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 [MISSION] La folie, c'est au bout du couloir

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Alice Kingsley


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Alice Kingsley




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MessageSujet: [MISSION] La folie, c'est au bout du couloir [MISSION] La folie, c'est au bout du couloir EmptyJeu 5 Jan - 22:38

    - Il en a après moi, je le sais! Je le sais, vous dis je!! Je sais qu'il est furieux parce qu'il pense que je lui ai volé sa ration de médicaments mais c'est faux, ce n'est pas moi! Je sais que ce n'est pas moi. Je vous le jure, madame. Croyez moi!

    - Euh, ouais, je vous crois...

    - Il veut me tuer, il vas me tuer. Je sais qu'il le veut et il le fera... Oui, je sais qu'il le fera, il le fera, il le fera, il le fera, il le fera, le fera, le fera, le fera...

    - Apparemment je ne peut plus rien en tirer. Infirmière, s'il vous plais!


    Une infirmière fit irruption dans la pièce jusqu'à présent fermé à double tours et reconduisit le patient nommé "Chapeau de fer" dans sa chambre afin de suivre son traitement journalier. Alice quitta la chaise inconfortable où elle était assise depuis une bonne dizaine d'heures, forcée à écouter les élucubrations d'un fou prétendant que son voisin est un akuhei. Bien entendu personne ne le crois, qui croirait un fou dans un hôpital psychiatrique débiter des absurdités tel que "omg mon voisin est taré, il veut me faire la peau". Malgrés ça Alice a choisie de mener cette mission jusqu'au bout afin de découvrir si oui ou non ce que raconte Chapeau de fer est réel. La jeune fille jeta un coup d'oeil par la fenêtre, la nuit était déjà là, il ne lui restait plus qu'à retourner à l'hôtel et revenir le lendemain pour continuer son investigation. Bien sure elle pensait que cela serait simple mais ce ne fut pas le cas, au moment même où elle comptait partir toutes les lumière de l'hôpital s'éteignirent pratiquement en même temps et une infirmière brune aux cheveux noué en chignon rentra en trombe dans la pièce, elle avait l'air affolée. *La pauvre femme, elle ne vivra pas longtemps si elle continue à paniquer comme cela pour pas grand chose...* Alors qu'Alice divaguait l'infirmière lui expliquait que les pensionnaire de l'hôpital venaient d'être tous libéré de leur chambre, quelqu'un semblait avoir piraté le système d'ouverture et de fermeture des chambres des malades afin de les laisser sortir. Mais qui? Et dans quel but créer cette agitation? *Wait, what... Alors si on récapitule ça veut dire que je suis coincée dans un hôpital psychiatrique en pleine nuit, que je ne peut pas sortir, que des malades se promènent en libertés dans l'hôpital et que donc, si j'ai bien compris, je suis dans une belle merde?* Oui, c'est tout à fait ça. C'est incroyable que tu ai compris ça du premier coup. *... ON VAS TOUS MOURIR!!!* Alors qu'Alice tremblait de peur avec la pauvre infirmière qui était venu l'informer elles entendirent des bruits de pas venir du couloir menant à la salle où elle se trouvaient. Première réaction : fermer la porte à clef, une fois que l'on réalise qu'il n'y a pas de clef on passe à la seconde réaction : trembler de toutes les fibres de son corps puis se cacher où l'ont peut, quand on remarquer qu'il n'y a aucun endroit où se cacher vient alors la troisième réaction : la panique totale!! Alors que les bruits de pas se faisaient de plus en plus proches Alice ne pouvait s'empêcher de se demander pourquoi elle avait accepté cette maudite mission, pendant qu'elle remettait en cause les différente façon de mourir qui aurait était plus cool que celle là elle se rendit compte qu'il n'y avait plus aucuns bruit. Un silence religieux régnait dans tout l'hôpital... Et le silence a le don de rendre Alice encore plus nerveuse. Sainte Dépression, cet endroit porte terriblement bien son nom.

