élégant:

« Trompe-la-mort! Traîne potence! Pirate d'eau douce! Faux jeton à la sauce Tartare! Bougre de phénomène de moule à gaufres de tonnerre de Brest! Tu sais même pas nager aussi bien qu'un cornichon russe périmé!

-Que le grrrand crrric te crrroque pour avoir embêter le grand capitaine Haddoc!

-Il suffit perroquet bavard! Je vais te déposer un peu plus loin, accroche toi à un poil! »


C'est ainsi qu'un pauvre sorcier fut secouru par un vieux loup de mer à pipe, un étrange perroquet et un bateau mouche, alors qu'il y avait une immense tempête. Au final, le pauvre homme se retrouva envoyé par un immense coup de pied dans le derrière sur une plage de sable fin où la maré ne cessait de monter et de descendre. Au milieu de cette plage, des autochtones dansaient avec un feu au centre qui s'éteignait à chaque fois et se ravivait avec l'eau de la mer. Un étrange chanteur rythmait tout ce beau monde, c'était un oiseau bavard qui volait un peu plus haut. Quoiqu'il en soit, il fallait laisser le temps à ce jouet d'amuser un peu Blood par ses actions.
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Havelock


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MessageSujet: Re: There's no use trying, one can't believe impossible things. [Blood D. Walter] There's no use trying, one can't believe impossible things. [Blood D. Walter] EmptyJeu 9 Déc - 5:45

Il était debout. Debout dans une salle noire. Une immense salle noire. Si grande qu’on n’en voyait pas les murs ou le plafond. Il marchait mais ses pieds n’émettaient aucun bruit au contact du sol. Pourtant il le sentait ce sol! Totalement noir. Pas une goutte de lumière. Pourtant, il voyait son corps, ses vêtements, ses cheveux bien en couleurs, comme en plein jour! Mais rien autour. Il était étrangement calme par contre… Il faut dire que, si l’on était prêt à poursuivre une légende, il fallait s’attendre à l’inattendu ou du moins, jusqu’à un certain degré. Il glissa sa main dans sa poche et en sortit sa boîte d’allumettes. Il en prit une, fourra la boite dans sa poche et alluma le bout de bois d’un bon coup de l’ongle de son pouce. Il y eut le craquement, le cliquetis et la flamme mais une absence d’écho. Une onde sonore rebondit sur le sol, le plafond et les murs, c’est ce qui produit un écho. Mais l’absence d’écho confirmait ce que le sorcier pensait : il n’Y avait ni murs, ni plafond, ni plancher. La lumière de la flamme le prouvait aussi puisqu’elle ne formait aucun halo lumineux autour de l’homme aux longs cheveux rouges. Il la souffla et la jeta d’une pichenette. Il ne la vit jamais toucher le sol. Où était-il?

Un son se fit entendre, faible, mais audible. Un froissement, un bruissement. Il s’approchait, lentement, certes, mais approchait. Le sorcier tourna son corps vers la provenance du son mais il ne voyait rien. Pourtant ce son se rapprochait de plus en plus et ce qui produisait ce bruit serait bientôt ici. Il se rapprochait encore et encore et au moment où Cross réalisa quel était ce bruit, un mur glacé le percuta. Il ne pouvait pas respirer et il était balancé de tous les côtés comme une poupée de chiffon. De l’eau! Il était sous l’eau! Une eau froide et sombre qui le malmenait! Mais avant de se demander comment une vague avait bien pu lui mettre une raclée, il devait faire surface avant de se noyer! En brisant la surface de l’eau, il put admirer un ciel presque aussi sombre que l’océan dans lequel il se trouvait, des vents violents venant de tous les sens, de la pluie qui fouettait la peau, des éclairs aveuglants et un tonnerre à briser les tympans. Ce qui était le plus fantastique dans tout ça était le fait que son chapeau était toujours sur sa tête!

Il y eut un bruit de vrombissement et un cercle d’une couleur bien singulière tomba sur l’eau devant lui. Il l’agrippa. Lorsque vous vous retrouvez soudainement au centre d’une tempête en plein océan alors que trois minutes plus tôt vous marchiez dans une forêt en montagne, vous aussi vous seriez prêts à prendre tout ce qui pourrait vous être utile, surtout si c’est un anneau fluo. Il fut hissé hors de l’eau et se retrouva comme paralysé sur le navire… la mouche géante… Il était sur le dos, sans pouvoir bouger, ne pouvant qu’admirer les personnages grotesques qui l’avaient sorti de l’abîme glacial. Leur embarcation était bien originale mais disons que le loup marin et le perroquet saoulant étaient plus intéressants pour le moment. Sa paralysie disparue lorsqu’une masse verte et visqueuse viola sa bouche et il se releva d’un bon en crachant la substance nauséabonde. Ayant envie d’en coller une entre les yeux du loup, il s’apprêtait à sortir son pistolet quand la mouche démarra. Il s’accrocha juste à temps à un poil avant d’être projeté à nouveau dans cette mer peut accueillante. Tout se passa si rapidement. Il était sur une plage, une douleur aigue au coccyx et devant des indigènes qui dansaient…

C’était trop déjanté pour que ce soit un rêve. Surtout que ses rêves gravitaient toujours autour de son enfance et qu’il les détestait… C’était trop réel et surtout, trop douloureux pour être une illusion… Qu’était donc ce monde? Une dimension alternative? Où est-ce que ces papillons dégageaient une drogue tout à l’heure? … Peut-être était-ce un monde magique? Dans ce cas, son créateur devait être aussi dérangé qu’Asura… ou peut-être avait-il un surplus d’imagination. En tout cas, chapeau, cet univers était à la fois horrible et magnifique et rendrait fou la plupart des gens normaux. Cross se mit à marcher, presque étonné que ses vêtements soient secs. Presque parce que bon, pour battre ce qu’il avait vécu jusqu’à maintenant dans le domaine de l’inusité, il allait falloir faire fort. Il ignora les sauvages avec leur moineau jacassant, cherchant un chemin quelconque. Un mince sourire se dessina sur son visage.


"J’accepte votre défi, mon cher."

Il se savait observé. En toute logique, pour que quelqu’un se donne le mal de créer un monde comme celui-là, qu’il y plonge un sorcier de force et envoie un personnage le sauver, le Maître de cet échiquier gardait un œil sur les pièces adverses. Surtout que ce genre de personnes aime souvent voir de quelles manières leurs victimes vont se sortir de leurs situations loufoques. La partie ne faisait que commencer, il était trop tôt pour crier Échec et Mat.

Hors Jeu : Je sais, je sais. J'ai mis du temps à répondre. Je te garantis que les prochains messages se feront rapidement.
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MessageSujet: Re: There's no use trying, one can't believe impossible things. [Blood D. Walter] There's no use trying, one can't believe impossible things. [Blood D. Walter] EmptySam 15 Jan - 10:59

Tiens, tiens? Un client intéressant se présentait dans ce monde de démence. Il n'allait pas être déçu du voyage. Il comptait très certainement trouver Blood. Ce dernier fumait ses substances illicites en riant bêtement devant la vision de sa proie et en imaginant de nombreuses et étranges situations. Il ne savait pas que sa proie était un sorcier. Non, il ne pouvait pas savoir dans cet état déplorable qu'en fasse de lui se trouvait un être fou au même titre que lui, mais dans un autre sens. Tout d'un coup son regard brilla se façon malsaine et en quelques gestes de sa part le décor fut discrètement modifié. Auparavant la plage se perdait dans l'horizon, mais avait tout de même une limite. Désormais ce n'était plus une simple plage de sable fin, mais un immense désert avec trois soleils! Pas un, pas deux, mais TROIS! La température monta brusquement et sécha la victime. Il faisait au moins soixante degrés... Pas d'ombres, pas d'eau, pas de vies... Les simples petits dunes et collines que l'on rencontre couramment sur les plages devinrent de gigantesques arrêtes qui se formaient et s'écroulaient au fil du vent et du temps. Au-delà de cela il fallait faire attention aux multiples sables stagnants. Oui, contrairement aux sables mouvants, les sables stagnant vous englue et c'est tout. Oui au lieu de vous avaler, le sable stagnant se colle à vous et vous empêche de bouger. Quelque part c'est assez proche de la super-glu... En pire bien entendu. Bon, quoiqu'il en soit la marche sera longue, longue et très longue. Après tout sous ces trois soleils le temps passe de façon étrangement longue. Durant tout ce temps d'ailleurs on pouvait voir un rouquin suant à grosse gouttes... Il serait très amusant de changer un peu sa tenue pour se moquer de lui ne pensez-vous pas? En tout cas c'est ce que voulait faire Blood. Il riait comme un petit garçon dément.