    L'infirmière qui était restait avec Alice était tourné vers un mur, elle ne bougeait pas, elle semblait concentré ou bien tout simplement morte de trouille. La femme aux cheveux bruns fixait le mur en silence, Alice la regardait du coin de l'oeil jusqu'au moment où l'infirmière leva énergiquement les bras au ciel tout en prononçant une sorte de rituel vaudou totalement incompréhensible avant de se tourner vers Alice. Le visage de la femme au chignon était étrangement mis en valeur de façon fantomatique voire irréelle et cela grâce à une lampe de poche qu'elle avait placé sous son menton, pour une raison inconnue, son expression semblait à la fois extrêmement sérieuse et totalement conne. Elle avait noué un bandeau autour de son front où l'on pouvait lire en grosse lettres rouges "À MORT LES FANTÔMES". La blondinette ne savait pas où elle avait trouvé ce truc mais le simple fait d'imaginer qu'une femme de son âge puisse encore croire que les fantômes existent la fit sourire, limite rire. L'infirmière pointa sa lampe en plein dans la tronche d'Alice qui ferma automatiquement un oeil et plaça sa main devant l'autre pour éviter d'être plus aveuglée qu'elle ne l'était déjà. La brune à la lampe demanda alors l'aide d'Alice afin de retourner à la sale de commande et de reprendre le contrôle de Sainte Dépression avant que des gens ne soit blessé, ou bien pire. Comment dire "non" à ce genre de requête? Si ça se trouve ça aiderais Alice pour sa traque à l'akuhei si akuhei il y a. Les deux camarade d'un soir échangèrent une brève poignée de main avant de s'armer chacune de leur courage à deux mains. Alice agrippa la poignée de la porte d'une main ferme et décidée puis l'ouvrit entièrement avant de la refermer aussitôt et de se tapir dans un coin sombre de la pièce. Elle était en train de se balancer doucement d'avant en arrière comme tous bon dépressifs. *Je ne veux pas sortir d'ici. Je suis en sécurité dans cette salle alors que dehors non..... Mais dans quoi j'suis tombée, moi?*

    Alors que la blondinette divaguait petit à petit elle finit par se rendre compte que... Qu'elle était toute seule?! Vivre ce genre d'évènement seule ça vous traumatise un enfant vous savez! Où est donc passé cette brave infirmière que seuls les fantômes effraye? *Ne me dite pas qu'elle a prit la fuite lorsque j'ai ouvert la porte?* Très bien, je ne le dirais pas même si il s'avère que c'est bien le cas. Alors qu'Alice commençait à déprimer sec elle remarqua la lampe de l'infirmière prêt de la porte,elle s'en empara et l'alluma machinalement, cette lumière dans ce genre d'endroit, c'était vraiment... Rassurant? Surement. Peu être que le fait de voir droit devant elle aiderait Alice à avoir moins peur? Oui, peu être, mais ce n'était pas sur. Le seul moyen de le savoir était encore d'essayer! Voici donc Alice face à cette porte, la porte qui la sépare de la sécurité d'une pièce isolée au danger d'un hôpital psychiatrique, la nuit, remplis de fous incontrôlable et probablement armés. Cette simple pensée la découragea une fois encore. Elle se souvint alors qu'elle a défait des choses bien plus impressionnante que des patients psychologiquement instable, ça lui redonna la pêche, elle était finalement prête à sortir de son trou et à affronter les couloir sombres et inconnus de Sainte Dépression, équipée de sa lampe et la brandit fièrement comme si il s'agissait d'une épée, le faisceau lumineux de la lampe de poche éclaira la route de la jeune fille qui avança dans la pénombre, confiante et décidée à botter le cul de la pauvre tâche qui l'a enfermé ici et qui à fait sauter les lumières du bâtiment. Alors qu'elle était sur le point d'emprunter un second couloir la lumière se dissipa d'un seul coup, sans aucune raison. L'Américaine se retrouva alors seule, dans le noir absolut. *Fonctionne stupide machine, je t'en prit ne me laisse pas toi aussi, ne m'abandonnes pas!!* La Meister apeurée tapait comme une dinguer contre la lampe jusqu'à se que le faisceau ne réapparaisse de lui même.


    - Ah, bah voilà! Tu vois quand tu v...


    La lampe était pointait en direction d'une silhouette non loin d'Alice, a environs deux ou trois mètres, la blondinette éteignit instinctivement la lumière pensant qu'elle venait de rêver puis ralluma la lampe, un visage apparut alors, se détachant de la pénombre, deux petits yeux fixait Alice. Elle appuya encore une fois sur le bouton servant à allumer ou éteindre la lampe. *Non, non, non, non, non. Ce n'est pas possible, ce n'est que mon imagination. Oui, c'est cela, mon imagination! Il n'y a personne en face de moi, personne, absolument personne. Et de toute façon même si il y avait quelqu'un je suis certaine que cette personne, qui n'est personne, n'est pas une personne mentalement instable internée dans cet hôpital. Il n'y a absolument personne en face de moi, alors, je vais allumer cette chère lampe et il n'y aura personne. Personne...* Alice ralluma une nouvelle fois la lampe et constata d'un air plus que blasée qu'il y avait bel et bien quelqu'un en face d'elle et que cette personne semblait TOUT sauf saine d'esprit. Première réaction : crier à la mort. Bizarrement Alice n'était pas la seule à hurler, l'inconnu face à elle s'égosillait également, on se demande bien pourquoi. Alice reprit son souffle, l'étranger aussi puis ils se remirent à crier à l'unisson tout deux aussi bien accordés qu'une paire de chaussettes. Après avoir beuglé à en perdre la voix Alice fixa le patient d'un oeil suspect, il semblait ne pas être armé, elle lui demanda la raison de ce hurlement, il lui retourna la question mais Alice rétorqua en clamant qu'elle avait posé la question la première. La blondinette n'avait pas eu le temps de bien voir le visage de l'inconnu et il s'avère qu'il s'agit de Chapeau de fer, apparemment lui aussi comme les autres patients a eu la possibilité de sortir de sa chambre bien qu'il ne sache pas pourquoi. Tout ça avançait bien Alice mais bon, maintenant elle était en compagnie de quelqu'un qui connaissait les lieux, peu être pourras t elle trouver la salle qui commande ce satané système d'ouverture de porte à la gomme! Elle questionna Chapeau de fer sur le lieu où elle souhaitait se rendre, il lui indiqua une successions de couloirs et de détour pour finalement lui dire qu'il serait enchanté de l'accompagner, la Meister accepta, que pouvait elle faire d'autre elle qui ne connait pas le bâtiment et qui à un sens de l'orientation exécrable en plus de cela?

    Après moult et moult couloirs Alice et Chapeau de fer se retrouvèrent face à une porte semblable aux dizaines de milliers d'autre portes de cet hôpital, elle regarda Chapeau de fer d'un air septique puis poussa lentement la porte. La scène qui se déroulait face à elle était bien plus choquante que tout se qu'elle avait vu depuis qu'elle était entré dans cet hôpital maudit. Il y avait là un homme de dos on aurait dit qu'il était en train de... Hum, manger, surement, vu le bruit qu'il faisait en tout cas. Alice fixa les mur de cette pièce, ils étaient tous recouvert d'une substance indéterminée et semblait dessiner quelques symboles inconnus ainsi que des étoiles renversées. *Quelle endroit morbide en plus ça sent mauvais....* La blonde fit un pas dans la salle, le bruit que provoqua sa semelle contre le sol en acier interpella l'homme en plein repas qui se retourna vers la jeune fille, cette dernière pu constater avec étonnement que ce type avait de grand yeux rouge sang, qu'il avait des mains titanesque et qu'il était en train de dévorer une plaque de métal... Alors ça c'était vraiment TOUT sauf humain!! Alice se retourna vers Chapeau de fer qui était déjà en train de prendre la fuite, cet enfoiré, il l'avait bien roulé la pauvre Alice qui venait de se retrouver face à un véritable montre à forme humaine. La chose non identifiable qui recouvrait les murs recouvrait aussi le plafond de la pièce, Alice s'en rendit compte après qu'elle ai reçut une goutte d'on-ne-sait-pas-trop-quoi sur la joue. Elle passa sa main sur cette dernière afin de l'essuyer, c'est alors qu'elle reconnue une odeur étrangement familière *Ce truc, c'est du sang?* Elle leva vivement la lampe torche vers le plafond et constata qu'il était également peinturlurer mais maintenant le fait de savoir que les murs ainsi que le plafond était taché de sang refroidit un tantinet Alice qui recula instinctivement de quelques pas. La chose au fond de la pièce la fixait de ses grand yeux rouge tout en mâchonnant sa plaque de métal, il semblait qu'à ses yeux Alice était plus appétissante que son bout de ferraille il lui projeta donc l'objet en pleine face, objet qu'elle esquiva habilement en pliant les genoux avant de se redresser en se disant que là elle était vraiment dans la merde. Cette chose était apparemment avide de sang frais, pauvre Alice, ce n'était pas sa nuit on dirait. La chose qui semblait être le fameux akuhei que la Meister recherchait , finalement ça n'était pas une si mauvaise nuit. Quoique...