Alors que le pauvre sorcier avait cligné des yeux un seul instant, ses vêtements avaient changé. Désormais il portait une tenue coloniale assez classique et toute blanche avec bien entendu ce chapeau blanc tout aussi ridicule. Il aura moins chaud c'est sûr, mais il va attraper des coups de soleil aussi. Dès que la victime se rendit compte du relookage instantané, Blood ne put contenir ses rire qui le firent pleurer. Bon, la traversée s'éternisait et cela devenait ennuyant... C'est alors que le vilain petit garçon décida de faire tomber la nuit d'un coup. Ainsi comme on change un décor de théâtre, Blood changea le ciel. Tout d'un coup il fit froid... Enfin c'est ce qui devrait se passer normalement dans un désert. Au contraire, ici la température augmenta encore de dix degrés. Si cela continue il finira cuit. En parlant de cela. Un oiseau survolait la zone au même instant, il était complétement fou de s'aventurer ici. En effet, au bout de quelques minutes il se retrouva rôti et tomba sur le sorcier. Il devait avoir faim le bougre. Il allait donc pouvoir manger un délicieux poulet rôti qui marche sur ses cuisses et qui court très vite. Ce dernier n'avait plus sa tête, pourtant ne se retournant il vit son potentiel ogre. Il prit donc la fuite. Il s'en suivit très certainement une course poursuite pour la survie. Oui, pour la survie car le poulet le conduisit à une oasis de sirop de canne. Il y a un problème dans le script? Non, le pire c'est que c'est bien cela. Il y avait de nombreux animaux et plantes autour, ce qui pouvait faire penser à une oasis. Cependant boire ce truc va donner encore plus soif. En plus l'état visqueux et luisant de ce sirop marron n'inspirait guère confiance. Quoiqu'il en soit, le chemin était encore long pour sortir de la très longue plage de sable blanc du wonderland. En gros, il suffisait de sortir de l'oasis pour se retrouver dans une forêt épaisse et sombre. Non, mais qui a pondu un truc pareil? Même pas de changement climatique influençant la faune et la flore? Non, on passe de soixante-dix degrés à vingt-cinq comme cela d'un coup. Il va attraper froid le pauvre petit gars tout suant. Heureusement Blood avait pensé à tout. Oui, il avait déjà séché et changé Cross qui sentait le jasmin. Il empestait plutôt. L'odeur était trop forte, vite un masque à gaz! Je me sens mieux. J'ai entendu un bruit dans les arbres... C'est inquiétant... Il y a quelque chose qui émerge... Oh! Mon Dieu! On dirait une tribut d'ours en peluche. Paix à l'âme de ce sorcier. Je vais mettre des bouchons dans les oreilles. Ils vont se mettre à chanter pour le charmer.





Une lessive douce
Que me faisait ma maman
En suçant mon pouce
J'écoutais en m'endormant

Cette lessive douce
Je veux la faire pour toi
Car ta peau est douce
Comme la mousse des bois

Une lessive douce
Pour tous les petits enfants
Une lessive douce
Que me faisait ma maman