    - Mon nom être Caravnah, Caravnah les grandes dents, quoi être le tien?

    - Alice...

    - Alice être un jolie nom pour future dîner, héhéhé


    Caravnah se rua sur Alice et la plaque de toutes ses force contre le sol, il entrelaça les doigts sales et crochus autour du coup de la jeune fille qui faisait de son mieux pour se débattre et respirer. L'akuhei riait, il semblait heureux d'avoir enfin autre chose que du métal à se mettre sous la dents pour le plus grand désarroi de la Meister. Elle tentâ une ultime parade en éblouissant Caravnah à l'aide de la lampe de poche, heureusement pour elle sous le coup de la surprise le monstre lâcha prise et tendit qu'il passait un petit moment à se frotter les yeux afin de recouvrer la vue au plus vite Alice en profita pour dégainer ses armes fétiches et les braquer en direction de l'akuhei mais ce dernier n'avait pas l'air de vouloir se laisser faire bien gentiment et parât les projectiles de la blonde à l'aide d'un bout du sol d'acier qu'il arracha à coup de dents. *J'espère qu'il a un bon dentiste* Alice rangea énergiquement ses revolvers et se focalisa sur son adversaire, essayant de trouver un angle mort afin de porter une attaque de longueur d'onde, voyant qu'Alice avait cessait sa rafale de balles Caravnah se décida enfin à lâcher le bout du sol pour donner un grand coup de paume dans ce dernier ce qui eu comme effet de soulever une autre plaque qu'il engouffra dans sa bouche, si on peu encore appeler ça une bouche, avant de commencer à la "modeler" enfin d'en faire une sorte de grosse masse, si Alice se prenait ne serait ce qu'un seul coup de ce truc ses os risquaient de ne pas tenir bien longtemps elle opta donc pour une technique défensive. Alors que l'akuhei aux main gigantesque essayait tant bien que mal d'asséner un coup susceptible d'handicaper suffisamment l'Américaine pour qu'il ai le temps de la bouffer Alice trouva une faille dans la défense de son opposant. C'était tout ou rien, au prochain coup elle devrais foncer tête baissé et ne pas stopper sa course si elle espère surprendre l'adversaire.

    La blondinette fixa sa cible, Caravnah éclata sa massue contre le sol et alors qu'il pensait enfin avoir touché Alice il n'eu pas le temps de riposter lorsqu'il aperçut cette dernière fondre sur lui tout en concentrant sa longueur d'onde avant de frapper un grand coup dans le ventre de son adversaire, les cris de l'akuhei prouvaient qu'Alice avait vu juste elle continua donc en enchaînant diverse coup jusqu'à ce que son adversaire s'écroule au sol dans un fracas assourdissant. *Voilà une bonne chose de faite. Whaaa, il fait déjà jour?! Incroyable, je viens de passer une nuit blanche dans un hôpital psychiatrique et je suis encore en vie. Je suis trop forte!* Alors qu'elle se félicitait elle même pour sa bravoure et son courage, la bonne blague, la jeune fille ramassa la lampe torche et partit à la recherche de cette fameuse salle qu'elle cherchait au début. Au détour d'un couloir alors qu'elle cherchait son chemin la blonde croisa Chapeau de fer. Première réaction : grand coup dans la tronche du fou qui l'a dupé. Pour être énervée elle était énervée Alice et quand elle est comme ça il vaux mieux rester loin d'elle, alors que le patient tentait en vint d'expliquer le fait qu'il ai induit Alice en erreur avant de la laisser en plan il la remercia simplement, sans pour autant s'expliquer, puis il lui tendit un vieux couteau tout rouillé en disant qu'il s'agissait de son porte bonheur et qu'il lui offrait en gage de sa gratitude et aussi pour se faire pardonner. L'Américaine s'empara de l'arme sans pour autant lui pardonner mais elle le remercia tout de même, pourquoi? Parce qu'elle est bien élevée bien sur. Enfin bref, après cela l'infirmière au chignon se présenta à nouveau face à la Meister en lui expliquant que tout était rentré dans l'ordre et que le système était à nouveau opérationnel puis elle laissa Alice pour reconduire Chapeau de fer dans sa chambre. Pour la jeune fille ce fut une nuit forte en émotion et à présent la seule et unique chose dont elle aurait besoin c'est d'une bonne sieste, oh, et d'un bain aussi.
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