Cross ne pouvait-être que dans un état second en écoutant pareil ineptie, pourtant ces nounours avaient un pouvoir unique. Ils étaient un peu comme les sirènes de l'Odyssée capable de vous laver le cerveau avec leur lessive magique. En effet, tandis qu'ils chantaient un petit insecte s'est rendu dans la tête du sorcier avec sa lessive. Il a donc bien lavé le cerveau de Cross qui aura bien du mal à s'en remettre tout de suite. Le pire était encore à venir... Une fois bien chaos, les nounours sortaient leurs crocs. Leurs yeux devenaient rouges, leurs griffes devenaient noires et aiguisées et de la bave coulait de leurs bouches. Ils avaient la rage de vivre. Je sais, c'est pas génial comme jeu de mot, mais c'est une maladie imaginaire qui donne une envie irrépressible de se nourrir de chair humaine et décuple la force des malades, en plus d'avoir les mêmes caractéristique que la rage. Je pense que tout le mon s'en fout, à part peut-être ce pauvre sorcier qui allaient devoir lutter avec son cerveau ramolli. Avant d'attaquer ces petits monstres doux sortirent une guitare électrique, une batterie et tout un arsenal pour monter une scène de concert de métal satanique.


Une fois bien prêts avec les tests sons achevés, ils mirent à chanter du khorne. Un truc pas terrible dans la bouche des nounours qui voulaient tenter un éventuel sacrifice rituel sur du métal. Il est vraiment complétement shooté le Blood. C'est vrai quoi, comment on peut sortir des trucs pareils? Le pire, c'est qu'ils étaient une dizaine de ces trucs super rapides. On dirait presque des gremlims. Bon, dans tout les cas, la musique allait un peu réveiller Cross. Il faut dire que se prendre je ne sais pas combien de kilowatts dans la tête... Bon quoiqu'il en soit je vais censurer ce passage, c'est à l'autre de l'écrire non mais. Je n'ai pas envie de décrire une sorte de combat à la mord moi le nœud, à la noix, à la con même! En plus les nounours ont une bave acide? C'est Blood qui est sous acide! Regardez moi cette loque sur son canapé champignon en train de se droguer devant un miroir d'eau magique. Il n'y a pas de problème? Si c'est cela, une fois ce spectacle terminé, le matériel cassé et tout ces nounours en miettes... Enfin j'espère... Une sortie miraculeuse apparut. Bien fait pour toi Blood. En effet les arbres s'écartèrent et un chemin conduisant au maître des lieux se dessinait. C'est assez kitch... On dirait un peu le magicien d'Oz. J'ai l'impression que l'on n'est pas près de la fin. Entre le sorcier psychotique et le sorcier junkie, j'ai l'impression d'être dans un film parodiant les cités comme le font les américains. J'y peux rien, c'est ainsi, je suis un narretur maudit.


[Je suis en retard et c'est pas génial, désolé.]
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Havelock


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Havelock




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MessageSujet: Re: There's no use trying, one can't believe impossible things. [Blood D. Walter] There's no use trying, one can't believe impossible things. [Blood D. Walter] EmptyMar 22 Fév - 7:42

Cette plage ne finissait jamais ou quoi ? Il marchait bien depuis dix minutes et ne semblait arriver nulle part. L’homme masqué se retourna après avoir ressentit un frisson. Pas un frisson qui vous envoie une sensation de froid dans tous le corps, mais un frisson chaud et brûlant annonçant une situation décourageante. En effet, en se retournant, il faillit se rendre aveugle. Trois soleils qui le bombardaient de leur lumière comme s’ils auraient été des tireurs de sulfateuse. Une lumière accompagnée d’une chaleur aussi transperçante qu’une rapière. Lui qui revenait du Sahara et qu’il trouvait qu’il y faisait chaud… Il sentait qu’il allait peut-être regretter d’avoir accepté ce défi dans un futur proche… Mais pas maintenant. Cross se mit à marcher, que pouvait-il faire d’autre? Le sable s’étendait à perte de vue… ce n’était plus une plage mais un désert. Un enfer de sable et de désolation qui s’étirait au-delà de l ‘horizon dans toutes les directions. Cross déteste le sable. C’est rugueux, irritant et ça trouve le moyen d’entrer partout. Il se déplaçait, sans but pour le moment puisque tout ce qu’il voyait n’était qu’un océan de dunes. Sortir d’une mer humide et glacée pour tomber sur un océan sec et bouillant… Puis ses vêtements changèrent d’apparence par eux-mêmes! Mais c’était quoi ce bordel? Cross se passa une main sur le visage, un air irrité et découragé au visage… Quand il allait trouver le maître des lieux, il allait probablement lui offrir un sandwich aux jointures pour l’humilier de la sorte… au moins personne ne le voyait et il ne perdrait donc aucune crédibilité… enfin c’est ce qu’il espérait.

Et comme le créateur de ce monde loufoque ne semble pas aimer les transitions, la nuit tomba aussi durement qu’un marteau sur une enclume. Puisque pour le moment, tout était contradictoire d’une certaine manière, Cross ne fut pas vraiment surpris de sentir la température monter encore plus… Il s’essuya le front du revers de la main et se remit à marcher… jusqu’à ce qu’un poulet lui tombe sur la tête en tout cas. De la nourriture! Finalement, le Maître du Jeu n’était pas un sadique… enfin, pas trop… puisqu’il donnait de la bouffe à ses adversaires. Le Magicien n’aurait pas craché sur une boite d’épinards du vieux loup de mer en ce moment. Il avait si faim qu’il aurait avalé le truc puant sans même savoir si c’était réellement comestible, tant que quelque chose lui entrait dans l’estomac. Il s’approcha du poulet… et celui-ci se mit à courir. Imaginez la gueule découragée du sorcier (=3=) qui doit courir après une volaille grillée en plein désert. Quand il réussit enfin à sauter sur le poulet pour lui arracher une cuisse, il remarqua que le piaf l’avait conduit à une oasis. Il devait y avoir de l’eau puisqu’il y avait de la végétation! Cross trouva rapidement l’étang et faillit y plonger. Faillit parce qu’il avait bien remarqué que ce n’était pas de l’eau mais bien un sirop épais brunâtre… Il se retourna, s’apprêtant à retourner errer dans le désert et… encore une fois, un changement radical sans transition. Une forêt!

Une odeur piquante tellement elle était forte vint agresser ses narines et une musique grotesque et repoussante ses oreilles. Sans oublier la migraine soudaine qui s’empara de lui et l’empêcha de bouger. Que se passait-il bon sang?! Quelques secondes de vision claire puis lui dévoiler ses agresseurs : de puissants, violents… ours en peluches… carnivores… sataniques… et metalleux… Le Maître du Jeu voulait probablement lui faire exploser le cerveau ou quelque chose comme ça avec une idée comme celle-ci… Une onde de choc sonore produite par un accord suivit d’un solo endiablé, de riffs de basse violents, de sur-abus percussions et de chant diaboliques envoya Cross valser quelques mètres plus loin. Il se releva rapidement. La Migraine était toujours là mais sa vision était claire et il pouvait bouger et il était à peu près temps! Les petits monstres attaquaient !


"Au diable! Soul Protect désactivé!"

Cross claqua des doigts et des étincelles vertes et violettes jaillirent d’entre ses doigts. Ses vêtements reprirent leur apparence originale, son lourd pistolet apparut dans sa main et Cross le fit tournoyer comme Revolver Ocelot dans Metal Gear et il replaça son chapeau sur son crâne avant d’envoyer des salves de balles magiques à ses attaquants. Il n’arrêta que lorsque la scène improvisée fut en pièces et qu’il ne reste des oursons que du duvet virevoltant dans tous les sens. Il rangea son pistolet dans son holster, replaça ses cheveux qui lui collaient au front et s’alluma une cigarette, lançant les restes de l’allumette dans l’oasis de sirop.

"Non mais, il ne faut pas exagérer non plus."

A sa grande surprise, les arbres s’écartèrent non pas pour laisser place à un autre paysage grotesque et absurdement déplaisant mais à un chemin menant à un gros champignon. Il y avait de la fumée qui flottait dans l’air au-dessus du fongus… était-ce la fin du parcours ? Ou une autre ordalie frustrante et imaginable que par un fou plus fou que les fous qui sont les plus fous… Cross s’engagea sur le chemin, prêt à coller une balle au premier truc hors de l’ordinaire qui apparaitrait…
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